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Ce qu'il faut savoir sur le match Nouvelle-Zélande - Uruguay

The players of New Zealand form a huddle at full-time following the Rugby World Cup France 2023 Pool A match between France and New Zealand at Stade de France on September 08, 2023 in Paris, France. (Photo by Hannah Peters/Getty Images)

La large victoire des All Blacks face à l’Italie les a mis dans une bonne position avant leur dernier match de la poule A face à l’Uruguay à Lyon.

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L’équation est simple. Un succès bonifié et la Nouvelle-Zélande sera qualifiée pour les quarts de finale, quel que soit le résultat entre la France et l’Italie vendredi soir.

Sam Cane sera capitaine d’une équipe où neuf changements ont été opérés après la victoire face à l’Italie. Cam Roigard sera titulaire au poste de demi de mêlée, tandis que Damian McKenzie débutera à l’arrière pour la première fois depuis novembre 2021.

Rencontre
Coupe du Monde de Rugby
New Zealand
73 - 0
Temps complet
Uruguay
Toutes les stats et les données

Treize places et plus de 20 points séparent ces deux équipes au classement World Rugby présenté par Capgemini. Si l’on se fie aux seuls chiffres, une victoire écrasante semble promise aux All Blacks. Mais on parle de statistiques, l’Uruguay peut s’appuyer sur la performance réalisée à Lille face à la France il y a trois semaines.

Le sélectionneur de Los Teros Esteban Meneses a effectué sept changements dans son XV de départ après la victoire face à la Namibie, où l’Uruguay a su renverser la situation. Lucas Bianchi est titulaire pour la première fois lors de cette Coupe du Monde de Rugby 2023 au poste de troisième ligne. Il en va de même pour l’expérimenté Rodrigo Silva qui remplace Baltazar Amaya à l’arrière et pour Gastón Mieres qui prend la place de Bautista Basso à l’aile droite.

Manuel Ardao est le joueur le plus dangereux du tournoi dans les rucks. Il a pris part au plus grand nombre de rucks défensifs (32), a récupéré le plus de ballons (6) et a provoqué le quatrième plus grand total de pénalités.

Il existe des scenarios où la France, l’Italie et la Nouvelle-Zélande peuvent se retrouver à égalité dans cette poule A. Toutefois, la différence de points de +133 des All Blacks avant ce match leur donne un avantage important dans tous les calculs possibles.

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HISTORIQUE

Ce n’est que la deuxième fois que ces deux équipes se rencontrent. La première confrontation a lieu, à une semaine près, il y a 47 ans le 12 octobre 1976 quand la Nouvelle-Zélande s’était imposée 64-3 à l’Estadio Militar de Montevideo.

MATCH MARQUANT

Oubliez le match d’il y a presque 50 ans. L’Uruguay peut s’appuyer sur des rencontres plus récentes, notamment celle qui l’a opposé à la France, le pays hôte, un peu plus tôt dans le tournoi. À la 55e minute, le résultat était toujours indécis et l’Uruguay était en mesure de s’imposer jusqu’à la 74e minute.

C’était le premier match des Sud-Américains dans ce tournoi. Ils étaient là pour faire forte impression. À moins d’un résultat exceptionnel, il est encore mathématiquement possible pour l’Uruguay de se qualifier pour les quarts de finale mais cela impliquerait une nouvelle définition d’un résultat surprise, ce match sera leur dernier. Ils auront à cœur de marquer les esprits face à une des équipes les plus titrées du rugby mondial.

POINT CLÉ

Le temps de jeu effectif est une des données à laquelle on se réfère le plus actuellement. Il va de soi que plus il est élevé, plus la qualité du match est grande.

Pourtant, ce n’est pas toujours vrai. Le temps de jeu effectif de la rencontre incroyable entre l’Afrique du Sud et l’Irlande (29 minutes et 56 secondes) était le cinquième plus faible au cours des 32 premiers matchs de la compétition. Le plus haut temps de jeu enregistré jusqu’ici a été de 39 minutes et 40 secondes de la victoire de l’Écosse face à la Roumanie 84-0.

Le match où cette statistique a été la plus faible (27 minutes et 13 secondes) fut la rencontre entre la Nouvelle-Zélande et la Namibie qui a vu la victoire des All Blacks 71-3.

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LE FACE À FACE

Cam Roigard face à Santiago Arata. Deuxième titularisation en Coupe du Monde et troisième apparition pour Roigard dans cette compétition, lui a qui a inscrit deux essais et délivré deux passes décisives. Il va faire face à son plus grand défi personnel en Coupe du Monde de Rugby face à l’électrique demi de mêlée de l’Uruguay.

LA STAT INCROYABLE

Pour sa 150e sélection, le deuxième ligne Sam Whitelock va disputer son 23e match de Coupe du Monde de Rugby et battre le record détenu par Jason Leonard et Richie McCaw. Whitelock et son ancien coéquipier McCaw ont tous les deux remportés 20 victoires en RWC. Encore un record qui pourrait être battu à Lyon.

L’ARBITRE

Wayne Barnes (Angleterre). L’arbitre d’expérience a appliqué la tolérance zéro à l’égard des fautes commises jusqu’ici dans ce tournoi. Il a sifflé 71 pénalités en trois matchs. Seul le Français Mathieu Raynal a octroyé autant de pénalités.

LES ÉQUIPES

NOUVELLE-ZÉLANDE Damian McKenzie; Will Jordan, Anton Lienert-Brown, Jordie Barrett, Leicester Fainga’anuku; Richie Mo’unga, Cam Roigard; Ofa Tu’ungafasi, Codie Taylor, Tyrel Lomax; Samuel Whitelock, Tupou Vaa’i; Shannon Frizell, Sam Cane (capitaine), Luke Jacobson

Remplaçants : Samisoni Taukei’aho, Tamaiti Williams, Fletcher Newell, Scott Barrett, Ethan Blackadder, Finlay Christie, Beauden Barrett, Caleb Clarke

URUGUAY : Rodrigo Silva; Gastón Mieres, Tomas Inciarte, Andres Vilaseca (capitaine), Nicolas Freitas; Felipe Etcheverry, Santiago Arata; Mateo Sanguinetti, German Kessler, Diego Arbelo; Ignacio Dotti, Manuel Leindekar; Manuel Ardao, Lucas Bianchi, Manuel Diana

Remplaçants : Guillermo Pujadas, Matias Benitez, Ignacio Peculo, Juan Manuel Rodríguez, Santiago Civetta, Agustin Ormaechea, Felipe Berchesi, Juan Manuel Alonso

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J
JW 6 hours ago
Does South Africa have a future in European competition?

I rated Lowe well enough to be an AB. Remember we were picking the likes of George Bridge above such players so theres no disputing a lot of bad decisions have been made by those last two coaches. Does a team like the ABs need a finicky winger who you have to adapt and change a lot of your style with to get benefit from? No, not really. But he still would have been a basic improvement on players like even Savea at the tail of his career, Bridge, and could even have converted into the answer of replacing Beauden at the back. Instead we persisted with NMS, Naholo, Havili, Reece, all players we would have cared even less about losing and all because Rieko had Lowe's number 11 jersey nailed down.


He was of course only 23 when he decided to leave, it was back in the beggining of the period they had started retaining players (from 2018 onwards I think, they came out saying theyre going to be more aggressive at some point). So he might, all of them, only just missed out.


The main point that Ed made is that situations like Lowe's, Aki's, JGP's, aren't going to happen in future. That's a bit of a "NZ" only problem, because those players need to reach such a high standard to be chosen by the All Blacks, were as a country like Ireland wants them a lot earlier like that. This is basically the 'ready in 3 years' concept Ireland relied on, versus the '5 years and they've left' concept' were that player is now ready to be chosen by the All Blacks (given a contract to play Super, ala SBW, and hopefully Manu).


The 'mercenary' thing that will take longer to expire, and which I was referring to, is the grandparents rule. The new kids coming through now aren't going to have as many gp born overseas, so the amount of players that can leave with a prospect of International rugby offer are going to drop dramatically at some point. All these kiwi fellas playing for a PI, is going to stop sadly.


The new era problem that will replace those old concerns is now French and Japanese clubs (doing the same as NRL teams have done for decades by) picking kids out of school. The problem here is not so much a national identity one, than it is a farm system where 9 in 10 players are left with nothing. A stunted education and no support in a foreign country (well they'll get kicked out of those countries were they don't in Australia).


It's the same sort of situation were NZ would be the big guy, but there weren't many downsides with it. The only one I can think was brought up but a poster on this site, I can't recall who it was, but he seemed to know a lot of kids coming from the Islands weren't really given the capability to fly back home during school xms holidays etc. That is probably something that should be fixed by the union. Otherwise getting someone like Fakatava over here for his last year of school definitely results in NZ being able to pick the cherries off the top but it also allows that player to develop and be able to represent Tonga and under age and possibly even later in his career. Where as a kid being taken from NZ is arguably going to be worse off in every respect other than perhaps money. Not going to develop as a person, not going to develop as a player as much, so I have a lotof sympathy for NZs case that I don't include them in that group but I certainly see where you're coming from and it encourages other countries to think they can do the same while not realising they're making a much worse experience/situation.

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