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A quatre jours de l'ouverture du Top 14, Farrell fait profil bas

Owen Farrell a été aperçu cet été sur le circuit de Silverstone, où il a assisté au Grand Prix de Formule 1 de Grande-Bretagne (Photo by Mark Thompson/Getty Images).

Il est forcément l’une des attractions majeures de la saison de Top 14, qui démarre samedi. Et même s’il n’est pas certain qu’il soit sur le terrain de Castres, où se déplace le Racing 92 pour la première journée, Owen Farrell fait parler de lui.

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Rencontre
Top 14
Castres
31 - 28
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Racing 92
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Évidemment, avec sa carrière XXL, ses titres à la pelle mais aussi quelques polémiques, le demi d’ouverture (ou parfois premier centre) anglais ne passe pas inaperçu. Son passage devant les micros, ce mardi à l’occasion de la présentation à la presse des recrues du club francilien.

Et même s’il était entouré d’autres internationaux, comme Demba Bamba ou Romain Taofifénua, c’était évidemment sa parole que les journalistes étaient venus recueillir en priorité.

Le nouvel ouvreur star du Racing, qui succède à d’autres noms tous aussi prestigieux sous le maillot « ciel et blanc » (Juan Martin Hernandez, Dan Carter, Johnny Sexton, Finn Russell…), n’a toutefois pas cherché à tirer la couverture à lui seul. Au contraire.

« Le premier défi, c’est de s’intégrer »

Dans un exercice de communication maitrisé, « Faz », comme on le surnomme en Angleterre, a tout fait pour alléger la pression médiatique.

Une pression légitime, mais qui est peut-être difficile à gérer même pour un joueur qui compte 112 avec le XV de la Rose et dont il est le meilleur réalisateur depuis la dernière Coupe du Monde (1237 points).

« Le premier défi, c’est de s’intégrer », a avancé l’ancien capitaine anglais, qui est encore en phase de découverte de son 2e club professionnel, et qui avait en février dernier confié ses appréhensions à l’idée de changer de maillot.

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Avant sa signature en France, Farrell jouait en effet depuis ses débuts au plus haut niveau en 2008 aux Saracens. Avec le club du nord de Londres, il a gagné sept titres de champions d’Angleterre (dont un en Championship, la 2e division anglaise) et trois Champions Cup.

« Le Racing est un club fantastique, avec une grande histoire et beaucoup d’ambition. Pour moi, c’est un grand défi », a-t-il poursuivi.

« J’en avais besoin après toutes ces années chez les Saracens. C’en est un aussi pour ma famille. C’est un changement de vie, de culture. »

 

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Un changement de vie mûrement réfléchi. On l’a dit touché, blessé par les critiques à son égard en Angleterre, usé par les saisons passées à jongler entre son club et son équipe nationale.

Le voilà soulagé du poids de la sélection. Si sa mise en retrait post Mondial était volontaire, le fait de jouer en France lui clôt pour de bon les portes du XV de la Rose.

Tant mieux, doit-on penser au Racing. Le club présidé par Jacky Lorenzetti a récupéré un joueur blessé. Le fils d’Andy, le sélectionneur de l’Irlande, n’a en effet plus joué depuis la défaite des Saracens en demi-finale de Premiership contre Northampton, en mai dernier.

Depuis, il a passé son temps à soigner son cou douloureux et n’a pas pu participer aux matchs de préparation de son nouveau club.

Ces aléas l’auraient-il assagi ? Lui qui a été souvent taxé d’arrogance sur le terrain a fait profil bas face aux médias français : « Tout ne repose pas sur moi. Je suis ici pour m’intégrer dans un collectif et j’espère apporter un peu de ce que je fais de bien. Ça ne peut pas être le travail d’un seul joueur ».

Baisse de salaire

Avant, toutefois, de promettre qu’il ne changerait pas : « Je veux rester moi-même, c’est pour ça que j’ai été choisi. »

À bientôt 33 ans (le 24 septembre), Farrell reste un formidable distributeur du jeu, un joueur à la vista hors norme, et surtout un bourreau de travail.

« J’aime être sur la pelouse. J’aime m’entraîner. Je vais donner le meilleur de moi-même. Ce qui est important, c’est de travailler dur, pour que les bonnes décisions soient plus nombreuses que les mauvaises. »

Le Racing 92, qui a misé gros sur lui – on parle d’un salaire annuel proche de 800 000 euros, soit moins que ce qu’il touchait aux Saracens, et d’une indemnité de transfert de 500 000 euros  – l’espère aussi.

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J
JW 59 minutes ago
Why England's defence of the realm has crumbled without Felix Jones

This piece is nothing more than the result of revisionist fancy of Northern Hemisphere rugby fans. Seeing what they want to see, helped but some surprisingly good results and a desire to get excited about doing something well.


I went back through the 6N highlights and sure enough in every English win I remembered seeing these exact holes on the inside, that are supposedly the fallout out of a Felix Jones system breaking down in the hands of some replacement. Every time the commentators mentioned England being targeted up the seam/around the ruck or whatever. Each game had a try scored on the inside of the blitz, no doubt it was a theme throughout all of their games. Will Jordan specifically says that Holland had design that move to target space he saw during their home series win.


Well I'm here to tell you they were the same holes in a Felix Jones system being built as well. This woe is now sentiment has got to stop. The game is on a high, these games have been fantastic! It is Englands attack that has seen their stocks increase this year, and no doubt that is what SB told him was the teams priority. Or it's simply science, with Englands elite players having worked towards a new player welfare and management system, as part of new partnership with the ERU, that's dictating what the players can and can't put their bodies through.


The only bit of truth in this article is that Felix is not there to work on fixing his defence. England threw away another good chance of winning in the weekend when they froze all enterprise under pressure when no longer playing attacking footy for the second half. That mindset helped (or not helped if you like) of course by all this knee jerk, red brained criticism.

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LONG READ 'England's blanket of despair feels overdone - they are not a team in freefall' 'England's blanket of despair feels overdone - they are not a team in freefall'
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