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Exploit historique des Irlandaises à Perth

PERTH, AUSTRALIE - 28 JANVIER : Victoire de l'Irlande en finale du tournoi féminin contre l'Australie lors du SVNS 2024 de Perth au HBF Park le 28 janvier 2024 à Perth, en Australie. (Photo par Will Russell/Getty Images)

L’Irlande a remporté la troisième étape du HSBC SVNS 2024 féminin à Perth dimanche 28 janvier, en battant l’Australie en finale.

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Dans un stade qui affichait complet, l’Irlande a remporté sa première victoire sur le circuit mondial féminin de rugby à sept lors de sa deuxième finale seulement, mettant ainsi fin à une série de 29 défaites consécutives face à l’Australie.

Le public du HBF Park, qui accueillait pour la première fois un tournoi des Sevens Series, a bénéficié de conditions météorologiques presque parfaites, les deux équipes australiennes s’étant qualifiées pour la finale contre toute attente, mais elles n’ont pas eu droit à une fin rêvée, l’Irlande ayant finalement gâché la fête – et déclenché la leur.

La première victoire de l’Irlande, « attendue depuis longtemps »

L’Australie et l’Irlande avaient chacune perdu un match lors de la phase de poule, incluant la première défaite de la saison pour l’Australie (contre la Grande-Bretagne), tandis que Teagan Levi (AUS), absente pour cause de suspension depuis le premier match du tournoi, faisait un retour remarqué sur les terrains.

Après l’ouverture du score par Charlotte Caslick, Amee Leigh Murphy-Crowe (IRE) a immédiatement riposté, la pression irlandaise obligeant l’Australie à commettre des fautes. Levi a de nouveau relancé le jeu avant que Caslick n’encaisse un jaune après une série de fautes de la part de l’Australie. Lucy Mulhall donnait l’avantage à l’Irlande dans la foulée.

En début de seconde période, l’Australie était à la peine, et Levi – qui d’autre ? – égalisait sur une passe croisée de Caslick, quelques secondes après son retour sur le terrain. Mais l’Irlande ne se décourageait pas. Eve Higgins marquait sur leur seule attaque de la seconde période et les Irlandaises tenaient bon pour entrer dans l’histoire.

Alan Temple-Jones, le sélectionneur de l’Irlande, était presque sans voix : « Jouer l’Australie en Australie était déjà une opportunité incroyable pour les filles », a-t-il déclaré. « Nous sommes extrêmement satisfaits… les mots nous manquent.

« Nous nous sommes bien concentrés ces deux dernières semaines. Nous avions beaucoup de choses à améliorer après Dubaï et Le Cap… C’est irréel. »

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La capitaine Lucy Mulhall a ajouté que cette victoire était « attendue depuis longtemps ». « Cette victoire a tellement d’importance et nous sommes très heureuses de l’avoir obtenue. C’est énorme pour le rugby féminin irlandais ; nous ne manquerons pas de fêter ça. »

La relance de la Grande-Bretagne confirmée par la médaille de bronze

La Grande-Bretagne a remporté la médaille de bronze – la deuxième dans l’histoire du HSBC Sevens – grâce à sa première victoire sur le circuit contre les États-Unis.

Privée de sa capitaine Abbie Brown, blessée, la Grande-Bretagne a inscrit quatre essais, dont un après une superbe action de coup de pied à suivre d’Isla Norman-Bell. L’ailière d’origine néo-zélandaise est en train de devenir la star d’une équipe britannique en pleine progression.

Un peu plus tôt, l’Irlande avait mis fin à sa série de défaites en demi-finales (une seule victoire sur sept) en battant la Grande-Bretagne 31 à 7, alors qu’elle participait à sa deuxième demi-finale du HSBC SVNS.

Lucy Mulhall a fait la différence en inscrivant deux des cinq essais de l’Irlande dans une démonstration individuelle de rythme, de puissance et d’expérience. Norman-Bell a permis à la Grande-Bretagne de se consoler en inscrivant un superbe essai en solitaire dans sa propre moitié de terrain.

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L’Australie, privée de Maddison, l’autre sœur Levi, suspendue pour toute la durée du tournoi, a été trop forte pour les États-Unis dans l’autre demi-finale. Les Aussies avaient remporté les deux tournois du SVNS 2024 après des finales très disputées à Dubaï et au Cap, mais n’avaient plus atteint la finale des Series sur leur sol depuis cinq ans avant ce week-end.

Malgré un nouveau revers en début de match avec la perte de Bienne Terita sur blessure, l’Australie a fini par dominer une défense américaine résolue pour s’imposer 24 à 7, l’essai le plus marquant étant celui de Dominique du Toit sur 60 mètres.

L’Irlande passe à la quatrième place du classement général du SVNS, tandis que l’Australie reste largement en tête. La Grande-Bretagne est l’autre grande gagnante du week-end, quittant la zone de relégation pour la première fois de la saison.

Le HSBC SVNS 2024 se déplacera à Vancouver, au Canada, pour la prochaine épreuve de la série, du 23 au 25 février.

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J
JW 2 hours ago
Does South Africa have a future in European competition?

In another recent article I tried to argue for a few key concept changes for EPCR which I think could light the game up in the North.


First, I can't remember who pointed out the obvious elephant in the room (a SA'n poster?), it's a terrible time to play rugby in the NH, and especially your pinnacle tournament. It's been terrible watching with seemingly all the games I wanted to watch being in the dark, hardly able to see what was going on. The Aviva was the only stadium I saw that had lights that could handle the miserable rain. If the global appeal is there, they could do a lot better having day games.


They other primary idea I thuoght would benefit EPCR most, was more content. The Prem could do with it and the Top14 could do with something more important than their own league, so they aren't under so much pressure to sell games. The quality over quantity approach.


Trim it down to two 16 team EPCR competitions, and introduce a third for playing amongst the T2 sides, or the bottom clubs in each league should simply be working on being better during the EPCR.


Champions Cup is made up of league best 15 teams, + 1, the Challenge Cup winner. Without a reason not to, I'd distribute it evenly based on each leauge, dividing into thirds and rounded up, 6 URC 5 Top14 4 English. Each winner (all four) is #1 rank and I'd have a seeding round or two for the other 12 to determine their own brackets for 2nd, 3rd, and 4th. I'd then hold a 6 game pool, home and away, with consecutive of each for those games that involve SA'n teams. Preferrably I'd have a regional thing were all SA'n teams were in the same pool but that's a bit complex for this simple idea.


That pool round further finalises the seeding for knockout round of 16. So #1 pool has essentially duked it out for finals seeding already (better venue planning), and to see who they go up against 16, 15,etc etc. Actually I think I might prefer a single pool round for seeding, and introduce the home and away for Ro16, quarters, and semis (stuffs up venue hire). General idea to produce the most competitive matches possible until the random knockout phase, and fix the random lottery of which two teams get ranked higher after pool play, and also keep the system identical for the Challenge Cup so everthing is succinct. Top T2 side promoted from last year to make 16 in Challenge Cup

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J
JW 8 hours ago
Does South Africa have a future in European competition?

I had a look at the wiki article again, it's all terribly old data (not that I'd see reason for much change in the case of SA).

Number Of Clubs:

1526

Registered+Unregistered Players:

651146

Number of Referees:

3460

Pre-teen Male Players:

320842

Pre-teen Female Player:

4522

Teen Male Player:

199213

Teen Female Player:

4906

Senior Male Player:

113174

Senior Female Player:

8489

Total Male Player:

633229

Total Female Player:

17917


So looking for something new as were more concerned with adults specifically, so I had a look at their EOY Financial Review.

The total number of clubs remains consistent, with a marginal increase of 1% from 1,161 to 1,167. 8.1.

A comparative analysis of verified data for 2022 and 2023 highlights a marginal decline of 1% in the number of female players, declining from 6,801 to 6,723. Additionally, the total number of players demonstrates an 8% decrease, dropping from 96,172 to 88,828.

So 80k+ adult males (down from 113k), but I'm not really sure when youth are involved with SAn clubs, or if that data is for some reason not being referenced/included. 300k male students however (200k in old wiki data).


https://resources.world.rugby/worldrugby/document/2020/07/28/212ed9cf-cd61-4fa3-b9d4-9f0d5fb61116/P56-57-Participation-Map_v3.pdf has France at 250k registered but https://presse-europe1-fr.translate.goog/exclu-europe-1-le-top-10-des-sports-les-plus-pratiques-en-france-en-2022/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=en&_x_tr_hl=en&_x_tr_pto=wapp has them back up at 300k registered.


The French number likely Students + Club, but everyone collects data different I reckon. In that WR pdf for instance a lot of the major nations have a heavily registered setup, were as a nation like England can penetrate into a lot more schools to run camps and include them in the reach of rugby. For instance the SARU release says only 29% of schools are reached by proper rugby programs, where as the 2million English number would be through a much much higer penetration I'd imagine. Which is thanks to schools having the ability to involve themselves in programs more than anything.


In any case, I don't think you need to be concerned with the numbers, whether they are 300 or 88k, there is obviously a big enough following for their pro scenes already to have enough quality players for a 10/12 team competition. They appear ibgger than France but I don't really by the lower English numbers going around.

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