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France 7 féminin à Dubaï : le guide complet

France's Anne-Cecile Ciofani dives in a try against Team GB on day 3 of the Tokyo 2020 Olympic Games at Tokyo Stadium on 31 July, 2021 in Tokyo, Japan. Photo credit: Mike Lee - KLC fotos for World Rugby

La France a joué pour une médaille dans quatre des sept manches la saison dernière, mais n’est montée qu’une seule fois sur le podium pour décrocher l’argent à Sydney. Elle a perdu les trois finales de bronze à Dubaï, Vancouver et Toulouse.

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Les filles du coach David Courteix ont terminé à la quatrième place du classement des Series 2023, la cinquième saison consécutive où elles se sont classées parmi les cinq premières.

Elles se sont qualifiées pour la finale de bronze lors de chacune des trois dernières étapes des Women’s Series à Dubaï, dont les deux médailles remportées lors des Series 2022.

Elles n’ont dominé leur poule qu’une seule fois à Dubaï, lors des Series 2020.

Une équipe joueuse, mais indisciplinée

La saison dernière, les Bleues ont marqué en moyenne 19 essais par tournoi, ce qui les place au troisième rang derrière l’Australie (28,3) et la Nouvelle-Zélande (32,3).

Elles ont été l’équipe titulaire la plus indisciplinée la saison dernière, concédant 3,6 pénalités par match, avec les Fidji.

France 7 féminin a marqué 41% des essais après une relance rapide, un record dans la compétition, au côté du Brésil.

Les filles ont effectué le troisième plus grand nombre de visites dans les 22 de l’équipe adverse (177), mais elles ont eu le troisième plus faible taux de réussite de toutes les équipes titulaires dans cette zone, ne réussissant à marquer que sur 75 % de leurs entrées.

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La saison dernière, leur attaque s’est classée au troisième rang pour le nombre de courses avec ballons (25,3) et de franchissements (3,4), et au deuxième rang pour le nombre de offloads (5,9) par match.

Cependant, seuls 9% des offloads effectués ont abouti à un essai.

La défense française a réalisé en moyenne le troisième plus grand nombre de plaquages de toutes les équipes la saison dernière, mais elle a également bénéficié du troisième meilleur taux de réussite en réussissant 78% de ses tentatives.

La France a marqué le plus grand pourcentage d’essais de toute les équipes titulaires à partir d’interceptions (23%).

Pour le SVNS Dubaï 2023 qui se déroule les 2 et 3 décembre, la France (4e au terme de la saison 2023) se retrouve dans la Poule C face au Canada (9e), à l’Espagne (10e) et aux Etats-Unis (3e).

Contre le Canada

Bien qu’elles soient restées invaincues contre le Canada sur l’ensemble de leurs quatre matchs de la saison dernière, les Françaises n’ont mené à la mi-temps qu’une seule fois, lors de leur victoire 22-12 à Hongkong. Elles ont enregistré deux nuls et une victoire en revenant au score lorsqu’elles étaient menées à la pause.

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Les Françaises n’ont jamais goûté à la victoire contre le Canada à Dubaï, perdant leurs cinq confrontations précédentes, dont trois victoires par sept points ou moins.

Contre l’Espagne

La France bénéficie actuellement d’une série de 19 victoires contre l’Espagne, qui remonte à Amsterdam lors de la saison 2014-15.

La saison dernière, la France a gagné 92-19 contre l’Espagne sur l’ensemble de ses trois matchs, l’empêchant de marquer lors de quatre des six mi-temps disputées.

Contre les Etats-Unis

La France a enregistré trois victoires en une seule saison contre les États-Unis la saison dernière pour la deuxième fois seulement de son histoire, et la première depuis 2018. Leurs deux seules défaites en cinq rencontres disputées dans cette confrontation sont intervenues en finale du bronze à Dubaï et à Vancouver.

Avant les Series 2023, elles n’avaient remporté que deux des dix matchs disputés sur l’ensemble des années 2019 et 2020 combinées.

L’équipe qui mène à la mi-temps a remporté tous les matchs depuis 2019.

Quatre de leurs cinq dernières rencontres à Dubaï depuis les Series 2018 ont été décidées par une marge de cinq points ou moins.

La joueuse à suivre

La Joueuse World Rugby à Sept de l’Année 2021, Anne-Cécile Ciofani, est de retour dans le groupe pour Dubaï et en lice pour faire sa première apparition sur le circuit depuis près de deux ans.

Médaille d’argent avec France 7 féminin au tournoi olympique de Tokyo au cours duquel elle avait étendu ses longues jambes pour inscrire sept essais, elle avait ensuite enchaîné les blessures avant de revenir en force cette année.

L’EQUIPE

  • Anne-Cécile Ciofani, 29 ans – 14 tournois
  • Mathilde Coutouly, 25 ans – 14 tournois
  • Lili Dezou, 19 ans – 7 tournois
  • Caroline Drouin, 27 ans – 19 tournois
  • Camille Grassineau, 33 ans – 40 tournois
  • Joanna Grisez, 27 ans – 16 tournois
  • Iän Jason, 26 ans – 13 tournois
  • Chloé Jacquet, 21 ans – 5 tournois
  • Valentine Lothoz, 28 ans – 13 tournois
  • Carla Neisen, 27 ans (capitaine) – 27 tournois
  • Lou Noël-Rivier, 23 ans – 12 tournois
  • Chloé Pelle, 34 ans – 45 tournois
  • Yolaine Yengo, 30 ans – 16 tournois

LES MATCHS DU SAMEDI 2 DECEMBRE 2023

  • France 7 Féminin vs Canada – 6h00
  • France 7 Féminin vs Espagne – 8h15
  • Etats-Unis vs France 7 Féminin – 13h07

*Heure française

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S
Soliloquin 3 hours ago
'The World Cup... I'm not sure it's going to happen for them'

Well, currently the biggest rugby stars from other countries are not really playing in France, except for Argentinian players (Mallia, Chocobares, Kremer, Oviedo, Petti, Lavanini, Carreras) or Fijian ones (Tuisova, Dakukaqa, Waniqolo) . This time is over.

You have great players that usually choose to cease playing for their countries like Ludlham, Sinckler, Farrell(who's been a shadow at Racing 92), Fainga'anuku, Marchant, the Kpoku brothers, Arundell, Ribbans or declining stars like Biggar, Kerr-Barlow, Radradra, Botia, Goodhue, the Vunipola brothers, Hogg or Manu Tuilagi. Not exactly first choices or guys who make the best international XV.

The exceptions being Arata, Skelton, Jack Willis, Cappuozzo (he's French but plays for Italy), Niniashvili, Staniforth, Ahki, Tameifuna, Nicotera, Garbisi, Ioane, Lucchesi, Kinghorn, Ben White or Saito. Not many of them from SA, NZ, Ireland or England or close to top 3 in their positions.

When Kolisi or Etzebeth played in Top14, despite the big bucks, it wasn't shiny performances at "lower level games", as well as Kolbe at Toulon after his extraordinary stunt at Toulouse. Whitelock was at the end of his career.


I think you've mistaken the big bucks low level league with Japan Rugby League One stars welcomed at their prime (Mo'unga, de Klerk, Matera, PSDT, de Jager, Mostert, Kolbe, Kriel, Barrett, Savea, Cane, Koroibete, Perenara, Kwagga Smith, de Allende, Kolbe, Wiese, Marx) because it pales a bit. 12 of of the 30 players that started the RWC final play in Japan. With a maximum of 16 games/season. In France it's up to 29 to be get the Top14 title, plus the Champions Cup.

Try to keep up the rythm with more than twice as many games.

I guess you've read their interviews on the intensity of Top14, right? Right?


The biggest Top14 stars are in great majority French players, because the JIFF policy has changed the way French clubs operate.

The era of Carter, Botha, Wilkinson, Kaino, Smith or the others mentioned before is over.

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