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Comment expliquer le rendez-vous manqué de France 7 féminine à Paris 2024 ?

PARIS, FRANCE - 28 JUILLET : Vue générale des supporters de l'équipe de France avant le match de la poule C féminine entre l'équipe de France et l'équipe du Japon lors de la deuxième journée des Jeux olympiques Paris 2024 au Stade de France le 28 juillet 2024 à Paris, France. (Photo par Hannah Peters/Getty Images)

Ce quart de finale de tournoi olympique semblait largement à portée de l’équipe de France féminine de rugby à sept. Lors de la saison, la France avait rencontré sept fois le Canada. Et une seule fois seulement le Canada avait gagné (à Los Angeles).

« C’est un rendez-vous manqué », regrettait la capitaine du soir Camille Grassineau qui vit ses troisièmes Jeux olympiques. « Malheureusement, il faut faire avec. C’est la dure loi du sport, la dure loi du 7. Les Canadiennes ne nous ont pas battues de la saison et le font au bon moment. C’est ce que les gens vont retenir et c’est normal. »

Les Canadiennes, ce sont les cousines, celles qu’on aime affronter comme les Françaises l’avaient fait à Marcoussis douze jours avant.

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World Rugby Guide to Rugby Sevens – French

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Après la session, l’entraîneur David Courteix s’ouvrait à la presse sur l’état d’esprit des filles avant leur troisième tournoi olympique. Car même si cette saison sur le circuit mondial avait été l’une des meilleures, jamais encore la France n’avait réussi à crever le plafond de verre et à remporter une victoire complète.

« Cette équipe, il lui manque de gagner une finale et de gagner un tournoi », rappelait-il. « Il lui a manqué dans les moments clés la capacité d’exprimer pleinement son potentiel. C’est au moment où ça compte vraiment qu’on joue avec le frein à main, des hésitations qu’elles n’ont pas d’habitude. C’est ce qui nous manquait et j’espère que ça ne nous manquera pas. »

Ce scénario du pire, surtout après la victoire prometteuse en poule contre les Etats-Unis, s’est pourtant produit sur la pelouse du Stade de France. Jouer avec le frein à main avec des hésitations devant près de 69 000 spectateurs, dans ce quart de finale contre le Canada lundi 29 juillet.

Après le bronze à Rio 2016 et une 9e place à Tokyo 2020, le Canada a échangé les rôles avec la France, 5e à Rio et médaillée d’argent à Tokyo. Entre les deux, il y a eu la saison dernière où la France a fini 3e avec 104 points et vice-championne du SVNS à Madrid tandis que le Canada entrait timidement dans le Top 5 avec 80 points.

Le Canada a mangé son pain noir après des années difficiles et a prouvé son retour sur la grande scène, c’est certain. Dans ce quart, les Nord-Américaines ont patiemment construit leur jeu, pas flamboyant, mais opportuniste à l’image de ce dernier essai de Chloe Daniels alors que la défense française est bloquée sur un ruck.

Auparavant, il y a eu un nombre important de petites erreurs bégnines que les Françaises ont payé cash, cette mauvaise gestion des temps forts et des temps faibles, jouant avec précipitation et manquant leurs tentatives. Au final, même pas un match pour une médaille.

Dans les travées du Stade de France, Courteix a avancé une explication. « La dernière action, je la trouve un peu à l’image du match. On entreprend mais on ne passe pas assez dans le dos alors qu’il y a l’occasion de le faire. Et on s’y perd un peu, par excès de générosité. Ça faisait partie des dangers des choix qu’on avait faits… », souffle-t-il.

Son plan de faire entrer Séraphine Okemba en impact player – qui a si bien fonctionné à d’autres moments à telle point qu’on la comparait à Antoine Dupont, le super remplaçant – s’est finalement enclencher trop tard. « On avait un plan orchestré depuis plusieurs mois. L’idée était d’affronter ces Jeux avec deux équipes en une. Autrement dit, d’être capables de faire tourner, d’utiliser des gens à des postes différents… », explique Courteix.

Contre le Canada, le plan a foiré. « Il y aura des gens pour faire mon procès. Ce n’est pas grave, j’y survivrai. Quand le plan marche, il est bon. Quand il ne marche pas, c’est un con qui l’a élaboré. Je vais prendre le rôle du con avec un immense plaisir », lance-t-il l’air bravache.

L’air pincé pendant toute la rencontre, il affirme pourtant qu’il n’a pas senti ses filles subir la pression que les garçons avaient ressenti avant elles lors de leur première journée du tournoi olympique.

« Ce n’est pas le sentiment que ça m’a donné. Pour avoir passé tout le temps avec elle, je n’ai pas ce sentiment. Je n’ai pas perçu de relâchement ni de tension particulière. Mais parfois, les matchs vous échappent, ça va trop vite… Au 7, tu écris un scénario au fur et à mesure. Chacun prend la plume à son compte de temps en temps et là, très clairement, elles ont mis la main sur le stylo », dit-il.

« Le mental est très compliqué. La première des choses c’est de se le dire. Quand tu veux gagner un match il faut que tu le centres sur ce qui te fait gagner les matchs, pas sur l’envie de gagner », rappelait-il douze jours avant à Marcoussis.

« On avait tout en mains pour faire quelque chose de grand et le rêve s’arrête ici », confiait Anne-Cécile Ciofani, les larmes aux yeux, incapable d’expliquer à chaud les raisons de cet échec.

Ce soir-là, il y avait peu de satisfaction. En temps normal on aurait par exemple salué que Iän Jason était désormais co-meilleure marqueuse d’essais de la France (5 réalisations) avec Séraphine Okemba. Mais le cœur n’y est pas.

Il y a bien une cinquième place à aller chercher maintenant. Mais comment se remobiliser après avoir raté cette belle occasion de remporter les Jeux à domicile ? Médaillée d’or à Rio 2016, l’Australie avait chuté en quart face aux Fidji (14-12) à Tokyo 2020. Elle avait su se remobiliser pour finir à la 5e place en battant la délégation russe et les USA. Depuis, elle a tout bousculé sur le circuit mondial et est une sérieuse prétendante à la médaille d’or à Paris 2024. Un exemple à suivre ?

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Why is Joe Schmidt the best option for Australia? (LONG READ)


An essay for @OJohn with love from South Africa.


OJohn keeps banging on about kiwis and Saffers and everyone else seeking to undermine and bring down Australian rugby… Blah, Blah, Blah. It’s boring and not worth responding too 99 days out of 100.


He misses the point completely that Australians either are or are not the masters of their own destiny. So to blame anyone else but themselves for what the state of Australian rugby is in - is hypocritical.


But recently, Australia has shown signs of life. Personally, I always believed they would be back at some point. At the beginning of this year I predicted that the wallabies would bounce back this year. I predicted that they would overtake England in the world rankings. I am predicting that they could finish second in the RC, could win the Lions series and could make it to a RWC final at home.


I tend to get ahead of myself when I’m excited... Ask my wife. But forgive me for getting excited about the Wallabies looking good! Is it so bad?


Like OJohn, I believe that Australia’s lands abound with natures gifts, including athletic specimens across any sporting code the Aussies compete in. It’s one of the reasons most of us don’t like Aussies. They win sh1t. Regularly. And look smug when they do...


But back to OJohn. And his banging on about the need for Australia to have an Australian coach. Here are a few highlights of his argument:


Several times I've given a list of half a dozen Australian coaches who would be more Australian than Schmidt and just as successful.

Tell me which Australian coaches would be acceptable to coach the All Blacks ......?

Because South Africans and Kiwis and Welshmen and Scotsman are all s.... scared that if an immensely talented and athletic team like Australia is ever able to harness nationalistic Australian passion with an Australian coach, you'll all be s.c.r.e.w.e.d.


And then finally – the list of 6 🥴:


Ewen McKenzie, Less Kiss, Stephen Larkham, Jim McKay, David Nucifora, Scott Wisenthal, Ben Mowen, Rod Kafer, Mick Byrne, John Manetti, Jason Gilmore, Dan McKellar.

Plus, a special request:


Keep in mind Rod MacQueen never won a Super Rugby title before he was appointed Wallaby coach but he ended up the greatest rugby coach the world has ever seen. Better than Erasmus even. Who is probably the next best.

Right. I don’t care about the tinfoil hat theories. I want to assess OJohn’s list and determine whether any of them fit the mold of a Rod Macqueen.

 

Like Rod Macqueen the following world cup winning coaches never won a Super Rugby Title:


·       David Kirk, 1987 (17 appearances for New Zealand)

·       Kitch Kristie, 1995

·       Rod Macqueen, 1999

·       Clive Woodward, 2003 (21 Appearance for England)

·       Jake White, 2007 (School Teacher)

·       Graham Henry, 2011 (School Teacher)

·       Steve Hansen, 2015 (Policeman)

·       Rassie Erasmus, 2019 (36 Appearances for South Africa)

·       Jacques Nienaber, 2023 (Physiotherapist).


I couldn't find out what Rod or Kitch did other than coach.


The only coach who has won a Super title and a World Cup?

·       Bob Dwyer, 1991 (A Tahs man wouldn’t you know!)


In fact coaches that have won super rugby titles have not won world cups. Robbie Deans. Heyneke Meyer to name just two.


I know I’m being childish, but I needed to bring this list in somehow because it’s quite obvious that whatever these coaches did before they became international level coaches is largely immaterial. Or is it?


Interestingly Ewan McKenzie (A Tah Man!) has won a Super title. And despite being a Tah Man made it into OJohn’s list. That’s two strikes for Ewan Mckenzie based on OJohn’s criteria so far. Not to mention his 50% win rate as head coach of the Wallabies between 2013 and 2014 (and the laundry list of off the field fcuk ups that swirled around the team at the time).


So Ewan is out.


I find it interesting that, as we speak, eight out of the ten top ranked men’s teams are coached by former international players:

1.      South Africa, Rassie Erasmus (36 appearances for South Africa)

2.      Ireland, Andy Farrell (8 appearances for England)

3.      New Zealand, Scott Robertson (23 appearances for New Zealan)

4.      France, Fabien Galthie (64 appearances for France)

5.      Argentina, Felipe Contemponi (87 appearances for Argentina)

6.      Scotland, Gregor Townsend (82 appearances for Scotland)

7.      England, Steve Borthwick (57 appearances for England)

8.      Australia, Joe Schmidt (School Teacher)

9.      Fiji, Michael Byrne (Aussie Rules Player)

10.  Italy, Gonzalo Quesada (38 appearances for Argentina).


It would appear as though we have entered an era where successful international coaches, largely, have played rugby at international level in the professional era. Or are ex school teachers. Much like Jake White and Graham Henry! Or a policeman.

 

Back to OJohn’s List. That leaves us with:


·       Less Kiss, (I like the look of)

·       Stephen Larkham, (I like the look of)

·       Jim McKay, (Very little to write home about)

·       David Nucifora, (Too old)

·       Scott Wisenthal, (I literally can’t find anything on him on the Google).

·       Ben Mowen, (Too young, no coaching experience)

·       Rod Kafer, (No coaching experience)

·       Mick Byrne, (He’s coaching the Fijians, Aussie rules!)

·       John Manetti, (Can’t find him on the google)

·       Jason Gilmore, (Seems to be working through the ranks, coaching Wallabies A)

·       Dan McKellar, (Not much to write home about, but could be an option).


Applying some logic, I would say the following are viable options based on age, experience in coaching AND the fact that they have played rugby for Australia in the professional era:

·       Less Kiss, (I like the look of)

·       Stephen Larkham, (I like the look of)

·       Jason Gilmore, (Seems to be working through the ranks, coaching Wallabies A)


After having done all this research, I think it’s fair to say that none of these three have the same pedigree as Joe Schmidt, the teacher. Who took a sh1tty Ireland team to no.1. Won a few 6 Nations and helped get the All Blacks to a world cup final in 2023.


Joe’s the best option for now. But if Kiss, Larkham and Gilmore are the business for the future for Australia get them in now as assistants to Joe and stop moaning!!


And, for the record, NONE of the above are good enough to coach the All Blacks. The All Blacks have the guy that hasn’t won a single Super title. He’s won 6.


Errors and Ommissions Excepted. Mispelling of names is OJohn's fault.

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