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Ces cinq Australiens à l’étranger dont Joe Schmidt ne peut se passer

Samu Kerevi, Pete Samu, Marika Koroibete, Scott Sio, Darcy Swain and Nic White share a laugh as they prepare for the Wallabies team photograph during the Australian Wallabies captain's run at Optus Stadium on July 01, 2022 in Perth, Australia. (Photo by Paul Kane/Getty Images)

Joe Schmidt a clarifié sa position en ce qui concerne la sélection des joueurs évoluant à l’étranger.

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« Nous n’avons jamais dévié de notre position quant à l’importance accordée aux joueurs locaux et aux raisons qui sous-tendent cette priorité », a rappelé le nouveau sélectionneur la semaine dernière lorsqu’on l’a interrogé sur ses projets en matière de sélection pour accueillir le Pays de Galles en juillet.

« Je n’exclurais pas complètement la possibilité de sélectionner des joueurs évoluant à l’étranger, mais ce n’est pas notre priorité.

« Notre priorité, ce sont les joueurs évoluant à domicile. »

Néanmoins, cinq joueurs évoluant à l’étranger ont toujours toute leur place dans l’effectif de l’Australie, si Joe Schmidt le veut bien.

Will Skelton (31 ans, La Rochelle)

Le Rochelais est devenu le 87e capitaine des Wallabies. Sa taille unique lui permet de faire des choses dont d’autres ne peuvent que rêver, comme faire exploser les mauls à lui tout seul, ancrer une mêlée et gagner une ligne d’avantage, autant d’atouts inestimables au niveau international.

Avec ses 2,03m et ses 135 kg, Skelton n’est pas adapté à la vitesse du Super Rugby Pacific, mais il est le deuxième-ligne idéal au niveau international.

Il apporte de la puissance et du poids au pack des Wallabies et pourrait être le point fort de leur conquête, quelle que soit la composition de la première ligne.

Son expérience à elle seule n’est pas à dédaigner.

Les jeunes joueurs de deuxième-ligne australiens pourraient apprendre beaucoup de Skelton à l’image d’un Izack Rodda, un Skelton en devenir à la Western Force.

Marika Koroibete (31 ans, Saitama Wild Knigkts)

Il est évident que Schmidt exige de ses joueurs quelques qualités non négociables, dont la capacité de travail.

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Outre une capacité de travail presque inégalée, Marika Koroibete est doté d’une vitesse et d’une force impressionnantes, ce qui a fait de lui l’un des meilleurs ailiers du rugby ces deux dernières saisons.

Malgré son âge avancé pour un trois-quarts, Koroibete a encore beaucoup à offrir aux Wallabies, mais aussi au monde du rugby.

Dylan Peitsch est l’un des principaux candidats à sa succession. Peu de joueurs sont aussi robustes et capables de franchir les lignes que le jeune joueur des Waratahs (26 ans).

Bien que lui et d’autres jeunes ailiers soient des talents exceptionnels, ils ne possèdent peut-être pas encore les capacités de Koroibete.

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La « balle fidjienne », comme il a été surnommé à juste titre après avoir réalisé un plaquage de 40 mètres pour empêcher l’essai du finisseur Makazole Mapimpi à Adélaïde en 2022, peut encore renforcer l’équipe des Wallabies entraînée par Joe Schmidt.

Bernard Foley (34 ans, Kubota Spears)

Les jeunes demis d’ouverture sont le sujet le plus chaud du rugby australien depuis deux saisons.

Noah Lolesio, Carter Gordon, Ben Donaldson, Tom Lynagh, Tane Edmed et maintenant Harry McLaughlin Phillips ont tous brillé à un moment ou à un autre.

Foley porte le célèbre numéro 10 dans le dos pour les Kabuto Spears en League One au Japon et il est au sommet de son rugby et de la compétition depuis plusieurs saisons.

Malgré des doutes quant à la capacité du style de jeu du championnat japonais à se transposer au niveau international, il est clair que Foley possède un jeu complet qui pourrait bien s’adapter au rugby international, notamment grâce à son excellente maîtrise du jeu au pied.

Il a démontré des performances solides avec les Wallabies en 2022, notamment lors du Rugby Championship et des Series d’automne, où l’équipe a été tout près de battre des équipes de renom telles que la Nouvelle-Zélande, l’Irlande et la France.

Le talent de Foley dans le rôle de meneur de jeu pourrait servir de modèle pour les jeunes joueurs qui cherchent à s’imposer dans l’équipe.

Schmidt cherche autant à gagner des matchs qu’à assurer la longévité et la relève dans le système des Wallabies.

Brandon Paenga-Amosa (28 ans, Montpellier)

En ce qui concerne les talonneurs restés en Australie, les Wallabies n’en ont qu’un seul, Dave Porecki.

Le Wallabie aux 19 sélections est le plus expérimenté en club et en sélection.

Le choix logique suivant est celui de Matt Faessler, qui n’en est qu’à sa troisième saison en tant que talonneur du Super Rugby Pacific avec les Queensland Reds et qui compte cinq capes avec les Wallabies.

Paenga-Amosa a joué 14 matchs avec les Wallabies, 55 en Super Rugby et 56 matchs avec Montpellier en Top 14.

Son gabarit de 1,83m et 117 kg fait le lien entre un Porecki de 1,80m et 108 kg, un Jordan Uelese plus corpulent de 1,89m et 122 kg et un jeune taureau comme Billy Pollard de 1,85m et 103 kg.

Bien qu’il ne soit pas réputé pour ses lancers en touche, BPA possède d’autres compétences qui pourraient rivaliser avec n’importe lequel de ces récents talonneurs wallabies.

BPA a signé avec la Western Force pour 2025 et reviendra en Australie après la fin de la saison européenne en juin.

Si Schmidt fait appel à ses services, il pourrait combler le manque d’expérience des talonneurs australiens.

BPA apporte de la densité physique, de l’expérience et de la perspicacité à une équipe qui a franchement besoin d’aide dans ces trois domaines.

Scott Sio (32 ans, Exeter)

La moyenne d’âge de l’équipe pour la Coupe du Monde de Rugby 2023 était de 26 ans et demi, ce qui est nettement plus jeune que les équipes qui sont allées loin dans la compétition.

D’un côté, il y a le vétéran James Slipper qui tient le poste de pilier presque à lui tout seul, tandis que le jeune Angus Bell est de nouveau forfait à cause d’une blessure au pied qui le tourmente depuis quelques années.

Derrière le maître, Matt Gibbon, des Melbourne Rebels, affiche une forme prometteuse, mais pas parfaite.

Blake Schoupp, des Brumbies, adore les mêlées et Alex Hodgeman, des Queensland Reds, se présente comme un joker potentiel, lui qui compte quatre tests avec les All Blacks.

Son rugby complet est un cran au-dessus d’autres joueurs et il a indiqué qu’il souhaitait représenter les Wallabies.

Cependant, toutes ces options ne sont pas à la hauteur de l’expérience de Sio, 32 ans.

Le vétéran aux 69 sélections a joué pour les Exeter Chiefs en Premiership et a fait 41 apparitions pour le club, dont 11 en Champions Cup.

Ces matchs sont venus après une carrière de près de dix ans aux Brumbies, où il a accumulé 121 apparitions.

32 ans, c’est l’âge idéal pour un pilier, et la première division anglaise n’est pas un endroit où on est tranquille. 41 matchs en deux ans auront considérablement amélioré le jeu du Wallaby.

Avec une faible profondeur au poste de pilier en Australie, le rappel de Sio soulagerait un effectif blessé et permettrait à un joueur d’expérience de garder son sang-froid face aux vagues que les Wallabies ne vont pas manquer de se prendre en 2024.

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B
BeamMeUp 1 hour ago
The Springboks have something you don't have

A few comments. Firstly, I am a Bok fan and it's been a golden period for us. I hope my fellow Bok fans appreciate this time and know that it cannot last forever, so soak it all in!


The other thing to mention (and this is targeted at Welsh, English and even Aussie supporters who might be feeling somewhat dejected) is that it's easy to forget that just before Rassie Erasmus took over in 2018, the Boks were ranked 7th in the world and I had given up hope we'd ever be world beaters again.


Sport is a fickle thing and Rassie and his team have managed to get right whatever little things it takes to make a mediocre team great. I initially worried his methods might be short-lived (how many times can you raise a person's commitment by talking about his family and his love of his country as a motivator), but he seems to have found a way. After winning in 2019 on what was a very simple game plan, he has taken things up ever year - amazing work which has to be applauded! (Dankie Rassie! Ons wardeer wat jy vir die ondersteuners en die land doen!) (Google translate if you don't understand Afrikaans! 😁)


I don't think people outside South Africa fully comprehend the enormity of the impact seeing black and white, English, Afrikaans and Xhosa and all the other hues playing together does for the country's sense of unity. It's pure joy and happiness.


This autumn tour has been a bit frustrating in that the Boks have won, but never all that convincingly. On the one hand, I'd like to have seen more decisive victories, BUT what Rassie has done is expose a huge number of players to test rugby, whilst also diversifying the way the Boks play (Tony Brown's influence).


This change of both style and personnel has resulted in a lack of cohesion at times and we've lost some of the control, whereas had we been playing our more traditional style, that wouldn't happen. This is partially attributable to the fact that you cannot play Tony Brown's expansive game whilst also having 3 players available at every contact point to clear the defence off the ball. I have enjoyed seeing the Boks play a more exciting, less attritional game, which is a boring, albeit effective spectacle. So, I am happy to be patient, because the end justifies the means (and I trust Rassie!). Hopefully all these players we are blooding will give us incredible options for substitutions come next year's Rugby Championship and of course, the big prize in 2027.


Last point! The game of rugby has never been as exciting as it is now. Any of Ireland, New Zealand, South Africa, France, Argentina, Scotland, England & Australia can beat one another. South Africa may be ranked #1, but I wouldn't bet my house in them beating France or New Zealand, and we saw Argentina beating both South Africa and New Zealand this year! That's wonderful for the game and makes the victories we do get all the sweeter. Each win is 100% earned. Long may it last!


Sorry for the long post! 🏉🌍

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