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44 joueuses pour préparer le Tournoi des Six Nations 2024

AUCKLAND, NEW ZEALAND - NOVEMBER 04: France warm up ahead of the WXV1 match between France and Canada at Go Media Stadium Mt Smart on November 04, 2023 in Auckland, New Zealand. (Photo by Fiona Goodall - World Rugby/World Rugby via Getty Images)

Mobilisation générale au sein du XV de France féminin. Avec le Tournoi des Six Nations 2024 qui approche à grands pas, il est grand temps d’officialiser la préparation. Une échéance importante alors que le nombre de tests qui séparent de la Coupe du Monde de Rugby féminin 2025 en Angleterre est très limité : il n’en reste que 13, à moins que d’autres viennent se rajouter d’ici là.

Redresser la barre du WXV 1

La première édition du WXV 1 en octobre et novembre dernier, où la France a déçu en terminant à l’avant-dernière place, a donné un avant-goût du niveau actuel des autres nations – en l’occurrence l’Angleterre, la Nouvelle-Zélande, l’Australie, le Canada et le Pays de Galles dans cette première division.

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« On a tous appris et on va ressentir grandis de cette aventure, même si aujourd’hui le goût est amer », confiait la co-sélectionneure Gaëlle Mignot après la défaite 20-29 contre le Canada lors de la dernière journée du WXV 1 en Nouvelle-Zélande. « Notre certitude c’est qu’on a du travail. Tout le monde en est conscient. On va repartir très fort au travail. »

Ce à quoi le co-sélectionneur David Ortiz ajoutait : « Il va falloir qu’on travaille beaucoup plus fort en amont de toutes les compétitions. L’enchaînement de ces trois matchs de très haut niveau, on voit qu’on n’est pas en mesure de les encaisser. Il va peut-être falloir que l’on se prépare différemment pour les prochaines compétitions, que ce soit pour le Tournoi ou le prochain WXV dans un an. Il faut qu’on arrive à mieux se préparer pour encaisser l’enchaînement de trois matchs de très haut niveau. On n’est pas habitués à ça. Il y aura une remise en question entre nous sur notre fonctionnement, notre planification, notre organisation. »

Deux groupes de préparation

Cette première étape arrive donc début janvier. Le duo de sélectionneurs a dévoilé une liste de 44 noms répartis dans deux groupes distincts pour préparer au mieux le Tournoi qui débutera le 23 mars contre l’Irlande.

Le premier stage aura lieu à Marcoussis du 8 au 12 janvier avec un groupe de 40 joueuses. Le second aura lieu au CREPS de Toulouse les 15 et 16 janvier avec un groupe de 24 avants.

Parmi les avants, seules la talonneuse Mélanie Blanchard et la troisième-ligne Mouna Touré participeront au premier stage.

Quant aux talonneuses Manon Bigot et Mathilde Lazarko, à la pilier Rose Bernadou et à la troisième-ligne Marie Morland, elles ne participeront qu’au deuxième stage uniquement.

« Ce stage va nous permettre de nous reconnecter après le Women XV et de nous préparer pour le prochain Tournoi des Six Nations. En l’espace d’une semaine, nous aurons l’opportunité de travailler avec un groupe de 40 joueuses, comprenant à la fois les joueuses professionnelles disponibles et plusieurs membres de l’Académie Olympique », estime Gaëlle Mignot.

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« Ces cinq jours de stage vont nous offrir l’opportunité de travailler sur le terrain ainsi qu’en dehors, dans le but de poursuivre le développement collectif de notre groupe », ajoute David Ortiz.

« Le deuxième stage sera spécifiquement axé sur les tâches des avants en complément des cinq premiers jours, avec la participation de 24 joueuses . Nous intégrerons certaines joueuses que nous supervisons en championnat et qui n’ont pas encore eu l’occasion de participer à un stage avec l’équipe de France. »

C’est notamment le cas des piliers Iliana Acolatse (Grenoble), Amalia Bazola (Toulouse) et Chloé Vauclin (Rennes), de la deuxième-ligne Hina Ikahehegi (Villeneuve-d’Ascq), des troisième-lignes Zoé Jean (Toulouse) et Mouna Touré (Romagnat), de la demie d’ouverture), Lina Tuy (Romagnat) et de l’arrière Kelly Arbey (Toulouse).

LE GROUPE DES 40 POUR LE STAGE DU 8 AU 12 JANVIER :

Talonneuses : Mélanie Blanchard (Rennes), Agathe Sochat (Stade Bordelais), Laure Touyé (Montpellier).

Piliers : Iliana Acolatse (Grenoble), Amalia Bazola (Toulouse), Annaëlle Deshaye (Stade Bordelais), Assia Khalfaoui (Stade Bordelais), Coco Lindelauf (Blagnac), Ambre Mwayembe (Grenoble), Chloé Vauclin (Rennes).

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Deuxième-ligne : Manae Feleu (Grenoble), Hina Ikahehegi (Villeneuve-d’Ascq), Kiara Zago (Toulouse).

Troisième-ligne : Julie Annery (Stade Bordelais), Axelle Berthoumieu (Blagnac), Léa Champon (Grenoble), Charlotte Escudero (Toulouse), Gaëlle Hermet (Toulouse), Zoé Jean (Toulouse), Romane Ménager (Montpellier), Mouna Touré (Romagnat).

Demies de mêlée : Océane Bordes (Toulouse), Pauline Bourdon Sansus (Toulouse), Alexandra Chambon (Grenoble).

Demies d’ouverture : Carla Arbez (Stade Bordelais), Lina Queyroi (Blagnac), Lina Tuy (Romagnat).

Centres : Teani Feleu (Grenoble), Maëlle Filopon (Toulouse), Lilou Graciet (Lyon), Nassira Kondé (Stade Bordelais), Marine Ménager (Montpellier), Gabrielle Vernier (Blagnac).

Ailières/Arrières : Kelly Arbey (Toulouse), Cyrielle Banet (Montpellier), Caroline Boujard (Montpellier), Émilie Boulard (Blagnac), Morgane Bourgeois (Stade Bordelais), Mélissande Llorens (Blagnac), Suliana Sivi (Rennes).

LE GROUPE DES 24 AVANTS POUR LE STAGE DES 15 ET 16 JANVIER

Talonneuses : Manon Bigot (Blagnac), Mathilde Lazarko (Romagnat), Agathe Sochat (Stade Bordelais), Laure Touyé (Montpellier)

Piliers : Ilana Acolatse (Grenoble), Amalia Bazola (Toulouse), Rose Bernadou (Montpellier), Annaëlle Deshaye (Stade Bordelais), Assia Khalfaoui (Stade Bordelais), Coco Lindelauf (Blagnac), Ambre Mwayembe (Grenoble), Chloé Vauclin (Rennes).

Deuxième-ligne : Manae Feleu (Grenoble), Hina Ikahehegi (Villeneuve-d’Ascq), Kiara Zago (Toulouse).

Troisième-ligne : Julie Annery (Stade Bordelais), Axelle Berthoumieu (Blagnac), Léa Champon (Grenoble), Charlotte Escudero (Toulouse), Julia Grosz (Lons), Gaëlle Hermet (Toulouse), Zoé Jean (Toulouse), Romane Ménager (Montpellier), Marie Morland (Lyon).

Le programme de la France aux Six Nations 2024 :

  • Samedi 23 mars à 15h15 : France-Irlande
  • Samedi 30 mars à 15h15 : Ecosse-France
  • Dimanche 14 avril à 13h30 : France-Italie
  • Dimanche 21 avril à 16h15 : Pays de Galles-France
  • Samedi 27 avril à 17h45 : France-Angleterre
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H
Hellhound 1 hour ago
The Springboks have something you don't have

Rassie has done very well with the Boks. The well will certainly not dry up soon. The amount of young talent coming through, that don't even stand a chance of making it in before 2027, is just absolutely amazing.


However, Rassie has proven to be a rugby genius. He will never rest on his laurels. It's why he keeps evolving tactics, keeping everyone on their toes. He doesn't underestimate any team. He is very aware of just how close the top teams is.


There will be no complacency not will he relax with his main stars. He is very astute, knowing that his team is getting older and thus giving the younger players much more playtime than what any other coach would do.


By the time the 2027 WC comes around, he will be prepared to defend his title and he knows one bad day will end a triple WC crown. Competition is that close. The Boks are in transition, even though it doesn't look like it.


After the 2027 WC, most of the double (possible triple) WC champs players will become unavailable due to retirement from international rugby. Rassie is already preparing the replacements, getting caps under their belts.


The top teams is just too close to underestimate and no Bok will be allowed to get complacent. Although they are by far the current most successful team and clearly the best by miles, they are not undefeatable.


Very tough to beat yes, but they can lose on the day. I am not worried. The youngsters by 2027 WC will be experienced with lots of years ahead and that should be a warning to the rest of the pack biting at their heels. Love them or hate them, but you have to admire the Boks. They truely deserve to be top dogs currently.

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