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Deux documentaires sur le rugby à streamer cette semaine

Pink Rockets

Le rugby est bankable, ça on le savait. Il n’y a qu’à voir les belles audiences du week-end sur Canal + pour suivre les rencontres du Top 14 ou bien le carton qu’a fait la Coupe du Monde de Rugby 2023 à la télévision.

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Si on ne devait s’arrêter que sur quelques audiences… La finale Afrique du Sud – Nouvelle-Zélande a rassemblé 10,9 millions de téléspectateurs sur TF1 le 28 octobre dernier, soit 49% de part de marché ; record absolu pour un match de rugby où la France ne jouait pas.

Autres exemples : 7,5 millions de téléspectateurs en moyenne sur les 20 matchs programmés en prime time sur TF1, dont ceux de la France qui ont réuni en moyenne 14,3 millions de téléspectateurs, soit 58?% de part de marché à chaque fois.

France TV a attiré en moyenne 4 millions par match avec un pic à 10,7 millions pour le France-Namibie et M6 a également affirmé avoir touché 32 millions de téléspectateurs au total sur les matchs que la chaîne diffusait. Du jamais-vu.

« Plus qu’un jeu » sur Canal + le 21 janvier

Du jamais-vu aussi, ce sont les coulisses du rugby qui suscitent de plus en plus d’envie et de curiosité. Et dans ce domaine, hasard du calendrier, deux productions sortent quasiment en même temps.

La première est Plus qu’un jeu, un documentaire rare (1h11) sur les coulisses des Pink Rockets, l’équipe de rugby féminin du Stade Français Paris, tourné lors de la saison 2022­2023, celle de la remontée.

Alors que l’on juge moribond et largement perfectible le championnat Elite de rugby féminin en France, ce doc fait le pari de le mettre en lumière en suivant les Franciliennes dans leur quête de remontée en Elite 1, match après match, week-end après week-end.

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On y suit notamment des figures connues telles que Coumba Diallo (internationale à XV) et Anne-Cécile Ciofani, l’internationale à sept actuellement en Australie pour préparer le HSBC SVNS Perth du 26 au 28 janvier.

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« Il faut concilier l’exigence du niveau professionnel tout en ayant le statut amateur, à la différence des garçons. Coumba, Fanny, Esther, Bintou, Doriane sont des sportives accomplies, mais elles doivent mener leur carrière de front avec une vie de famille, un travail, des études. Et parfois plaquer les stéréotypes pour réussir », indique la plaquette de promotion.

« Six Nations : Full contact » sur Netflix le 24 janvier

L’autre évènement est sans conteste la sortie mondiale le 24 janvier sur Netflix de la série Six Nations : Full Contact de James Gay-Rees, l’homme qui était déjà derrière Formula 1 : Pilotes de leur destin (Formula One : Drive to Survive), mais aussi Break Point (sur le tennis), Full Swing (sur le golf) et Au cœur du peloton (sur le Tour de France).

L’avant-première à Londres le 15 janvier a donné à 200 invités triés sur le volet à voir les premières images de ce qui s’annonce comme un véritable évènement.

« Le Tournoi des Six Nations est une compétition très courte par rapport à la Formule 1, qui dure environ dix mois », explique James Gay-Rees dans une interview exclusive au site du Six Nations.

« Il est très difficile d’avoir accès aux joueurs pendant un tournoi qui ne dure que cinq ou six semaines : les joueurs sont soit en camp, soit en train de passer du temps avec leur famille.

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« Voir ce que ces gars traversent pour se préparer à un match, ce qu’ils font ensuite sur le terrain, et les conséquences, est remarquable et méconnu. Ce n’est pas quelque chose que nous avons vu auparavant et pourtant ça aurait dû être fait depuis longtemps. »

Raison de plus pour ne manquer aucune de ces diffusions.

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Boks Office | Episode 37 | Six Nations Round 4 Review

Cape Town | Leg 2 | Day 2 | HSBC Challenger Series 2025 | Full Day Replay

Gloucester-Hartpury vs Bristol Bears | PWR 2024/25 | Full Match Replay

Boks Office | Episode 36 | Six Nations Round 3 Review

Why did Scotland's Finn Russell take the crucial kick from the wrong place? | Whistle Watch

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S
Spew_81 37 minutes ago
Stat chat: Clear favourite emerges as Sam Cane's All Blacks successor

I chose Savea as he can do all the roles that an openside needs to do. e.g. he can do the link role, or the initiating run role. He does all the roles well enough, and the ones he’s not great at can be spread across the forwards. But the main reason is that the All Blacks need to break the opposition defenses up for the All Blacks offloading game to work (Savea can both break the line or exploit the break as a support player); he’s got the power running game to do that and the finesse to operate in the centers or on the edge. Also, he can captain the team if he needs to; and, a 6 foot 2 openside can be used as a sometimes option in the lineout, he’s got the leg spring for it.


In 2022 I thought Papali’i would be the way forward. But he’d never quite regained the form he had in the 2022 Super Rugby season.


I think that viewing a player, in isolation, isn’t a great way of doing it. Especially as a good loose forward trio hunts as a pack; and the entire pack and wider team work as part of a system.


Requirements for player capabilities are almost like ‘Moneyball’. They can either come from one or two players e.g. lineout throwing or goal kicking, or can be spread across the team e.g. running, offloading, tackling, cleaning out, and turnovers etc.


As stated I think the missing piece with the All Blacks is that they are not busting the line and breaking up the opposition’s highly organized defenses. For instance. If the Springboks forwards had to run 40m meters up and down the field regularly, as the All Blacks have broken the line, then they will get tired and gaps will appear. The Springboks are like powerlifters, very very strong. But if the pace of the game is high they will gas out. But their defense needs to be penetrated for that to happen.

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