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Ce qu'il faut savoir sur le match Argentine - Samoa

Manu Samoa perform the Manu Siva Tau. Photo by CHRISTOPHE ARCHAMBAULT/AFP via Getty Images

Au coup d’envoi de ce match de vendredi à Saint-Étienne, 13 jours se seront écoulés depuis la dernière sortie de l’Argentine, une défaite 27-10 contre l’Angleterre à Marseille.

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Nul doute que le sélectionneur Michael Cheika aura pris les mesures pour corriger les failles béantes affichées par son équipe : la discipline et le jeu offensif. Face aux Samoa, les Pumas n’auront pas droit à l’erreur.

Rencontre
Coupe du Monde de Rugby
Argentina
19 - 10
Temps complet
Samoa
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Cheika a effectué trois changements dans son XV de départ : Eduardo Bello titularisé en première ligne, Guido Petti en deuxième ligne et Matías Moroni au poste de centre.

De leur côté, les Samoans sont deuxièmes de la poule D après leur victoire 43-10 sur le Chili. Le sélectionneur Vaovasamanaia Seilala Mapusua n’est pas dans la même problématique que son homologue argentin puisqu’il doit essentiellement gérer la fatigue de ses joueurs, qui n’auront eu que six jours de repos après leur premier match.

Il a également procédé à trois changements dans son XV de départ. Paul Alo-Emile est titularisé en première ligne, Brian Alainu’u’ese en deuxième ligne et Ben Lam au poste d’ailier.

HISTORIQUE

Le premier match entre l’Argentine et les Samoa remonte à 1991 au pays de Galles. Les deux équipes se sont rencontrées quatre fois au total, pour trois victoires samoanes, dont la dernière en date, en décembre 2005, sur le sol argentin (28-12).

MATCH MARQUANT

Lors de la Coupe du Monde de Rugby 1999, l’Argentine s’est imposée 32-16 face aux Samoans au Stradey Park de Llanelli, là encore au pays de Galles. C’est peut-être difficile à imaginer aujourd’hui pour une équipe qui a participé à deux demi-finales et un quart de finale sur les quatre dernières Coupes du Monde, mais au moment d’affronter les Samoa en 1999, l’Argentine avait perdu neuf de ses dix premiers matchs dans la compétition.

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Cette nette victoire a marqué le début de l’essor des Pumas, à commencer par un quart de finale dans cette même édition.

POINT-CLÉ

Au repos lors de la deuxième journée, les Argentins ont eu le temps de ruminer leur entrée ratée face à l’Angleterre. Le match risque de se jouer sur les leçons qu’ils auront su tirer de cet échec. Malgré leur solide expérience de la Coupe du Monde, un certain nombre de joueurs sont passés à côté de leur match, bien aidés en ça par la performance stratosphérique de George Ford. Pour Cheika, il ne fait nul doute que les Pumas vont se reprendre et montrer un tout autre visage à Saint-Étienne. C’est une des clés de ce match.

LE DUEL

Juan Cruz Mallia face à Duncan Paia’aua. Mallia et Paia’aua sont deux des arrières les plus polyvalents du monde. L’Argentin a joué à tous les postes arrière depuis l’ouverture jusqu’à l’arrière pour le Stade Toulousain, tandis que son homologue a joué à 10, 12, 13 et 15 pour le RC Toulon.

Paia’aua est le seul joueur à avoir joué l’intégralité des cinq matchs disputés par les Samoa cette année. Il reste sur une série de trois matchs où il a inscrit un essai, après n’avoir aplati qu’une seule fois dans l’en-but adverse lors de ses quatre premières sélections.

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LA STAT INCROYABLE

S’il entre en jeu en cours de match, le très expérimenté talonneur Agustín Creevy rejoindra Felipe Contepomi et Juan Martin Fernandez Lobbe, qui ont tous deux disputé 17 matchs de Coupe du Monde avec les Pumas. Seul Mario Ledesma a fait mieux avec 18 sélections dans la compétition entre 1999 et 2011.

L’ARBITRE

Nic Berry (Australie). Ce sera la deuxième Coupe du Monde de Nic Berry en France. En 2007, alors qu’il était le demi de mêlée du Racing Métro, il s’était illustré dans la compétition… en tant que supporter.

LES ÉQUIPES

ARGENTINE : Juan Cruz Mallia ; Emiliano Boffelli, Matías Moroni, Santiago Chocobares, Mateo Carreras ; Santiago Carreras, Gonzalo Bertranou ; Thomas Gallo, Julian Montoya (capitaine), Eduardo Bello ; Guido Petti Pagadizabal, Matias Alemanno ; Pablo Matera, Marcos Kremer, Juan Martin Gonzalez

Remplaçants : Agustín Creevy, Mayco Vivas, Francisco Gómez Kodela, Pedro Rubiolo, Rodrigo Bruni, Tomas Cubelli, Nicolas Sanchez, Lucio Cinti

SAMOA : Duncan Paia’aua ; Nigel Ah-Wong, Ulupano Junior Seuteni, Tumua Manu, Ben Lam ; Christian Leali’ifano, Jonathan Taumateine ; James Lay, Seilala Lam, Paul Alo-Emile ; Brian Alainu’u’ese, Chris Vui (capitaine) ; Theo McFarland, Fritz Lee, Steven Luatua

Remplaçants : Sama Malolo, Charlie Faumuina, Michael Alaalatoa, Taleni Junior Agaese Seu, Sa Jordan Taufua, Melani Matavao, Alai D’Angelo Leuila, Danny Toala

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J
JW 5 hours ago
Does South Africa have a future in European competition?

I rated Lowe well enough to be an AB. Remember we were picking the likes of George Bridge above such players so theres no disputing a lot of bad decisions have been made by those last two coaches. Does a team like the ABs need a finicky winger who you have to adapt and change a lot of your style with to get benefit from? No, not really. But he still would have been a basic improvement on players like even Savea at the tail of his career, Bridge, and could even have converted into the answer of replacing Beauden at the back. Instead we persisted with NMS, Naholo, Havili, Reece, all players we would have cared even less about losing and all because Rieko had Lowe's number 11 jersey nailed down.


He was of course only 23 when he decided to leave, it was back in the beggining of the period they had started retaining players (from 2018 onwards I think, they came out saying theyre going to be more aggressive at some point). So he might, all of them, only just missed out.


The main point that Ed made is that situations like Lowe's, Aki's, JGP's, aren't going to happen in future. That's a bit of a "NZ" only problem, because those players need to reach such a high standard to be chosen by the All Blacks, were as a country like Ireland wants them a lot earlier like that. This is basically the 'ready in 3 years' concept Ireland relied on, versus the '5 years and they've left' concept' were that player is now ready to be chosen by the All Blacks (given a contract to play Super, ala SBW, and hopefully Manu).


The 'mercenary' thing that will take longer to expire, and which I was referring to, is the grandparents rule. The new kids coming through now aren't going to have as many gp born overseas, so the amount of players that can leave with a prospect of International rugby offer are going to drop dramatically at some point. All these kiwi fellas playing for a PI, is going to stop sadly.


The new era problem that will replace those old concerns is now French and Japanese clubs (doing the same as NRL teams have done for decades by) picking kids out of school. The problem here is not so much a national identity one, than it is a farm system where 9 in 10 players are left with nothing. A stunted education and no support in a foreign country (well they'll get kicked out of those countries were they don't in Australia).


It's the same sort of situation were NZ would be the big guy, but there weren't many downsides with it. The only one I can think was brought up but a poster on this site, I can't recall who it was, but he seemed to know a lot of kids coming from the Islands weren't really given the capability to fly back home during school xms holidays etc. That is probably something that should be fixed by the union. Otherwise getting someone like Fakatava over here for his last year of school definitely results in NZ being able to pick the cherries off the top but it also allows that player to develop and be able to represent Tonga and under age and possibly even later in his career. Where as a kid being taken from NZ is arguably going to be worse off in every respect other than perhaps money. Not going to develop as a person, not going to develop as a player as much, so I have a lotof sympathy for NZs case that I don't include them in that group but I certainly see where you're coming from and it encourages other countries to think they can do the same while not realising they're making a much worse experience/situation.

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