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Le tournoi féminin olympique de rugby à sept en chiffres

Les médaillées du Canada, de la Nouvelle-Zélande et des États-Unis posent pour une photo de groupe lors de la troisième journée des Jeux olympiques de Paris 2024 au Stade de France, le 30 juillet 2024 à Paris. Crédit photo : Mike Lee - KLC fotos pour World Rugby

Les Jeux olympiques Paris 2024 ont été les troisièmes à mettre à l’honneur le rugby à sept avec 12 équipes féminines qui ont foulé la pelouse du Stade de France du 28 au 30 juillet.

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Retour sur les chiffres clés du tournoi féminin de Paris 2024.

0 – Il n’y a pas eu de coups de pied de pénalité dans le tournoi féminin de Paris 2024 comme de Tokyo 2020. Il n’y en a eu qu’un seul à Rio 2016, marqué par la Brésilienne Raquel Kochhann.

1 – Les États-Unis ont décroché leur première médaille olympique grâce à un essai spectaculaire dans les dernières secondes contre l’Australie, la championne de Rio 2016. Ainsi, Émilie Bydwell devient la première femme entraîneur principal à obtenir une médaille en rugby à sept aux Jeux olympiques.

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2 – La Nouvelle-Zélande est devenue la première équipe féminine à remporter deux médailles d’or consécutives après avoir battu le Canada.

2 – C’est le nombre d’équipes féminines qui ont fait leurs débuts olympiques à Paris. L’Irlande a terminé huitième, tandis que l’Afrique du Sud a pris la onzième place après avoir obtenu sa première victoire sur la scène mondiale.

3 – Comme le nombre de triplés réalisés par Maddison Levi à Paris 2024, contre l’Afrique du Sud et la Grande-Bretagne en phase de poules et contre l’Irlande en quarts de finale.

3 – La co-capitaine de l’équipe néo-zélandaise, Risi Pouri-Lane, a désormais trois médailles d’or olympiques à son actif. Elle a conduit son pays à la victoire aux Jeux olympiques de la jeunesse à Buenos Aires en 2018, puis a décroché l’or à Tokyo 2020 et à Paris 2024.

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3 – Le nombre de victoires consécutives du Japon pour finir neuvième à Paris 2024 est d’autant plus remarquable que l’équipe n’avait remporté qu’un seul de ses 12 premiers matchs lors d’une édition précédente des Jeux olympiques.

4 – Le nombre de femmes ayant marqué quatre essais lors d’un match olympique de rugby à sept a augmenté, avec l’Australienne Maddison Levi (contre l’Afrique du Sud), la Néo-Zélandaise Michaela Blyde (contre la Chine) et la Française Séraphine Okemba (contre les États-Unis) rejoignant la Fidjienne Reapi Ulunisau (contre le Brésil à Tokyo 2020) dans ce club très exclusif.

4 – Les membres de l’équipe néo-zélandaise qui comptent désormais trois médailles olympiques, deux d’or et une d’argent. Il s’agit de la co-capitaine Sarah Hirini, Theresa Setefano, Tyla King et Portia Woodman-Wickliffe.

La Canadienne Charity Williams pose avec un jeune fan lors de la troisième journée des Jeux olympiques de Paris 2024 au Stade de France, le 30 juillet 2024 à Paris. Crédit photo : Mike Lee - KLC fotos pour World Rugby
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6 – Les joueuses ayant réalisé un triplé au Stade de France, soit deux de plus que le plus grand nombre à Tokyo 2020 et Rio 2016. Maddison Levi (Australie), Michaela Blyde (Nouvelle-Zélande), Ian Jason et Séraphine Okemba (tous deux Françaises) ont aplati au moins trois fois dans un match

8 – Le nombre d’années entre les deux médailles de bronze du Canada, Charity Williams étant la seule joueuse de l’effectif à avoir participé aux campagnes de Rio 2016 et de Paris 2024.

12 – La série de victoires de la Nouvelle-Zélande sur la scène olympique

14 – Le nombre d’essais marqués par l’Australienne Maddison Levi pour établir un nouveau record du plus grand nombre d’essais marqués en une seule édition des Jeux olympiques, dépassant les 10 essais de Portia Woodman-Wickliffe pour la Nouvelle-Zélande à Rio 2016.

17 – Le plus grand nombre de victoires d’une équipe féminine sur la scène olympique est détenu par la Nouvelle-Zélande, qui a remporté 17 de ses 18 matchs. Sa seule défaite est survenue contre l’Australie lors du match pour la médaille d’or en 2016.

17 – Le record de l’histoire du nombre d’essais marqués aux Jeux Olympiques est désormais partagé par Maddison Levi, Michaela Blyde et Portia Woodman-Wickliffe.

18 – Les cartons jaunes brandis à Paris 2024, dont quatre pour l’Australie et les Fidji

20 – Le plus grand nombre de points marqués dans un match, par Maddison Levi, Michaela Blyde et Séraphine Okemba grâce à quatre essais.

22 – Le plus grand nombre de points marqués par une équipe perdante dans le tournoi féminin, par les Fidji lors de leur défaite en demi-finale contre le Brésil (9e place).

34 – Comme le nombre d’essais marqués par la Nouvelle-Zélande, médaillée d’or, un record pour une seule édition des Jeux.

34 – Nombre de matchs dans la compétition

55 – Le plus grand nombre de points marqués par une équipe lors d’un match féminin à Paris a été réalisé par la Nouvelle-Zélande, qui a infligé un score impressionnant à la Chine lors de son quart de finale. Ce total est le deuxième plus élevé de l’histoire olympique, derrière les 56 points marqués par les joueurs de l’Argentine contre la République de Corée à Tokyo.

70 – Points marqués par l’Australienne Maddison Levi, le plus grand nombre de points marqués en une seule édition des Jeux olympiques

144 – Nombre de joueuses dans le tournoi féminin, chaque équipe comptant 12 joueuses.

212 – Le plus grand nombre de points marqués par une équipe à Paris 2024, par la Nouvelle-Zélande, médaillée d’or. Ils sont la première équipe à dépasser les 200 points lors d’une seule édition des Jeux olympiques

209 – Essais marqués sur l’ensemble des 34 matchs du tournoi féminin à Paris, un nouveau record.

1 305 – Points marqués lors des 34 matchs de Paris 2024, soit 91 de plus qu’à Tokyo.

66 000+ – La plus grande affluence pour une seule séance de rugby féminin, réalisée lors de la première journée au Stade de France.

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S
SK 1 hour ago
How can Scott Robertson revive the All Blacks’ playmaking ‘triple threat’?

Who are the best Full backs in the world right now? Ramos and Keenan appear a step above and the leaders in class, Le Roux is old but still a class act. All of these players are outstanding in their own right and all of them can do multiple things very well. They peel off territory with outstanding kicking in both attacking and defensive zones. They are all excellent under the high ball. They are all playmakers who step into the line at times at first receiver or in midfield and distribute perfectly to the edge. They can all function as strike runners or link players bringing others into the game. They are also all good as last line defenders. Now look at Jordan. A class act in his own way, an epic strike and broken-field runner. He is able to burst into space with intent, pace and power. He is an elite finisher and a really good one on one defender who is a solid last line of defence. He chips into space really well and regathers very nicely. He is however not a creative link and creates primarily for himself. He sees opportunities which he can exploit individually and rarely brings others into the game. He is not a big picture player. He is decent under the high ball but by no means outstanding. He is unable to control the pace of the game all that well, he doesn't always make the best decisions especially in his third as he is so zoned in on attack and does not control territory well. His boot is not as prodigious or educated as the aforementioned 15's. Jordan is a complete winger but he is nowhere near as complete a full back. He limits Robertsons options in terms of playmaking ability and that means more responsibility for the 10. There is a general acceptance of this and as long as Jordan is at 15 the 10 will have to shoulder the playmaking responsibility with Jordan sniffing out opportunities from the back. Jordie needs to give support in this regard and Robertson needs to give him more freedom to create. With Jordan at 15 does he really need Ioane at 13? Perhaps the AB's are focusing too much on strike runners and not enough attention on playmaking.

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