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Wallace Sititi, la dernière merveille des All Blacks dont les Bleus devront se méfier

Par AFP
Le All Black Wallace Sititi pendant le match des Autumn Nations Series entre l'Angleterre et la Nouvelle-Zélande à l'Allianz Stadium le 2 novembre 2024 à Londres, Angleterre. (Photo Michael Steele/Getty Images)

Samedi face aux All Blacks, l’équipe de France devra particulièrement surveiller la nouvelle merveille du rugby néo-zélandais, le 3e ligne Wallace Sititi.

Du haut de ses huit sélections à peine, le troisième ligne néo-zélandais Wallace Sititi est la révélation de cet automne chez les All Blacks, où il s’épanouit sous la houlette de son « mentor » Ardie Savea, élu meilleur joueur du monde l’an passé.

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Né aux Samoa, le jeune troisième ligne a fêté sa première cape le 7 septembre dernier, en même temps qu’il soufflait sa 22e bougie, en étrennant le maillot à la fougère face aux champions du monde sud-africains.

Malgré une courte défaite (18-12) et une nuit guère plus longue, nervosité d’une première sélection oblige, Sititi avait fait une performance remarquée face à rien de moins que Siya Kolisi, le charismatique capitaine des Springboks et un de ses modèles.

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All Black head coach Scott Robertson on Wallace Sititi’s inclusion in the his starting XV

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    All Black head coach Scott Robertson on Wallace Sititi’s inclusion in the his starting XV

    All Black young gun Wallace Sititi will have some big shoes to fill when he runs out in the No.6 jersey against the Springboks in Cape Town on Saturday.

    Depuis, l’explosif troisième ligne, aussi à l’aise pour batailler au sol que pour perforer les défenses adverses, n’a pas baissé de rythme et a poursuivi à grandes enjambées une saison qu’il qualifie lui-même de « folle ».

    Sititi vit un rêve éveillé et se « pince tout le temps »

    « Je n’aurais jamais pensé que ça se produirait », expliquait-il en septembre, avec l’impression de vivre un rêve éveillé : « Je me pince tout le temps ».

    Nommé Wallace en hommage à William Wallace, héros de la lutte pour l’indépendance de l’Écosse, où son père l’ancien capitaine des Samoa jouait en club au moment de sa naissance, le troisième ligne n’a fait ses débuts en Super Rugby qu’en février avec la province des Chiefs.

    Ses courses ravageuses, son habileté avec le ballon et sa défense intraitable lui ont rapidement permis de s’imposer comme le N.8 des Chiefs, avec lesquels il a atteint la finale du Super Rugby en juin, perdue face aux Blues.

    Aligné en numéro 8 avec les Blacks lors de la large victoire au Japon (64-19), il avait reçu dans la foulée l’adoubement de son aîné Ardie Savea (31 ans, 92 sélections) habituel titulaire du poste et élu meilleur joueur du monde l’an dernier.

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    « Avec son style de jeu, il me rappelle un peu moi-même. Il peut jouer 8 et être génial, jouer 6 et l’être aussi, même jouer en 7 », l’avait félicité Savea, à quelques jours du match contre l’Angleterre, remporté au forceps (24-22), et où les deux joueurs ont été associés en troisième ligne, Sititi prenant place en numéro 6.

    Homme du match face aux Anglais, une juste récompense pour son activité débordante avec notamment une passe au contact lumineuse pour un essai de Mark Tele’a, Sititi ne prend pas pour autant la grosse tête.

    Face aux Bleus, il s’installera à la place de Savea en N.8

    « Il est humble », s’est félicité le sélectionneur des All Black Scott Robertson, arrivé après le Mondial-2023. « Il a confiance en ses qualités, et il est d’un très grand calme ».

    « Il n’y a qu’un seul Ardie (Savea) », avait d’ailleurs déclaré le joueur en réponse aux éloges et comparaisons. « Personne ne peut être qui il est ou faire ce qu’il réalise ».

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    « Il a été un mentor pour moi, il m’a pris sous son aile et m’a accompagné dans mon parcours, et je suis vraiment reconnaissant de ce qu’il a fait pour moi », ajoutait Sititi à propos de Savea.

    « Ardie et moi avons construit une bonne relation, c’est quelqu’un avec qui je suis confortable pour discuter, du rugby comme de la vie », poursuivait-il à quelques jours d’affronter la France.

    De nouveau auteur d’une performance monumentale lors de la solide victoire des triples champions du monde (1987, 2011, 2015) contre l’Irlande (23-13), Sititi a formé un trio parfaitement complémentaire avec l’omniprésent Savea et l’inusable Sam Cane (103 sélections).

    Cane étant absent face à la France en raison d’une commotion, Robertson a dû varier ses plans pour bâtir sa troisième ligne, replaçant Sititi en numéro 8, encadré par Savea et le puissant Samipeni Finau, son compère aux Chiefs. Une chose est sûre : quelle que soit sa position, Sititi fera des étincelles samedi soir au Stade de France.

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