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France 7 Féminine à Hongkong pour se relancer

La Française Séraphine Okemba plonge pour un essai contre l'Australie lors de la deuxième journée du HSBC SVNS au Dignity Health Sports Park le 2 mars 2024 à Los Angeles, États-Unis . Crédit photo : Mike Lee - KLC fotos pour World Rugby

France 7 féminine revient à Hongkong pour la deuxième fois seulement de son histoire. Après le premier tournoi féminin l’an passé, c’est la Nouvelle-Zélande qui s’était imposée en finale face à l’Australie, 26-17. La France avait terminé à la 5e place après s’être inclinée face à la Grande-Bretagne dans un quart de finale très difficile (5-0).

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Aujourd’hui, les filles de David Courteix sont 3e au classement général derrière l’Australie et la Nouvelle-Zélande, mais ont perdu du terrain après une tournée mitigée en Amérique du Nord.

Après avoir terminée avec l’argent à Vancouver, la France avait surmonté la déception de son élimination en quart de finale à Los Angeles en battant sèchement l’Afrique du Sud 53-0 dans le match pour la 5e place.

La France à sa place

Reste que cette performance était en-deçà des attentes après un début de saison au top avec une participation à deux finales – Le Cap et Vancouver – soit déjà plus que toute autre précédente saison.

Meilleure que l’an passé sur le circuit, la France est à son niveau dans différents aspects de son jeu : troisième en termes d’essais marqués (112 pour l’instant – avec une moyenne de 22,4 essais par tournoi contre une moyenne de 19 l’an passé), troisième en termes de remise en jeu rapide menant à l’essai (36% de toutes les réalisations), troisième en termes de franchissement (un en moyenne toutes les 7,1 courses avec ballon), deuxième en termes de offloads (7,2 par match en moyenne)…

La France se distingue également par sa solide défense, déployant des efforts considérables pour stopper l’adversaire avec une moyenne de 16,3 plaquages par match, ce qui représente le taux le plus élevé parmi les équipes, avec un taux de réussite de 80%. Sur 25 rencontres, les Françaises ont remporté 21 victoires, limitant leurs adversaires à moins de trois essais à chaque fois. Et quand elles perdent, c’est qu’elles ont encaissé plus d’essais : lors de leurs trois défaites, elles ont encaissé au moins quatre essais.

La tête de la poule se jouera avec la Nouvelle-Zélande

A Hongkong, la France s’est retrouvée dans la poule A avec le Brésil (9e au général), la Grande-Bretagne (8e) et la Nouvelle-Zélande (2e).

Le premier match contre le Brésil ne devrait pas poser de soucis car la France n’a encaissé que cinq essais au cours de ses quatre dernières rencontres depuis le début de la saison, gagnant avec un écart de 27 points en moyenne.

Face à la France, le Brésil est toujours sur une série de 21 défaites de rang qui remonte à Amsterdam en 2014. Pour autant, les Brésiliennes ont marqué plus de points contre la France cette année (19) que l’an passé (7).

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La seule victoire contre la Grande-Bretagne, l’adversaire suivant, remonte, on l’a vu, au tournoi de Hongkong l’an passé, en quart de finale. La Grande-Bretagne avait terminé 3e et prenait place pour la première fois sur le podium depuis leur arrivée sur le circuit en 2022 (la seconde fois étant à Perth fin janvier cette année).

Mais depuis 2022, la France a battu les Britanniques dans cinq de ses six rencontres. Cette année, leur seul match était à Vancouver avec un score de 31-10 pour la France. La France avait eu fort à faire pour contenir cette équipe en réussissant 17 de ses 20 plaquages (85% de réussite) alors que les Britanniques avaient manqué 50% des leurs (laissant filer cinq essais en sept visites dans leurs 22).

Enfin, le gros morceau de la poule sera aussi le dernier qui déterminera qui terminera en tête de la poule : contre la Nouvelle-Zélande. Après avoir réussi le doublé en Amérique du Nord, les Néo-Zélandaises viseront à Hongkong une troisième victoire d’affilée pour la première fois de la saison.

L’une des trois seules victoires de la France contre les Blacks Ferns Sevens dans l’histoire du circuit mondial était en demi-finale du Cap cette saison (24-12). C’était alors leur plus lourde défaite mais aussi leur précédente rencontre et jamais encore la France n’a battu la Nouvelle-Zélande deux fois de suite.

L’équipe de France 7 féminine pour le Hongkong Sevens :

  • Séraphine Okemba – 26 tournois
  • Anne-Cécile Ciofani – 19 tournois
  • Chloé Pelle – 50 tournois
  • Lou Noël – 17 tournois
  • Joanna Grisez – 21 tournois
  • Valentine Lothoz – 17 tournois
  • Camille Grassineau – 45 tournois
  • Carla Neisen – 32 tournois
  • Jade Ulutule – 24 tournois
  • Chloé Jacquet – 7 tournois
  • Marie Dupouy – 3 tournois
  • Lili Dezou – 12 tournois
  • Montserrat Amédée – 19 tournois
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J
JW 2 hours ago
Does South Africa have a future in European competition?

In another recent article I tried to argue for a few key concept changes for EPCR which I think could light the game up in the North.


First, I can't remember who pointed out the obvious elephant in the room (a SA'n poster?), it's a terrible time to play rugby in the NH, and especially your pinnacle tournament. It's been terrible watching with seemingly all the games I wanted to watch being in the dark, hardly able to see what was going on. The Aviva was the only stadium I saw that had lights that could handle the miserable rain. If the global appeal is there, they could do a lot better having day games.


They other primary idea I thuoght would benefit EPCR most, was more content. The Prem could do with it and the Top14 could do with something more important than their own league, so they aren't under so much pressure to sell games. The quality over quantity approach.


Trim it down to two 16 team EPCR competitions, and introduce a third for playing amongst the T2 sides, or the bottom clubs in each league should simply be working on being better during the EPCR.


Champions Cup is made up of league best 15 teams, + 1, the Challenge Cup winner. Without a reason not to, I'd distribute it evenly based on each leauge, dividing into thirds and rounded up, 6 URC 5 Top14 4 English. Each winner (all four) is #1 rank and I'd have a seeding round or two for the other 12 to determine their own brackets for 2nd, 3rd, and 4th. I'd then hold a 6 game pool, home and away, with consecutive of each for those games that involve SA'n teams. Preferrably I'd have a regional thing were all SA'n teams were in the same pool but that's a bit complex for this simple idea.


That pool round further finalises the seeding for knockout round of 16. So #1 pool has essentially duked it out for finals seeding already (better venue planning), and to see who they go up against 16, 15,etc etc. Actually I think I might prefer a single pool round for seeding, and introduce the home and away for Ro16, quarters, and semis (stuffs up venue hire). General idea to produce the most competitive matches possible until the random knockout phase, and fix the random lottery of which two teams get ranked higher after pool play, and also keep the system identical for the Challenge Cup so everthing is succinct. Top T2 side promoted from last year to make 16 in Challenge Cup

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J
JW 8 hours ago
Does South Africa have a future in European competition?

I had a look at the wiki article again, it's all terribly old data (not that I'd see reason for much change in the case of SA).

Number Of Clubs:

1526

Registered+Unregistered Players:

651146

Number of Referees:

3460

Pre-teen Male Players:

320842

Pre-teen Female Player:

4522

Teen Male Player:

199213

Teen Female Player:

4906

Senior Male Player:

113174

Senior Female Player:

8489

Total Male Player:

633229

Total Female Player:

17917


So looking for something new as were more concerned with adults specifically, so I had a look at their EOY Financial Review.

The total number of clubs remains consistent, with a marginal increase of 1% from 1,161 to 1,167. 8.1.

A comparative analysis of verified data for 2022 and 2023 highlights a marginal decline of 1% in the number of female players, declining from 6,801 to 6,723. Additionally, the total number of players demonstrates an 8% decrease, dropping from 96,172 to 88,828.

So 80k+ adult males (down from 113k), but I'm not really sure when youth are involved with SAn clubs, or if that data is for some reason not being referenced/included. 300k male students however (200k in old wiki data).


https://resources.world.rugby/worldrugby/document/2020/07/28/212ed9cf-cd61-4fa3-b9d4-9f0d5fb61116/P56-57-Participation-Map_v3.pdf has France at 250k registered but https://presse-europe1-fr.translate.goog/exclu-europe-1-le-top-10-des-sports-les-plus-pratiques-en-france-en-2022/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=en&_x_tr_hl=en&_x_tr_pto=wapp has them back up at 300k registered.


The French number likely Students + Club, but everyone collects data different I reckon. In that WR pdf for instance a lot of the major nations have a heavily registered setup, were as a nation like England can penetrate into a lot more schools to run camps and include them in the reach of rugby. For instance the SARU release says only 29% of schools are reached by proper rugby programs, where as the 2million English number would be through a much much higer penetration I'd imagine. Which is thanks to schools having the ability to involve themselves in programs more than anything.


In any case, I don't think you need to be concerned with the numbers, whether they are 300 or 88k, there is obviously a big enough following for their pro scenes already to have enough quality players for a 10/12 team competition. They appear ibgger than France but I don't really by the lower English numbers going around.

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