La famille Tuilagi en feu dans les rues de Bayonne
On ne présente plus les Tuilagi. d’Henry à Posolo, en passant par Manu, Alesana ou encore Freddie, la famille Tuilagi a produit et continue de produire des joueurs uniques par cette combinaison de puissance brute, de vitesse et de skills.
Mais si elle est désormais éparpillée aux quatre coins du monde au gré des opportunités rugbystiques, les traditions samoanes sont toujours fortement ancrées dans chacun d’eux.
On a encore pu en avoir un aperçu ce week-end à l’occasion de la première journée de Top 14. Pas sur les terrains, puisque la rencontre entre Manu le Bayonnais et Posolo le Catalan n’a pas eu lieu, la faute à une fracture à la main du trois-quarts centre subie juste avant la reprise, mais durant l’après-match.
Dans une vidéo mise en ligne par l’association BOC, un groupe de supporteurs de l’Aviron Bayonnais, on peut voir une véritable moment de communion et de convivialité.
La famille Tuilagi dans Bayonne après AB USAP 😍#ABUSAP#Tuilagi pic.twitter.com/ObrI0OOBPd
— Asso BOC (@assoboc) September 9, 2024
Le patriarche Henry (48 ans), international samoan et ancien joueur de l’USAP et de Leicester notamment, chante au rythme des tambours, torse nu et collier de fleurs autour du cou, tandis que son petit frère Manu, international anglais (33 ans, 60 sélections), et son fils Posolo, déjà cinq capes avec les Bleus à tout juste 20 ans, enchaînent quelques pas de danse en battant la mesure.
Le genre d’images et de moments qui donnent la banane et qui montrent que le rugby, malgré les turbulences traversées ces derniers temps, notamment en France, a encore de belles choses à partager.