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Deux mois après leur sacre, où en sont nos champions olympiques ?

Les médaillés d'or de l'équipe de France prennent un selfie sur le podium lors de la cérémonie de remise des médailles du rugby à VII, le premier jour des Jeux olympiques Paris 2024 au Stade de France, le 27 juillet 2024 à Paris, France. (Photo par Cameron Spencer/Getty Images)

Souvenez-vous, c’était il y a presque deux mois. Le 27 juillet dernier, l’équipe de France de rugby à VII ouvrait les Jeux olympiques en fanfare et lançait la délégation bleue de la meilleure des manières en décrochant une splendide médaille d’or.

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Une breloque remportée de haute lutte, en battant notamment l’Argentine, vainqueure du circuit mondial, en quart de finale, puis les Fidji, doubles champions olympiques en titre, en finale.

Des moments d’émotion intenses pour les spectateurs d’un Stade de France rempli jusqu’au cintres et en fusion, comme pour les joueurs qui ont vécu une aventure incroyable.

Après quelques semaines à être célébré aux quatre coins de l’Hexagone, nos 13 champions ont repris le cours de leur vie. Certains poursuivent le Sevens, d’autres essaient de se faire une place en Top 14.

RugbyPass fait le point, joueur par joueur, par ordre alphabétique.

PARIS, FRANCE - 27 JUILLET : (de gauche à droite) Jefferson-Lee Joseph, Paulin Riva, Stephen Parez Edo Martin, Theo Forner et Rayan Rebbadj de l'équipe de France célèbrent après avoir reçu leur médaille d'or olympique, lors de la première journée des Jeux olympiques Paris 2024 au Stade de France, le 27 juillet 2024 à Paris, en France. (Photo par Hannah Peters/Getty Images)

Jean-Pascal Barraque

Douze ans. C’est le temps écoulé entre la première sélection de Barraque à VII et le titre olympique 2024, ponctué d’allers-retours entre le Top 14 et le Sevens. Passé par Biarritz, Toulouse, La Rochelle, Bordeaux-Bègles, Clermont, il s’est engagé avec Perpignan en 2023.

À 33 ans, c’est chez les Catalans qu’il devrait évoluer cette saison, aux côtés d’autres septistes (notamment Théo Forner et Jefferson-Lee Joseph). « L’USAP a un style particulier plutôt très offensif », estimait-il auprès de Rugbyrama juste avant les JO. « Le club et les supporters s’identifient comme ça et forcément le joueur de rugby à VII brille dans ce système tourné vers l’attaque. »

Pas encore apparu avec les ‘sang et or’ cette saison, Barraque aura sûrement l’occasion d’amener son expérience à l’USAP, dernière équipe sans victoire après trois journées de Top 14.

Antoine Dupont

La page du rugby à VII est tournée pour le meilleur joueur du monde. En quelques mois à peine, sa présence auprès de France Sevens a tout changé : une 3e place pour son premier tournoi, victoire pour le 2e, victoire dans la Grande Finale de Madrid, et médaille d’or olympique.

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Difficile de faire mieux, et ‘Super Dupont’ a vécu cette aventure comme une parenthèse enchantée. Il est désormais attendu sous le maillot du Stade Toulousain, avec qui il a tout de même eu le temps, entre ses piges à VII, de remporter le Top 14 et la Champions Cup ! Phénoménal.

Nelson Epée

Toulousain de naissance, Nelson Epée est programmé pour le plus haut niveau. Il a fait partie de toutes les équipes de France des U16 aux U20 avant de bifurquer vers le Sevens. Il entend désormais reprendre sa carrière à XV avec le Stade Toulousain, « le plus grand club du monde », s’enthousiasme le jeune homme de 23 ans auprès d’Actu Rugby.

Un retour chez les quinzistes programmé de longue date, à l’écouter : « Je ne mets pas un arrêt définitif au VII, mais cette année je veux me concentrer sur le XV et me donner des objectifs à XV. Même si nous n’avions pas gagné les World Series et les Jeux olympiques, c’est ce que j’aurai fait, c’était prévu dans ma tête. »

Pas encore apparu sur les terrains du Top 14 cette saison, il devra se frayer un chemin parmi le pléthorique effectif toulousain, mais le manager Ugo Mola le connait bien pour lui avoir offert son premier match dans l’élite le 11 février 2022, peu avant son 21e anniversaire.

Théo Forner

Pur produit catalan, issu d’une famille de rugbymen aussi bien à XIII qu’à XV, Théo Forner avait l’avenir tout tracé : les JO, puis le retour à l’USAP pour s’installer dans le Top 14 (six matchs en 2022-2023). Pour cela, il avait prolongé de trois saisons (jusqu’en 2028) son contrat le liant à son club de toujours.

Mais le jeune ailier (22 ans) s’est gravement blessé durant l’épopée olympique, face aux Fidji en match de poule : rupture des ligaments croisés du genou gauche.

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« J’ai beaucoup de peine pour Théo. C’est un garçon qui s’est investi à 200 % dans ce projet », lâchait Franck Azéma, le manager de l’USAP, dans les colonnes de L’Indépendant.

« Malheureusement, ce sont des blessures qui arrivent dans une carrière. Il vaut mieux que ça arrive jeune. Il a un genou sain et il a du caractère. Il va remonter. On va l’avoir avec nous aussi, on va pouvoir profiter de lui pendant sa réhabilitation. Et il va se préparer pour la fin de saison. »

Theo forner
Theo Forner, pose avec sa médaille d'or lors d'une séance photo à Paris le 28 juillet 2024. (Photo by JOEL SAGET / AFP) (Photo by JOEL SAGET/AFP via Getty Images)

Aaron Grandidier Nkanang

Grandidier Nkanang a disputé ce week-end son premier match de Top 14 sous les couleurs de la Section Paloise. Titulaire sur l’aile droite, il est resté sur le terrain durant 80 minutes lors de la défaite des siens à La Rochelle (49-25).

« Il y a beaucoup de petites habitudes prises au Sevens qu’il faut que je corrige dans le jeu, cela va faire partie de mon apprentissage pour arriver à ce niveau », a confié le natif de Londres à la BBC. « Le plus important pour moi, c’est de trouver le bon timing en attaque, et de défendre en zone plutôt qu’en individuel, en particulier lorsqu’il y a plus de mouvement devant moi. »

Anglais de naissance mais Français par sa mère et Nigérien par son père, Aaron Grandidier Nkanang ne se fixe pas de limite : « Maintenant, mon ambition est d’être sélectionné avec l’équipe de France à XV. Ça va être un sacré parcours du combattant, mais c’est vraiment le prochain objectif. »

Jefferson-Lee Joseph

Trois journées de Top 14, et trois apparitions. Débarqué à l’entraînement de l’USAP le 20 août dernier, le Guadeloupéen n’a pas tardé à découvrir le Top 14. Remplaçant lors des deux premières journées, il a fêté sa première titularisation dans l’élite française du rugby à XV à Castres le week-end dernier. Il n’a toutefois pas pu empêcher une nouvelle défaite pour Perpignan, battu trois fois en trois journées.

Courtisé par plusieurs clubs de Top 14 intéressé par sa stature, sa vitesse et ses crochets, Joseph, qui avait fait quelques apparitions en Pro D2 avec Agen, est encore en phase de réadaptation au rugby à XV. À tout juste 22 ans, il semble avoir les qualités requises pour y faire son trou.

Jefferson Lee Joseph Perpignan
Jefferson Lee Joseph a fêté sa première titularisation en Top 14 samedi à Castres. Il a joué 80 minutes sous les couleurs de l'USAP, après avoir fait quelques apparitions en Pro D2 avec Agen. (Photo by MATTHIEU RONDEL/AFP via Getty Images)

Stephen Parez Edo Martin

À 30 ans, il est un cadre de l’équipe de France de Sevens, qu’il fréquente depuis 2013. Sa fidélité a été récompensée en 2024 avec bien sûr le titre olympique, mais aussi celui de champion du monde décroché en juin à Madrid, là où il a touché ses premiers ballons ovales.

« Le fait de voir la fin des Paralympiques, les stades éphémères démontés… Une petite nostalgie commence à s’installer, il va falloir revenir à la vie réelle », confiait-il il y a deux semaines au Parisien.

La vie réelle, ce sera le retour au circuit de Sevens, dont le premier tournoi aura lieu à Dubaï à partir du 30 novembre.

Varian Pasquet

Retour à l’école pour Varian Pasquet. Après deux années de césure pour préparer au mieux les JO, il va reprendre ses études d’ingénieur, après avoir validé une licence de mathématiques à l’université Paris-Cité. « Le championnat de rugby à VII est international, ce qui demande beaucoup de déplacements, et il était compliqué de suivre les cours à distance et en même temps d’être performant dans ma nouvelle équipe », explique-t-il à L’Étudiant.

Il devrait également continuer l’aventure du Sevens puisqu’il a paraphé un nouveau contrat d’un an agrémenté d’une clause libératoire en cas de sollicitations venues du Top 14 : « Je vise les JO 2028 et je me dis que cette année est la bonne pour tenter l’aventure à XV. C’est un autre rêve de gosse qui se réaliserait si je jouais en Top 14 », a-t-il confié au Midi olympique le 16 septembre.

Rayan Rebbadj

Le passage par le Sevens a redonné goût au rugby à Rayan Rebbadj. Le petit frère de Swan était sur le point d’arrêter quand l’équipe de France l’a appelé. « Avant l’appel du rugby à VII, j’étais en galère. Je ne peux pas être plus honnête que ça. Je n’arrivais pas à passer le cap. […] Le rugby à VII a été ma bouée. Maintenant, je dois mettre tout ce que j’ai appris au profit de Toulon. J’ai un parcours et je dois l’utiliser pour passer le cap en Top 14 », espère-t-il, dans une interview à Rugbyrama.

Il a prolongé avec le RC Toulon jusqu’en 2026 au lendemain des JO, et était sur la pelouse détrempée de Jean-Bouin dimanche soir, où les Toulonnais sont venus s’imposer (14-10). Ce n’était pas un temps à mettre un ailier dehors, mais pas grave, ça colle aux objectifs de Rebbadj : « Je suis un champion olympique qui veut se faire sa place au RCT. C’est mon défi. »

Paulin Riva

Le capitaine des champions olympiques a été fêté comme il se doit durant tout l’été, notamment dans son Gers natal. « Beaucoup de gens nous ont dit ‘On ne connaissait pas le rugby à VII et honnêtement, vous nous avez fait pleurer’ », appréciait-il le 18 septembre sur les ondes de France Bleu Occitanie.

Il va maintenant remettre le couvert, sans l’enthousiasme du Stade de France pour pousser derrière son équipe, mais avec un nouveau statut.

« C’est le parcours de tout sportif de haut niveau, qui consiste à continuer à gagner. On est les deuxièmes champions olympiques de rugby à VII (après les Fidji vainqueurs des deux premières éditions, ndlr). Il faut l’assumer, avec humilité surtout. »

Jordan Sepho

Le colosse venu de la Réunion (1,96 m, 105 kg) va continuer l’aventure à VII et demeurera un fer de lance de France Sevens, qu’il fréquente depuis 2019. Il a fait partie du nouveau souffle de cette équipe de France, qui l’a menée jusqu’au titre olympique.

« Il y a beaucoup d’anciens qui sont partis. C’est à nous maintenant de jouer. De gagner en expérience. Je pense que ça va se faire petit à petit », racontait-il au Quotidien de La Réunion quand il est arrivé en bleu. « On va commencer à nous faire jouer un peu, puis on va nous utiliser de plus en plus. Notre temps de jeu va augmenter au fur et à mesure. Pour qu’on devienne des joueurs plus expérimentés, des cadres ».

C’est désormais chose faite, et sa puissance et sa vitesse devraient continuer à ravager les défenses adverses. Des qualités physiques naturelles parfois agrémentées d’un poil de vice, comme il l’a montré face à l’Australie la saison dernière avec un bluff digne des plus grands joueurs de poker.

Andy Timo

Champion du monde U20 en 2023 à XV, champion olympique en 2024 à VII, le début de carrière se passe plutôt bien pour Andy Timo, c’est le moins que l’on puisse dire.

Issu du RC Massy, grand fournisseur de talents, Timo est licencié au Stade Français avec qui il a signé sa première feuille de match à même pas 20 ans. Et en Champions Cup contre le Leinster, excusez du peu !

Désormais, cap sur le Top 14. « C’est un objectif, m’imposer dans cette équipe, avoir une place que ce soit de titulaire ou de remplaçant. Démontrer que je suis un joueur à XV », détaille-t-il sur la chaine YouTube de Kop Rugby.

Avant d’aller plus loin dans ses ambitions : « Que le XV de France me regarde comme ça (il mime des jumelles avec les mains) en se disant ‘Ah, Andy Timo il est là !’ même si je sais que la concurrence en 3e ligne est très très rude », citant Mathis Castro-Ferreira, Marko Gazzotti ou encore Lenni Nouchi parmi les joueurs de sa génération les plus en avance.

Antoine Zeghdar

Entre VII et XV, le cœur d’Antoine Zeghdar balance, comme il l’a expliqué à RugbyPass dans une interview exclusive. Sous contrat avec le Castres Olympique, il a longtemps espéré réussir à mener de front Sevens et Top 14.

« Pour l’instant, je ne sais pas vraiment comment je vais réussir à combiner les deux, mais j’espère que j’y arriverai. Je suis en train de voir avec mon club comment on va gérer cette transition, car je veux rester en forme pour l’équipe de France de Sevens. »

Mais il a fallu trancher, et c’est avec l’équipe de France à VII qu’il évoluera encore cette saison. Le CO a toutefois négocié son retour au sein de son effectif en cas de besoin, en fonction des blessures.

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Why is Joe Schmidt the best option for Australia? (LONG READ)


An essay for @OJohn with love from South Africa.


OJohn keeps banging on about kiwis and Saffers and everyone else seeking to undermine and bring down Australian rugby… Blah, Blah, Blah. It’s boring and not worth responding too 99 days out of 100.


He misses the point completely that Australians either are or are not the masters of their own destiny. So to blame anyone else but themselves for what the state of Australian rugby is in - is hypocritical.


But recently, Australia has shown signs of life. Personally, I always believed they would be back at some point. At the beginning of this year I predicted that the wallabies would bounce back this year. I predicted that they would overtake England in the world rankings. I am predicting that they could finish second in the RC, could win the Lions series and could make it to a RWC final at home.


I tend to get ahead of myself when I’m excited... Ask my wife. But forgive me for getting excited about the Wallabies looking good! Is it so bad?


Like OJohn, I believe that Australia’s lands abound with natures gifts, including athletic specimens across any sporting code the Aussies compete in. It’s one of the reasons most of us don’t like Aussies. They win sh1t. Regularly. And look smug when they do...


But back to OJohn. And his banging on about the need for Australia to have an Australian coach. Here are a few highlights of his argument:


Several times I've given a list of half a dozen Australian coaches who would be more Australian than Schmidt and just as successful.

Tell me which Australian coaches would be acceptable to coach the All Blacks ......?

Because South Africans and Kiwis and Welshmen and Scotsman are all s.... scared that if an immensely talented and athletic team like Australia is ever able to harness nationalistic Australian passion with an Australian coach, you'll all be s.c.r.e.w.e.d.


And then finally – the list of 6 🥴:


Ewen McKenzie, Less Kiss, Stephen Larkham, Jim McKay, David Nucifora, Scott Wisenthal, Ben Mowen, Rod Kafer, Mick Byrne, John Manetti, Jason Gilmore, Dan McKellar.

Plus, a special request:


Keep in mind Rod MacQueen never won a Super Rugby title before he was appointed Wallaby coach but he ended up the greatest rugby coach the world has ever seen. Better than Erasmus even. Who is probably the next best.

Right. I don’t care about the tinfoil hat theories. I want to assess OJohn’s list and determine whether any of them fit the mold of a Rod Macqueen.

 

Like Rod Macqueen the following world cup winning coaches never won a Super Rugby Title:


·       David Kirk, 1987 (17 appearances for New Zealand)

·       Kitch Kristie, 1995

·       Rod Macqueen, 1999

·       Clive Woodward, 2003 (21 Appearance for England)

·       Jake White, 2007 (School Teacher)

·       Graham Henry, 2011 (School Teacher)

·       Steve Hansen, 2015 (Policeman)

·       Rassie Erasmus, 2019 (36 Appearances for South Africa)

·       Jacques Nienaber, 2023 (Physiotherapist).


I couldn't find out what Rod or Kitch did other than coach.


The only coach who has won a Super title and a World Cup?

·       Bob Dwyer, 1991 (A Tahs man wouldn’t you know!)


In fact coaches that have won super rugby titles have not won world cups. Robbie Deans. Heyneke Meyer to name just two.


I know I’m being childish, but I needed to bring this list in somehow because it’s quite obvious that whatever these coaches did before they became international level coaches is largely immaterial. Or is it?


Interestingly Ewan McKenzie (A Tah Man!) has won a Super title. And despite being a Tah Man made it into OJohn’s list. That’s two strikes for Ewan Mckenzie based on OJohn’s criteria so far. Not to mention his 50% win rate as head coach of the Wallabies between 2013 and 2014 (and the laundry list of off the field fcuk ups that swirled around the team at the time).


So Ewan is out.


I find it interesting that, as we speak, eight out of the ten top ranked men’s teams are coached by former international players:

1.      South Africa, Rassie Erasmus (36 appearances for South Africa)

2.      Ireland, Andy Farrell (8 appearances for England)

3.      New Zealand, Scott Robertson (23 appearances for New Zealan)

4.      France, Fabien Galthie (64 appearances for France)

5.      Argentina, Felipe Contemponi (87 appearances for Argentina)

6.      Scotland, Gregor Townsend (82 appearances for Scotland)

7.      England, Steve Borthwick (57 appearances for England)

8.      Australia, Joe Schmidt (School Teacher)

9.      Fiji, Michael Byrne (Aussie Rules Player)

10.  Italy, Gonzalo Quesada (38 appearances for Argentina).


It would appear as though we have entered an era where successful international coaches, largely, have played rugby at international level in the professional era. Or are ex school teachers. Much like Jake White and Graham Henry! Or a policeman.

 

Back to OJohn’s List. That leaves us with:


·       Less Kiss, (I like the look of)

·       Stephen Larkham, (I like the look of)

·       Jim McKay, (Very little to write home about)

·       David Nucifora, (Too old)

·       Scott Wisenthal, (I literally can’t find anything on him on the Google).

·       Ben Mowen, (Too young, no coaching experience)

·       Rod Kafer, (No coaching experience)

·       Mick Byrne, (He’s coaching the Fijians, Aussie rules!)

·       John Manetti, (Can’t find him on the google)

·       Jason Gilmore, (Seems to be working through the ranks, coaching Wallabies A)

·       Dan McKellar, (Not much to write home about, but could be an option).


Applying some logic, I would say the following are viable options based on age, experience in coaching AND the fact that they have played rugby for Australia in the professional era:

·       Less Kiss, (I like the look of)

·       Stephen Larkham, (I like the look of)

·       Jason Gilmore, (Seems to be working through the ranks, coaching Wallabies A)


After having done all this research, I think it’s fair to say that none of these three have the same pedigree as Joe Schmidt, the teacher. Who took a sh1tty Ireland team to no.1. Won a few 6 Nations and helped get the All Blacks to a world cup final in 2023.


Joe’s the best option for now. But if Kiss, Larkham and Gilmore are the business for the future for Australia get them in now as assistants to Joe and stop moaning!!


And, for the record, NONE of the above are good enough to coach the All Blacks. The All Blacks have the guy that hasn’t won a single Super title. He’s won 6.


Errors and Ommissions Excepted. Mispelling of names is OJohn's fault.

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