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La finale de la RWC 2025 à Twickenham

LONDON, ENGLAND - APRIL 29: A general view of play during the TikTok Women's Six Nations match between England and France at Twickenham Stadium on April 29, 2023 in London, England. (Photo by Warren Little/Getty Images)

Alors que le rugby féminin ouvre de nouvelles perspectives sur et en dehors du terrain, jusqu’à 49 000 supporters du nord-est de l’Angleterre et d’ailleurs auront une occasion unique de voir en action l’équipe en tête du classement mondial, les Red Roses, dans la soirée du vendredi 22 août lors du coup d’envoi de la 10ème édition de l’événement phare, élargi à 16 équipes.

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L’organisation de la finale à Twickenham, le samedi 27 septembre 2025, sera l’apothéose parfaite et symbolique d’un tournoi qui vise à conquérir les cœurs et à faire les unes à travers le monde, en galvanisant la prochaine génération de supporters, de joueuses et de partenaires autour de l’un des spectacles les plus passionnants du monde du sport. Les organisateurs espèrent ainsi battre le record de 58 498 spectateurs en affichant complet dans l’une des enceintes sportives les plus emblématiques du monde.

Fruit d’une collaboration entre World Rugby et la RFU, avec le soutien du gouvernement britannique, England 2025 se veut une célébration spectaculaire du rugby féminin, du sport féminin et de l’Angleterre, avec un tournoi qui fera date en établissant de nouvelles normes, en attirant de nouveaux publics et qui sera un catalyseur palpitant pour la croissance du rugby à l’échelle nationale et mondiale.

Cinq semaines de matchs riches en action culmineront avec la finale de la Coupe du Monde de Rugby féminin, qui se déroulera au stade de Twickenham, siège historique du rugby anglais, avec pour objectif d’atteindre des records d’audience dans les stades et sur toutes les plates-formes de supporters.

Un tournoi qui fera date

Pour la première fois, l’événement phare élargi sera organisé dans huit lieux et villes du pays, et 16 équipes s’affronteront pour être couronnées championnes du monde. Le format national fait de cette Coupe du Monde de Rugby féminin la plus accessible de tous les temps, offrant une opportunité inégalée aux fans de voir, de s’impliquer et de soutenir les stars du jeu féminin dans les villes et villages d’Angleterre, tout au long des cinq semaines du calendrier.

Sir Bill Beaumont, président de World Rugby, a déclaré : « La Coupe du Monde de Rugby féminin Angleterre 2025 sera un tournant générationnel pour le rugby. La plus grande, la plus accessible et la plus regardée, sa dynamique imparable touchera, engagera et inspirera de nouveaux publics comme aucun événement de rugby ne l’a fait auparavant.

« Le choix de Sunderland pour le match d’ouverture souligne cet objectif. Nous voulons que ce soit un événement sportif dont tout le monde parle, auquel tout le monde veut participer et qui inspire les jeunes à y prendre part. »

Sunderland s’illumine

Aujourd’hui, 60 jeunes joueuses et joueurs de Sunderland ont eu l’occasion unique d’être entraînés par l’entraîneur de transition des Red Roses et la joueuse féminine la plus capée au monde, Sarah Hunter, au Stadium of Light, pour marquer l’occasion.

S’exprimant à cette occasion, Sarah Hunter a déclaré : « C’est un véritable privilège de participer à l’annonce des sites d’ouverture et de clôture de la Coupe du Monde de Rugby 2025 et de rencontrer tant de talentueux joueurs et joueuses de rugby du Nord-Est.

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« Le match d’ouverture du tournoi des Red Roses au Stadium of Light constituera une expérience extraordinaire pour les joueuses et les supporters et, ayant vécu l’atmosphère électrique créée par presque soixante mille personnes lorsque les Red Roses ont joué à Twickenham plus tôt cette année, je suis convaincue que la finale se déroulera à guichets fermés. »

Les préparatifs d’organisation avancent

Sarah Massey, directrice générale de la Coupe du Monde de Rugby féminin 2025, qui était également présente, a ajouté : « Nous avons travaillé en collaboration avec les équipes de nos villes et de nos stades pour impliquer les communautés locales et maximiser les opportunités de leur offrir une expérience inoubliable et inclusive.

« C’est l’ère du sport féminin et le rugby féminin s’imposera de façon particulièrement mémorable et audacieuse en 2025. La billetterie ouvrira l’année prochaine, et notre conseil aux amateurs de rugby, de sport et d’événements majeurs est de noter d’ors et déjà dans leurs agendas l’événement clé de 2025. Ce sera extraordinaire. »

Steve Grainger, directeur exécutif de la RFU chargé du développement du rugby et membre du conseil d’administration de la Coupe du Monde de Rugby 2025, a déclaré : « Le Stadium of Light et le stade de Twickenham, qui accueilleront les matchs d’ouverture et de clôture, ainsi que les six autres sites du tournoi, témoignent de l’objectif de la RFU de stimuler le développement du sport dans tout le pays et de réaliser notre ambition d’avoir 100 000 joueuses d’ici 2027.

« Pour mener ce travail plus avant, nous sommes ravis de travailler en étroite collaboration avec Sport England, le gouvernement britannique et d’autres organisations pour créer un programme d’héritage transformationnel. Nous sommes très reconnaissants au gouvernement de s’être engagé financièrement dans ce tournoi transformateur. »

Un cadre parfait pour l’ouverture

Le ministre des sports, Stuart Andrew, également présent à Sunderland, a ajouté : « Le Stadium of Light de Sunderland constituera le cadre idéal pour lancer ce qui s’annonce comme un tournoi de rugby féminin record.

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« Le gouvernement s’enorgueillit de soutenir la Coupe du Monde de Rugby 2025, qui incitera les femmes et les jeunes filles de tout le pays à prendre un ballon et à marcher sur les traces de leurs héroïnes. »

Le président du conseil municipal de Sunderland, le conseiller Graeme Miller, a déclaré : « C’est incroyablement enthousiasmant pour Sunderland d’accueillir le match d’ouverture de la Coupe du Monde de Rugby féminin au Stadium of Light.

« Ces dernières années, le rugby féminin et le sport féminin en général ont connu un regain d’intérêt considérable, donc avoir l’opportunité d’encourager les Red Roses lors d’un match de la Coupe du Monde si près de chez nous est une excellente nouvelle pour les amateurs de sport du nord-est du pays.

« C’est aussi une formidable occasion pour notre ville et notre région de briller sur la scène internationale et nous sommes impatients d’accueillir les fans du monde entier lorsque la plus grande célébration du rugby féminin débutera à Sunderland en août 2025. »

L’Angleterre, le Canada, la France et la Nouvelle-Zélande se sont déjà qualifiées pour la Coupe du Monde de Rugby féminine 2025 après avoir terminé parmi les quatre premières de la RWC 2021, les places restantes devant être pourvues par le biais du WXV et des compétitions régionales en 2024. La demande commerciale continue également de croître avec quatre partenaires officiels – Mastercard, Capgemini, Gallagher et Mitsubishi Electric – qui ont déjà rejoint England 2025.

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Flankly 1 hour ago
'Absolute madness': Clive Woodward rips into Borthwick in wake of NZ loss

Borthwick is supposed to be the archetypical conservative coach, the guy that might not deliver a sparkling, high-risk attacking style, but whose teams execute the basics flawlessly. And that's OK, because it can be really hard to beat teams that are rock solid and consistent in the rugby equivalent of "blocking and tackling".


But this is why the performance against NZ is hard to defend. You can forgive a conservative, back-to-basics team for failing to score tons of tries, because teams like that make up for it with reliability in the simple things. They can defend well, apply territorial pressure, win the set piece battles, and take their scoring chances with metronomic goal kicking, maul tries and pick-and-go goal line attacks.


The reason why the English rugby administrators should be on high alert is not that the English team looked unable to score tries, but that they were repeatedly unable to close out a game by executing basic, coachable skills. Regardless of how they got to the point of being in control of their destiny, they did get to that point. All that was needed was to be world class at things that require more training than talent. But that training was apparently missing, and the finger has to point at the coach.


Borthwick has been in the job for nearly two years, a period that includes two 6N programs and an RWC campaign. So where are the solid foundations that he has been building?

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N
Nickers 1 hour ago
Scott Robertson responds to criticism over All Blacks' handling errors

Very poor understanding of what's going on and 0 ability to read. When I say playing behind the gain line you take this to mean all off-loads and site times we are playing in front of the gain line???


Every time we play a lot of rugby behind the gain line (for clarity, meaning trying to build an attack and use width without front foot ball 5m+ behind the most recent breakdown) we go backwards and turn the ball over in some way. Every time a player is tackled behind the most recent breakdown you need more and more people to clear out because your forwards have to go back around the corner, whereas opposition players can keep moving forward. Eventually you run out of either players to clear out or players to pass to and the result in a big net loss of territory and often a turnover. You may have witnessed that 20+ times in the game against England. This is a particularly dumb idea inside your own 40m which is where, for some reason, we are most likely to employ it.


The very best ABs teams never built an identity around attacking from poor positions. The DC era team was known for being the team that kicked the most. To engineer field position and apply pressure, and create broken play to counter attack. This current team is not differentiating between when a defence has lost it's structure and there are opportunities, and when they are completely set and there is nothing on. The reason they are going for 30 minute + periods in every game without scoring a single point, even against Japan and a poor Australian team, is because they are playing most of their rugby on the back foot in the wrong half.

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