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7 mois après la reprise, Flip van der Merwe quitte déjà le Biarritz Olympique

Après des années d'atermoiements, le Biarritz Olympique a enfin de nouveaux repreneurs (Photo by GAIZKA IROZ/AFP via Getty Images)

L’ancien deuxième-ligne international sud-africain Flip van der Merwe jette l’éponge pour divergences de stratégie avec ses collègues Marc Baget et Shaun Hegarty avec qui il avait repris le club début avril dernier. C’est lui-même qui a annoncé la nouvelle via les réseaux sociaux ce jeudi 28 novembre au matin.

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A peine huit mois après la reprise effective du Biarritz Olympique, c’est un coup dur pour la jeune équipe qui avait tant d’ambitions pour le club basque, notamment pour ses infrastructures.

Flip Van der Merwe (39 ans, 37 sélections pour les Springboks entre 2010 et 2015) était le seul des trois repreneurs à n’avoir jamais porté les couleurs du BO. Après avoir mis un terme à sa carrière en 2019, il avait néanmoins entretenu des liens étroits avec Biarritz où il y dirige deux entreprises : l’une spécialisée dans le conseil en data et l’autre dans les vélos à hydrogène. En juillet, il avait déjà été remplacé au poste de directeur général.

Dans son message publié sur X et titré « Merci. Thank You. Melisker », Flip van der Merwe exprime sa fierté et sa satisfaction d’avoir vu l’équipe évoluer au cours des sept derniers mois, mettant en avant la création d’un environnement qui permet aux joueurs et entraîneurs de s’épanouir. Sauf lui, visiblement.

En effet, il a décidé de se retirer : « Dans la vie, comme dans le rugby, trop de cuisiniers gâtent la sauce », reproche-t-il, sans entrer dans les détails. « Et à travers certaines décisions stratégiques récentes, je ne m’aligne plus avec les valeurs ni la direction du club. Je me retire donc de toute responsabilité de gestion et de propriété, convaincu que cette décision servira mieux le club. »

Optimiste pour la suite, il affirme cependant laisser « le club dans une position meilleure que celle dans laquelle je l’ai trouvé, et pour cela, j’en suis fier ». Biarritz est actuellement 4e de la Pro D2.

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Selon France Bleu Pays Basque, « cela fait plusieurs semaines que l’investisseur s’était retiré du club sur fond de mauvaise entente notamment à propos de la future rénovation du stade ».

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Biarritz
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f
fl 3 hours ago
Why Les Kiss and Stuart Lancaster can lead Australia to glory

“A succession of recent ex-players going straight back into the game as coaches in their early 40’s would prob be enough to kill it stone-dead. Innovation would die a death.”

Would it? I do think one of the major differences between rugby and most other sports - which we’ve been overlooking - is the degree to which players are expected to lead team meetings & analysis sessions and the like. Someone like Owen Farrell has basically been an assistant coach already for ten years - and he’s been so under a variety of different head coaches with different expectations and playing styles.


“The most interesting ppl I have met in the game have all coached well into their sixties and they value the time and opportunity they have had to reflect and therefore innovate in the game. That’s based on their ability to compare and contrast between multiple eras.”

I don’t doubt that that’s true. But having interesting insights doesn’t necessarily mean you’ll be the best able to inspire a team, or the best at managing the backroom staff.


“Wayne Smith winning the WWC in his mid sixties three years ago prob means nothing to you but it meant a lot to him. It took him back to the roots of is own coaching journey.”

I don’t doubt that! But I don’t think coaches should be hired on the basis that it means a lot to them.


“The likes of Carlo Ancelotti and Wayne Bennett and Andy Reid all have a tale to tell. You should open your ears and listen to it!”

I agree! Never have I ever suggested otherwise!

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