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Comment Sébastien Chabal s’est retrouvé à faire des burgers ?

Sébastien Chabal et Joannes Richard

A force de plagier Sébastien Chabal en égérie de la marque de viande Charal – ce qu’il n’a jamais été – il fallait bien s’attendre à ce que le plus médiatique des troisième-lignes français (62 sélections) franchisse le pas un jour.

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Le 5 juin, il a officiellement lancé son nouveau projet, Les Burgers de Jo, lancé en partenariat avec le Nîmois Joannes Richard sacré Champion du Monde du Burger à Dallas en novembre 2023. Par sa marque de vêtements Ruckfield (il possède également la société Chabal Sport spécialisée dans la fabrication des terrains de sport et compte plusieurs participations dans des sociétés de nouvelles technologies), l’entrepreneur Chabal était justement l’un des sponsors du chef lors de la compétition mondiale.

« Ce qui a motivé ce projet, c’est la rencontre avec Johannes, avant qu’il soit champion du monde », a confié Sébastien Chabal à l’occasion du lancement de la marque.

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Damian de Allende – Walk the Talk Trailer | RPTV

Springbok Damian de Allende joins Jim Hamilton for a fascinating chat about all things Springbok rugby, including RWC2023 and the upcoming Ireland series. Full interview coming Thurs 6th June.

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Springbok Damian de Allende joins Jim Hamilton for a fascinating chat about all things Springbok rugby, including RWC2023 and the upcoming Ireland series. Full interview coming Thurs 6th June.

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« On est issu d’un même terrain, c’est celui du rugby. On s’est apprécié rapidement et moi, les projets food me passionnent. Je suis gourmand. Gourmet et gourmand. On s’est rapidement dit qu’on allait lancer quelque chose ensemble. Une fois qu’il est rentré de Dallas avec son titre de champion du monde en poche, on s’est dit qu’on allait lancer une franchise.

« Et puis il y a des éléments, des événements, de la réflexion qui ont fait qu’on s’est dit qu’en fait, on n’allait pas lancer de franchise, on n’allait pas lancer une offre concurrente dans le monde de la restauration parce qu’il y a déjà des dizaines de concepts qui sortent chaque année.

« On s’est dit qu’on allait plutôt être partenaire des restaurants existants – des restaurants qu’on sélectionne, qu’on trie sur le volet des restaurants qui aiment le produit, qui aiment cuisiner le produit frais, qui aiment leurs clients – et leur proposer de prendre la carte des burgers de Joannes Richard le temps d’un mercredi ou de deux mercredis par mois pour apporter une offre différenciante, pour avoir une exclusivité dans leur ville.

« Et c’est vrai qu’aujourd’hui, le modèle reçoit un accueil assez positif et on est très content. L’objectif, c’est d’être un peu partout en France, d’être le plus grand réseau de restaurants hamburger en France et ce, dès 2025. Et je crois qu’on va y arriver. »

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Pour l’heure, un millier de restaurants seraient déjà intéressés et inscrits dans ce projet qui sera lancé en janvier 2025. L’objectif étant de tripler le nombre en douze mois.

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F
Flankly 1 hour ago
'Absolute madness': Clive Woodward rips into Borthwick in wake of NZ loss

Borthwick is supposed to be the archetypical conservative coach, the guy that might not deliver a sparkling, high-risk attacking style, but whose teams execute the basics flawlessly. And that's OK, because it can be really hard to beat teams that are rock solid and consistent in the rugby equivalent of "blocking and tackling".


But this is why the performance against NZ is hard to defend. You can forgive a conservative, back-to-basics team for failing to score tons of tries, because teams like that make up for it with reliability in the simple things. They can defend well, apply territorial pressure, win the set piece battles, and take their scoring chances with metronomic goal kicking, maul tries and pick-and-go goal line attacks.


The reason why the English rugby administrators should be on high alert is not that the English team looked unable to score tries, but that they were repeatedly unable to close out a game by executing basic, coachable skills. Regardless of how they got to the point of being in control of their destiny, they did get to that point. All that was needed was to be world class at things that require more training than talent. But that training was apparently missing, and the finger has to point at the coach.


Borthwick has been in the job for nearly two years, a period that includes two 6N programs and an RWC campaign. So where are the solid foundations that he has been building?

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