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La Géorgie va défendre sa longue série d'invincibilité face à l'Espagne

Photo : Rugby Europe

La Géorgie ouvre la dernière journée des phases de poule du Rugby Europe Championship en accueillant l’Espagne samedi 17 février à Tbilissi.

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La Géorgie et l’Espagne, les deux équipes invaincues de la poule A, sont déjà qualifiées pour les demi-finales, mais le vainqueur de ce match terminera en tête et disputera une demi-finale contre le deuxième de la poule B.

L’Espagne n’a jamais battu les Lelos en Géorgie en 12 tentatives et a eu du mal à marquer des points lors de ces déplacements, avec une moyenne de seulement 11,5 points par match. La victoire la plus proche des Leones en Géorgie remonte à 2008, lorsqu’ils se sont inclinés 22-20.

La Géorgie, six fois championne en titre, se présente sur le terrain avec une série de 30 matchs sans défaite dans la compétition, et ce malgré une prolifération de cartons jaunes contre elle ces deux dernières années (16 en 13 matchs).

Les Lelos ont connu leur dernière défaite dans le Rugby Europe Championship le 19 mars 2017, s’inclinant 8-7 face à la Roumanie à Bucarest, et il faudrait une immense performance de la part de l’Espagne pour les faire dérailler.

Aucune des deux équipes ne peut grimper au classement mondial World Rugby en cas de victoire ce week-end, cependant, les Lelos perdront au moins deux places en cas de défaite, peut-être même trois, en fonction de la marge et du résultat du match Roumanie-Portugal, tandis que le poste de l’Espagne, 19e, est menacé par la Roumanie.

Les Néerlandais veulent doubler la mise

A l’inverse, le dernier match du week-end opposera les Pays-Bas à l’Allemagne, dimanche 18 février à Amsterdam. Il s’agit du même match que l’an dernier pour la cinquième place, que les Néerlandais avaient remporté haut la main (50-28).

Les Pays-Bas n’ont pas fait preuve d’un tel sens de la finition lors de leurs deux premières rencontres – les défaites contre l’Espagne et la Géorgie – avec seulement deux essais marqués en 19 visites dans les 22 de l’équipe adverse.

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Mais l’équipe de Lyn Jones, qui progresse rapidement, évaluera ses chances de prendre un bon départ face à une équipe allemande sans victoire, qui peine à gagner du terrain et à avoir la possession du ballon et qui a encaissé les trois-quarts de ses points dans le premier quart de ses matchs.

En cas de victoire, les Pays-Bas passeront devant le Brésil, mais aussi devant la Belgique si les Diables Noirs ne gagnent pas et que les Néerlandais battent l’Allemagne avec plus de 15 points d’avance.

Une victoire moins large suffirait aux Pays-Bas pour remonter à la 27e place en cas de défaite de la Belgique.

Une courte victoire de l’Allemagne sur les Pays-Bas se traduirait par un gain de trois places. Mais s’ils gagnent avec plus de 15 points d’avance et que cette marge est égalée par la Pologne à Waterloo, les Black Eagles peuvent gagner quatre places et se retrouver à la 28e position.

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S
Soliloquin 3 hours ago
'The World Cup... I'm not sure it's going to happen for them'

Well, currently the biggest rugby stars from other countries are not really playing in France, except for Argentinian players (Mallia, Chocobares, Kremer, Oviedo, Petti, Lavanini, Carreras) or Fijian ones (Tuisova, Dakukaqa, Waniqolo) . This time is over.

You have great players that usually choose to cease playing for their countries like Ludlham, Sinckler, Farrell(who's been a shadow at Racing 92), Fainga'anuku, Marchant, the Kpoku brothers, Arundell, Ribbans or declining stars like Biggar, Kerr-Barlow, Radradra, Botia, Goodhue, the Vunipola brothers, Hogg or Manu Tuilagi. Not exactly first choices or guys who make the best international XV.

The exceptions being Arata, Skelton, Jack Willis, Cappuozzo (he's French but plays for Italy), Niniashvili, Staniforth, Ahki, Tameifuna, Nicotera, Garbisi, Ioane, Lucchesi, Kinghorn, Ben White or Saito. Not many of them from SA, NZ, Ireland or England or close to top 3 in their positions.

When Kolisi or Etzebeth played in Top14, despite the big bucks, it wasn't shiny performances at "lower level games", as well as Kolbe at Toulon after his extraordinary stunt at Toulouse. Whitelock was at the end of his career.


I think you've mistaken the big bucks low level league with Japan Rugby League One stars welcomed at their prime (Mo'unga, de Klerk, Matera, PSDT, de Jager, Mostert, Kolbe, Kriel, Barrett, Savea, Cane, Koroibete, Perenara, Kwagga Smith, de Allende, Kolbe, Wiese, Marx) because it pales a bit. 12 of of the 30 players that started the RWC final play in Japan. With a maximum of 16 games/season. In France it's up to 29 to be get the Top14 title, plus the Champions Cup.

Try to keep up the rythm with more than twice as many games.

I guess you've read their interviews on the intensity of Top14, right? Right?


The biggest Top14 stars are in great majority French players, because the JIFF policy has changed the way French clubs operate.

The era of Carter, Botha, Wilkinson, Kaino, Smith or the others mentioned before is over.

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