Édition du Nord

Select Edition

Nord Nord
Sud Sud
Mondial Mondial
Nouvelle Zélande Nouvelle Zélande
France France

Eddie Jones devrait être nommé sélectionneur du Japon

Eddie Jones, Coach of Barbarians, looks on as he inspects the pitch prior to the Test Match between Wales and Barbarians at Principality Stadium on November 04, 2023 in Cardiff, Wales. (Photo by Ryan Hiscott/Getty Images for Barbarians)

Eddie Jones est sur le point de faire son retour à la tête du Japon, un poste qu’il a déjà occupé jusqu’en 2015, bien qu’il ait nié avec véhémence les informations faisant état d’un entretien pour ce rôle pendant son mandat de sélectionneur des Wallabies lors de la Coupe Monde de Rugby 2023 en France.

ADVERTISEMENT

Des informations en provenance du Japon laissent entendre qu’Eddie Jones, qui avait été à plusieurs reprises pressenti pour occuper le poste, sera officiellement annoncé comme entraîneur principal dans les jours qui viennent. Jones est maintenant prêt à reprendre les rênes, en attendant l’autorisation du conseil d’administration de la Japan Rugby Football Union (JRFU) qui se réunira le 13 décembre. Il devrait être sous contrat jusqu’à la Coupe du Monde Rugby de 2027.

Related

Jones a démenti à plusieurs reprises les informations du Sydney Morning Herald selon lesquelles il aurait postulé pour le poste, alors qu’il était sous contrat avec Rugby Australia jusqu’en 2027 pour un montant de 4,5 millions de dollars australiens (2,74 millions d’euros).

Le départ de l’ancien sélectionneur de l’Angleterre, neuf mois seulement après le début d’un contrat de cinq ans, n’est pas une surprise après une Coupe du Monde de Rugby désastreuse avec les Wallabies, où les doubles champions n’ont pas réussi à franchir les phases de poule malgré ce que beaucoup considéraient comme un tirage au sort favorable.

Il était aussi pressenti en Géorgie

Jones avait également été pressenti pour le poste d’entraîneur principal de la Géorgie, en concurrence avec des personnalités illustres comme l’ancien sélectionneur de l’Irlande Joe Schmidt et l’ancien entraîneur adjoint de l’Angleterre et ex-entraîneur de Montpellier Richard Cockerill. Toutefois, ce dernier aurait remporté la victoire et obtenu le poste avec les Lelos.

Jones a été nommé à nouveau sélectionneur de l’Australie en janvier 2023, un mois seulement après que la Rugby Football Union l’a limogé en raison d’une mauvaise série de résultats au cours de laquelle l’Angleterre n’avait remporté que cinq des douze tests en 2022.

Il a conduit l’Angleterre à trois titres du Tournoi des Six Nations, dont le Grand Chelem en 2016, mais aussi à la finale de la Coupe du monde 2019 au Japon.

Le retour de Jones en Australie, qu’il a entraînée entre 2001 et 2005 et menée jusqu’à la finale de la Coupe du Monde de Rugby 2003, battue par l’Angleterre, a rapidement tourné à l’aigre.

La pire saison des Wallabies

Les Wallabies ont remporté deux des neuf tests cette année, contre la Géorgie et le Portugal, et se sont inclinés 22-15 et 40-6 face aux Pays de Galles et aux Fidji lors de la Coupe du monde en France.

ADVERTISEMENT

Le taux de victoire de 12,5 % de l’Australie au cours du deuxième mandat de Jones en tant que sélectionneur des Wallabies est le plus faible de l’histoire de l’équipe.

Par ailleurs, le site Internet sportif japonais Sponichi a rapporté que le manager général des Wallabies, Chris Webb, qui a récemment quitté son poste, pourrait rejoindre le staff de Jones au Japon.

Webb, un collègue de longue date d’Eddie Jones depuis le début des années 2000 avec les Wallabies, connaît bien le rugby japonais, puisqu’il a beaucoup travaillé dans le pays. Il est actuellement consultant auprès de Toshiba.

ADVERTISEMENT

LIVE

{{item.title}}

Trending on RugbyPass

Commentaires

0 Comments
Soyez le premier à commenter...

Inscrivez-vous gratuitement et dites-nous ce que vous en pensez vraiment !

Inscription gratuite
ADVERTISEMENT

Latest Features

Comments on RugbyPass

F
Flankly 2 hours ago
'Absolute madness': Clive Woodward rips into Borthwick in wake of NZ loss

Borthwick is supposed to be the archetypical conservative coach, the guy that might not deliver a sparkling, high-risk attacking style, but whose teams execute the basics flawlessly. And that's OK, because it can be really hard to beat teams that are rock solid and consistent in the rugby equivalent of "blocking and tackling".


But this is why the performance against NZ is hard to defend. You can forgive a conservative, back-to-basics team for failing to score tons of tries, because teams like that make up for it with reliability in the simple things. They can defend well, apply territorial pressure, win the set piece battles, and take their scoring chances with metronomic goal kicking, maul tries and pick-and-go goal line attacks.


The reason why the English rugby administrators should be on high alert is not that the English team looked unable to score tries, but that they were repeatedly unable to close out a game by executing basic, coachable skills. Regardless of how they got to the point of being in control of their destiny, they did get to that point. All that was needed was to be world class at things that require more training than talent. But that training was apparently missing, and the finger has to point at the coach.


Borthwick has been in the job for nearly two years, a period that includes two 6N programs and an RWC campaign. So where are the solid foundations that he has been building?

4 Go to comments
TRENDING
TRENDING All Blacks XV player ratings vs Munster | Autumn Nations Series All Blacks XV player ratings vs Munster
Search