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Paris 2024 : France, Australie, USA et Nouvelle-Zélande au rendez-vous

PARIS, FRANCE - 28 JUILLET : Theresa Setefano (10) (Nouvelle-Zélande) cherche à passer après contact alors qu'elle est plaquée par Caroline Crossley (1) de l'équipe du Canada dans le match féminin de la poule A entre l'équipe de Nouvelle-Zélande et l'équipe du Canada lors de la deuxième journée des Jeux Olympiques Paris 2024 au Stade de France, le 28 juillet 2024 à Paris, France. (Photo par Hannah Peters/Getty Images)

Le tournoi féminin de rugby à sept olympique de Paris 2024 a été lancé dimanche 28 juillet. Après la pluie qui a perturbé le tournoi masculin, cette fois le soleil a inondé le terrain avec un fort vent qui chassait définitivement les nuages.

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Seules quatre équipes ont assuré un 100% lors de cette première journée : l’Australie, la Nouvelle-Zélande, la France et les Etats-Unis. La Chine a créé la surprise en s’imposant sur les Fidji, médaillées de bronze à Tokyo 2020.

La France de son côté est la seule équipe à n’avoir encaissé aucun point au cours des deux rencontres.

POULE A

Fidji 14 – 17 Canada

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World Rugby Guide to Rugby Sevens – French

Olympic Rugby Sevens kicks off in Paris on Wednesday. Here’s your full explanation of how it’ll work!

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Le début de la rencontre a été folle avec deux fois la même action avortée, une échappée fidjienne par Reapi Ulunisau dans son couloir gauche et Charity Williams qui fait parler ses jambes pour sauver la situation.

Après une première période qui a vu le Canada marquer deux fois de suite – Florence Symonds et Charity Williams (12-0) – les Fijiana ont enfin réussi à percer le rideau pour marquer sous les poteaux par Maria Rokotuisiga.

A l’essai de Keyara Wardley, validé après examen vidéo, les Fidji revenaient à trois points grâce à une belle croisée menant à l’essai de Laisana Likuceva.

La Fidjienne Reapi Ulunisau dans son couloir gauche chassée par Charity Williams. Crédit photo : Mike Lee - KLC fotos pour World Rugby
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Nouvelle-Zélande 43 – 5 Chine

On ne donnait pas très cher de la peau des Chinoises – même si dans leur staff se trouve le maître du Sevens, Sir Gordon Tietjens – tant la domination de la Nouvelle-Zélande sur la planète de rugby à sept est sans égal.

Repêchée à Monaco cinq semaines auparavant, la Chine sortait d’une saison record où elle a cumulé 27 matchs pour remporter le World Rugby Sevens Challenger Series.

Après deux premières minutes impressionnantes de défense (notamment un bon grattage), les Chinoises ont été victime de l’excellente forme de Michaela Blyde (quatre essais) et du sourire de Stacey Waaka (doublé) permettant aux Black Ferns Sevens de mener 22-0 à la pause.

A l’image de Gu Yaoyao qui jouait avec un bandage au visage après une fracture de la mâchoire contractée à Madrid début juin et dont elle n’est pas totalement remise, la Chine a fait montre de résistance jusqu’à ce que Liu Xiaoqian ne marque en coin en début de la seconde période.

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Belle résistance aussi de la part de Sarah Hirini qui a marqué le dernier essai, sept mois après sa rupture des ligaments croisés.

PARIS, FRANCE - 28 JUILLET : Michaela Blyde #6 de l'équipe de Nouvelle-Zélande avec le ballon devant Gu Yaoyao pendant le match de la poule A féminine entre l'équipe de Nouvelle-Zélande et l'équipe de République populaire de Chine lors de la deuxième journée des Jeux olympiques Paris 2024 au Stade de France le 28 juillet 2024 à Paris, France. (Photo par Hannah Peters/Getty Images)

Fidji 12 – 40 Chine

Face aux médaillées de bronze de Tokyo 2020, les Chinoises (7e à Tokyo) menaient 19-7 à la pause de leur deuxième match de la journée. Il faut dire que leur mise en jambe de ce deuxième tournoi olympique face à la Nouvelle-Zélande leur avait apporté un bel échauffement.

Les Fidji en ont fait les frais, tentant de rester dans le match malgré le fort pressing et la vitesse qu’imposaient les protégées de Gordon Tietjens.

Contre toute attente et par cette victoire de six essais, la Chine se relance dans la course à la place de meilleure troisième avant son dernier match de poule qui se fera contre le Canada. Les Fidji quant à elles devront en passer par la Nouvelle-Zélande pour leur dernier match de la poule.

PARIS, FRANCE - 28 JUILLET : Keyi Chen #7 (Chine) court avec le ballon pendant le match de la poule A féminine entre l'équipe des Fidji et l'équipe de la République populaire de Chine lors de la deuxième journée des Jeux olympiques Paris 2024 au Stade de France, le 28 juillet 2024 à Paris, France. (Photo par Hannah Peters/Getty Images)

Nouvelle-Zélande 33 – 7 Canada

Belle affiche que ce dernier match de la journée au terme de laquelle la Nouvelle-Zélande a remporté sa 36e victoire en 39 rencontres entre les deux équipes (la première aux JO). Le Canada avait mis crevé son plafond de verre en mettant fin à une série de 27 défaites contre la Nouvelle-Zélande en s’imposant lors de la phase de poule de la Grande Finale du SVNS à Madrid début juin.

Le début de la rencontre de Paris 2024 a été enlevé, les Canadiennes croyant en leurs chances à tel point que les deux équipes étaient à 7 partout au bout de trois minutes (essais de Jorja Miller et Charuty Williams). Plus rapides que les Chinoises qui n’avaient pas les jambes pour rattraper Michaela Blyde et ses partenaires, les Canadiennes n’ont pas facilité la tâche aux Néo-Zélandaises obligeant par exemple Risi Pouri-Lane à aplatir sur la ligne. L’essai transformé de Miller à la pause rassurant les filles en noir (19-7).

Lorsque Jazmin Felix-Hotham a alourdi la marque après le break, le Canada n’a plus réussi à trouver la faille, étant un peu à court d’énergie. L’essai de Portia Woodman-Wickliffe scellait le score à une minute de la fin de la rencontre.

PARIS, FRANCE - 28 JUILLET : Jorja Miller (2) de l'équipe de Nouvelle-Zélande passe le ballon pendant le match de la poule A féminine entre l'équipe de Nouvelle-Zélande et l'équipe du Canada lors de la deuxième journée des Jeux olympiques Paris 2024 au Stade de France le 28 juillet 2024 à Paris, France. (Photo par Hannah Peters/Getty Images)

POULE B

Irlande 12 – 21 Grande-Bretagne

Le moment d’émotion a été marqué par l’Irlandaise Amee-Leigh Murphy-Crowe – troisième meilleure marqueuse d’essais de l’histoire des Series, avec un total de 197 réalisations – qui a inscrit le premier essai olympique de l’Irlande, équipe qui n’avait encore jamais évolué sur la scène olympique. A cela la Grande-Bretagne a répliqué dans la seconde avec Isla Norman-Bell, mais Murphy-Crowe a bouclé un mouvement d’équipe le long de l’en-but adverse juste avant la pause.

Jasmine Joyce, seule Britannique à vivre ses troisièmes Jeux olympiques, et Emma Uren ont redoré la flamme britannique, équipe qui avait terminé 8e de la saison régulière juste derrière les Irlandaises, en aplatissant chacune un essai pour plier le match en seconde période.

PARIS, FRANCE - 28 JUILLET : Amy Wilson Hardy de l'équipe de Grande-Bretagne célèbre lors du match de la poule B féminine entre l'Irlande et la Grande-Bretagne et B lors de la deuxième journée des Jeux olympiques Paris 2024 au Stade de France le 28 juillet 2024 à Paris, France. (Photo par Hannah Peters/Getty Images)

Australie 34 – 5 Afrique du Sud

L’Australie a vite mis la main sur le match en envoyant ses snipers marquer dès les premières minutes de la rencontre. La grande Maddison Levi (un triplé en première période), puis Faith Nathan ont déroulé le jeu des Championnes du SVNS pour mener 24-0 à la pause.

L’Afrique du Sud, qui participe pour la première fois aux Jeux olympiques, a eu du mal à exister et à développer son jeu face aux grandes favorites du tournoi. Après quatre matchs consécutifs sans marquer, Nadine Roos a réussi à inscrire un essai, profitant d’une supériorité numérique due à l’exclusion de Kaitlin Shave, blessée lors de son plaquage haut.

Peu de temps avant, Maddison Levi avait déjà ajouté un quatrième essai à son compteur (son 73e de la saison !), suivie par sa sœur Teagan qui a également marqué.

PARIS, FRANCE - 28 JUILLET : Maddison Levi (Australie) marque un essai lors du match de la poule B féminine entre l'Australie et l'Afrique du Sud, lors de la deuxième journée des Jeux olympiques Paris 2024 au Stade de France, le 28 juillet 2024 à Paris, France. (Photo par Hannah Peters/Getty Images)

Irlande 38 – 0 Afrique du Sud

L’Irlande a conservé son leadership sur l’Afrique du Sud en passant six essais (dont cinq en seconde période) – Stacey Flood, Beibhinn Parson (doublé), Amee Leigh Murphy Crowe, Vicki Elmes Kinlan et Eve Higgins. Si en première période les Sud-Africaines ont tenté de résister, elles n’ont plus rien montré dans la seconde période de leur deuxième match de la journée.

En cumulant autant de points, l’Irlande s’est positionnée dans la course à l’une des deux meilleures troisièmes en vue des quarts de finale.

L’inquiétude de l’équipe est venue de Lucy Rock (née Mulhall) sortie sur blessure au début de la seconde période alors qu’elle faisait son grand retour pour la première fois depuis le premier match de l’Irlande à Los Angeles.

PARIS, FRANCE - 28 JUILLET : Lucy Mulhall Rock de l'équipe d'Irlande quitte le terrain lors du match de la poule B féminine entre l'Irlande et l'Afrique du Sud lors de la deuxième journée des Jeux olympiques Paris 2024 au Stade de France le 28 juillet 2024 à Paris, France. (Photo par Hannah Peters/Getty Images)

Australie 36 – 5 Grande-Bretagne

Cette rencontre était un peu la finale de poule avant l’heure entre les deux équipes favorites de la poule B. Après une percée spectaculaire de Ellie Kildunne, meilleure joueuse du Tournoi des Six Nations 2024, rattrapée in-extremis par Maddison Levi, sa sœur Teagan a écopé d’un carton jaune pour un geste d’anti-jeu sur une pénalité.

Si les Britanniques ont pu ouvrir le score (Heather Cowell), l’Australie s’est vite reprise pour imposer son rythme et montrer qu’elle est présente à Paris pour reprendre la médaille d’or qu’elle avait remporté à Rio 2016 et qu’elle avait perdu à Tokyo 2020 en terminant 5e.

Dans sa quête, Maddison Levi se révèle essentielle avec un triplé – ce qui porte déjà son total à sept essais en deux matchs seulement ! – mais aussi sa sœur Teagan (un essai) et Bienne Terita (doublé).

PARIS, FRANCE - 28 JUILLET : Ellie Kildunne (Grande-Bretagne) est défiée par Maddison Levi (Australie) lors du match de la poule B entre l'Australie et la Grande-Bretagne aux Jeux Olympiques Paris 2024 au Stade de France, le 28 juillet 2024 à Paris. (Photo par Hannah Peters/Getty Images)

POULE C

Etats-Unis 36 – 7 Japon

Lors de leur dernière rencontre au tournoi de Singapour début mai, le Japon avait mis fin à une série de 12 défaites contre les États-Unis, obtenant ainsi seulement leur deuxième victoire contre cette équipe sur les SVNS Series et leur plus large victoire dans cette confrontation.

Au Stade de France, il en a été autrement, même si Sakura Mizutani a ouvert le score. Sarah Levy (rien à voir avec les sœurs australiennes) a été la première à passer la ligne d’en-but du Japon en prenant de la vitesse pour percer en force le frêle rideau défensif, vite imitée par Kristi Kirshe pour un doublé, puis par Sammy Sullivan avant la pause (22-7).

Après une course en travers partie de ses 22 m, Ilona Maher enfonçait un peu plus le clou (avant d’être mise au repos) face à une équipe du Japon incapable de mettre en place son jeu malgré de belles intentions. Après une simple croisée de Sullivan, Alex Sedrick filait à son tour pour le dernier essai.

PARIS, FRANCE - 28 JUILLET : Sarah Levy (États-Unis) célèbre avec ses coéquipières après avoir marqué un essai lors du match de la poule C féminine entre les États-Unis et le Japon lors de la deuxième journée des Jeux olympiques Paris 2024 au Stade de France, le 28 juillet 2024 à Paris, France. (Photo par Hannah Peters/Getty Images)

France 26 – 0 Brésil

Pleines d’énergie mais encore imprécises dans leurs transmissions et souvent pénalisées, les Françaises ont bien lancé leur campagne en encaissant aucun point du Brésil.

Les Brésiliennes sont bien entrées dans le match en conservant le ballon pendant les premières 90 secondes de la rencontre. Pour son deuxième ballon, la France a étiré son jeu et Joanna Grisez, un temps incertaine pour participer à ces JO, a pu plonger dans l’en-but pour un essai transformé par Caroline Drouin.

Juste après, un bon grattage de Lou Noël transmis à la vétérane Chloé Pelle alourdissait le score avant la pause (14-0).

Les armes fatales – Séraphine Okemba et Anne-Cécile Ciofani – quittaient alors le banc avec l’expérience de Camille Grassineau pour relancer un jeu bloqué depuis quelques minutes. Okemba déposait le troisième essai sous les poteaux.

Le dernier essai était conclu par Ian Jason après une course incroyable d’Anne-Cécile Ciofani, le long de la ligne de touche, dans le sillon tracé la veille par Antoine Dupont.

PARIS, FRANCE - 28 JUILLET : Gisele Gomes Dos Santos (Brésil) est contestée par Yolaine Yengo et Caroline Drouin (France) lors du match de la poule C féminine entre la France et le Brésil lors de la deuxième journée des Jeux olympiques Paris 2024 au Stade de France, le 28 juillet 2024 à Paris, France. (Photo par Hannah Peters/Getty Images)

Etats-Unis 24 – 5 Brésil

Pour cette première confrontation entre les deux équipes aux Jeux olympiques, le Brésil a montré une belle résistance en première période face à des Américaines motivées. La légende Alev Kelter, qui vit là ses troisièmes JO, a navigué au travers de la défense pour marquer son premier essai du tournoi et ouvrir le score.

Un essai de Ariana Ramsey refusé plus tard, le Brésil perdait son talisman Bianca Silva sur blessure, évacuée sur civière. Dans la foulée, Thalia Costa égalisait au score en aplatissant le premier ballon de son équipe. Mais juste avant la pause, les USA repassaient devant grâce à Sammy Sullivan (12-5).

Montrant des signes de fatigue, les Brésiliennes manquaient de mettre du rythme, subissant la rage des USA avec Ilona Maher et Alex Sedrick sur le gong.

PARIS, FRANCE - 28 JUILLET : Alev Kelter #5 (États-Unis) raffute Thalia Costa #5 (Brésil) pendant le match de la poule C féminine entre l'équipe des États-Unis et l'équipe du Brésil lors de la deuxième journée des Jeux olympiques Paris 2024 au Stade de France, le 28 juillet 2024 à Paris, France. (Photo par Hannah Peters/Getty Images)

France 49 – 0 Japon

Très vite les Françaises ont mis la main sur le ballon et Ian Jason ouvrait le score, confirmant la stat selon laquelle elle était la seule joueuse française à avoir marqué lors des deux victoires contre le Japon cette saison.

Chloé Jacquet réussissait à rattraper une belle percée du Japon, puis naviguait dans la défense japonaise, faisant marcher ses appuis pour transmettre à Camille Grassineau pour marquer sous les perches.

Les Bleues enchaînaient avec un troisième essai par Caroline Drouin pour mener 21-0 à la 5e minute de jeu seulement. Rapidement, mais avec pragmatisme, les Françaises gagnaient chacun de leur duel.

A la pause, les vice-championnes olympiques de Tokyo 2020 menaient déjà 28-0 après le doublé de Jason. Son troisième arrivait juste après une passe après contact de Lou Noël avec une Japonaise sur le dos.

Le festival continuait avec Anne-Cécile Ciofani qui passait trois défenseuses pour marquer le sixième essai français du bout du bras. Il restait encore du temps pour que Chloé Jacquet, remarquable pour sauver des essais, n’inscrive le sien propre.

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J
JW 1 hour ago
Does South Africa have a future in European competition?

In another recent article I tried to argue for a few key concept changes for EPCR which I think could light the game up in the North.


First, I can't remember who pointed out the obvious elephant in the room (a SA'n poster?), it's a terrible time to play rugby in the NH, and especially your pinnacle tournament. It's been terrible watching with seemingly all the games I wanted to watch being in the dark, hardly able to see what was going on. The Aviva was the only stadium I saw that had lights that could handle the miserable rain. If the global appeal is there, they could do a lot better having day games.


They other primary idea I thuoght would benefit EPCR most, was more content. The Prem could do with it and the Top14 could do with something more important than their own league, so they aren't under so much pressure to sell games. The quality over quantity approach.


Trim it down to two 16 team EPCR competitions, and introduce a third for playing amongst the T2 sides, or the bottom clubs in each league should simply be working on being better during the EPCR.


Champions Cup is made up of league best 15 teams, + 1, the Challenge Cup winner. Without a reason not to, I'd distribute it evenly based on each leauge, dividing into thirds and rounded up, 6 URC 5 Top14 4 English. Each winner (all four) is #1 rank and I'd have a seeding round or two for the other 12 to determine their own brackets for 2nd, 3rd, and 4th. I'd then hold a 6 game pool, home and away, with consecutive of each for those games that involve SA'n teams. Preferrably I'd have a regional thing were all SA'n teams were in the same pool but that's a bit complex for this simple idea.


That pool round further finalises the seeding for knockout round of 16. So #1 pool has essentially duked it out for finals seeding already (better venue planning), and to see who they go up against 16, 15,etc etc. Actually I think I might prefer a single pool round for seeding, and introduce the home and away for Ro16, quarters, and semis (stuffs up venue hire). General idea to produce the most competitive matches possible until the random knockout phase, and fix the random lottery of which two teams get ranked higher after pool play, and also keep the system identical for the Challenge Cup so everthing is succinct. Top T2 side promoted from last year to make 16 in Challenge Cup

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J
JW 7 hours ago
Does South Africa have a future in European competition?

I had a look at the wiki article again, it's all terribly old data (not that I'd see reason for much change in the case of SA).

Number Of Clubs:

1526

Registered+Unregistered Players:

651146

Number of Referees:

3460

Pre-teen Male Players:

320842

Pre-teen Female Player:

4522

Teen Male Player:

199213

Teen Female Player:

4906

Senior Male Player:

113174

Senior Female Player:

8489

Total Male Player:

633229

Total Female Player:

17917


So looking for something new as were more concerned with adults specifically, so I had a look at their EOY Financial Review.

The total number of clubs remains consistent, with a marginal increase of 1% from 1,161 to 1,167. 8.1.

A comparative analysis of verified data for 2022 and 2023 highlights a marginal decline of 1% in the number of female players, declining from 6,801 to 6,723. Additionally, the total number of players demonstrates an 8% decrease, dropping from 96,172 to 88,828.

So 80k+ adult males (down from 113k), but I'm not really sure when youth are involved with SAn clubs, or if that data is for some reason not being referenced/included. 300k male students however (200k in old wiki data).


https://resources.world.rugby/worldrugby/document/2020/07/28/212ed9cf-cd61-4fa3-b9d4-9f0d5fb61116/P56-57-Participation-Map_v3.pdf has France at 250k registered but https://presse-europe1-fr.translate.goog/exclu-europe-1-le-top-10-des-sports-les-plus-pratiques-en-france-en-2022/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=en&_x_tr_hl=en&_x_tr_pto=wapp has them back up at 300k registered.


The French number likely Students + Club, but everyone collects data different I reckon. In that WR pdf for instance a lot of the major nations have a heavily registered setup, were as a nation like England can penetrate into a lot more schools to run camps and include them in the reach of rugby. For instance the SARU release says only 29% of schools are reached by proper rugby programs, where as the 2million English number would be through a much much higer penetration I'd imagine. Which is thanks to schools having the ability to involve themselves in programs more than anything.


In any case, I don't think you need to be concerned with the numbers, whether they are 300 or 88k, there is obviously a big enough following for their pro scenes already to have enough quality players for a 10/12 team competition. They appear ibgger than France but I don't really by the lower English numbers going around.

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