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DIRECT Paris 2024 : Une finale olympique France - Fidji

PARIS, FRANCE - 27 JUILLET : Antoine Dupont (France) pendant la demi-finale du entre l'Afrique du Sud et la France lors de la troisième journée des Jeux olympiques Paris 2024 au Stade de France, le 27 juillet 2024 à Paris, France. (Photo par Hannah Peters/Getty Images)

La finale du tournoi olympique de rugby à sept de Paris 2024 opposera la France aux Fidji samedi 27 juillet.

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Tombeurs de l’Afrique du Sud 19-5, les Français ont assuré leur présence en finale. Dans la deuxième finale, les Fidji n’ont laissé aucune chance en mettant quatre essais à l’Australie en seconde période pour finir sur un large score de 31-7.

La troisième journée avait commencé avec une séquence émotion dans le Stade de France en ouverture de la cinquième session du tournoi olympique de rugby à sept samedi 27 juillet lorsque le vétéran de France Jonathan Laugel (31 ans) est entré pour donner les trois coups du lancement (Dan Carter l’avait précédé lors de la première journée).

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World Rugby Guide to Rugby Sevens – French

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    World Rugby Guide to Rugby Sevens – French

    Olympic Rugby Sevens kicks off in Paris on Wednesday. Here’s your full explanation of how it’ll work!

    Non retenu dans le groupe olympique par le coach Jérôme Daret, l’ancien capitaine a souffert de blessures la saison dernière, sa dernière apparition remontant au tournoi de Singapour début mai. Ce tournoi était alors le 94e d’une carrière entamée en 2012 et dans laquelle il a participé à 242 rencontres.

    « Je soutiens l’équipe de France de rugby à 7 pour ces Jeux Olympiques. J’ai confiance en ceux sur le terrain pour donner le meilleur et laisser un héritage à la hauteur du travail accompli », avait-il alors indiqué sur son compte Instagram.

    « Je pense à tous les gars non sélectionnés comme moi et aux anciens. Notre travail, nos efforts et nos accomplissements ont contribué à l’évolution de l’équipe, à la construction de son identité et de son palmarès, à être ce qu’elle est. Nous pouvons en être fiers. »

    Demi-finales

    Afrique du Sud 5 – 19 France

    Dans un Stade de France en feu où avaient pris place 69 000 spectateurs, l’entraîneur de France 7 Jérôme Daret avait reconduit la même équipe que celle qui avait fait tomber les Argentins en quart de finale.

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    La pluie a joué les trouble-fêtes, provoquant quelques fautes de main de part et d’autre empêchant quiconque de vraiment construire leur jeu. Les cinq premières minutes se sont concentrées dans le camp sud-africain avant que les Blitzboks usent du jeu au pied et des collisions pour remonter le terrain. La défense tricolore n’a pas flanché, permettant d’assurer un nul 0 partout à la pause.

    Le pressing des Blitzboks a poursuivi, mettant les Bleus en difficulté dans les rucks. A moins de cinq minutes de la fin, Tristan Leyds a marqué le premier après une pénalité jouée rapidement à cinq mètres de la ligne ; mais la transformation à 38 mètres n’était pas réussie.

    Encore bloqués dans leur camp, les Français ont fait rentrer leur banc pour donner une nouvelle impulsion, ce qui a été tout de suite profitable. Après une belle percée, Varian Pasquet transmettait à Rayan Rebbadj avant de se faire rattraper. Prenant soin d’aplatir sous les poteaux, Rebbadj transformait pour reprendre le score.

    L’action suivante suivait le même schéma avec une grosse montée de Pasquet, cette fois rattrapé juste avant la ligne sans possibilité de passer. Rebbadj marquait dans la foulée pour mettre la France hors de portée au score. L’essai de Jordan Sepho confirmait la place de la France en finale.

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    PARIS, FRANCE - 27 JUILLET : Stephen Parez Edo Martin (France) est plaqué par Impi Visser (Afrique du Sud) lors du match entre l'Afrique du Sud et la France lors de la troisième journée des Jeux olympiques Paris 2024 au Stade de France, le 27 juillet 2024 à Paris, France. (Photo par Cameron Spencer/Getty Images)

    Fidji 31 – 7 Australie

    Dans la deuxième demi-finale, après une première période assez équilibrée, les Fidjiens ont fait fi de la pluie qui tombait, s’adaptant parfaitement aux conditions climatiques. « Vous savez, aux Fidji il pleut souvent ; on est habitué », confiait Jerry Tuwai au micro de Eurosport à l’issue du match.

    Et effectivement, les Fidjiens ont joué à la Fidjienne, aplatissant à quatre reprises en seconde période pour étouffer complètement des Australiens incapables de résister à la détermination fidjienne de disputer une troisième finale olympique de suite, face à la France.

    « On sait que la France avec son public, ça va être difficile, on a fait des matchs difficiles contre eux. Ils arrivent de loin, mais nous aussi pour être ici », rappelait Jerry Tuwai.

    PARIS, FRANCE - 27 JUILLET : Selesitino Ravutaumada et Terio Tamani Veilawa (Fidji) célèbrent un essai lors de la demi-finale du rugby à sept masculin entre l'Australie et les Fidji lors de la troisième journée des Jeux olympiques Paris 2024 au Stade de France, le 27 juillet 2024 à Paris, France. (Photo par Hannah Peters/Getty Images)

    Demi-finale pour la 5e place

    Nouvelle-Zélande 17 – 12 Argentine

    La rencontre a débuté avec quelques secondes de retard du fait d’un événement rarissime : le fil de la spider cam s’était coincé sur l’un des poteaux. Le temps de le dégager et la Nouvelle-Zélande tapait le coup d’envoi sans trop de motivation.

    PARIS, FRANCE - 27 JUILLET : Le fil de la spider cam s'est pris dans le poteau avant le match de rugby à sept masculin entre la Nouvelle-Zélande et l'Argentine lors de la troisième journée des Jeux olympiques Paris 2024 au Stade de France, le 27 juillet 2024 à Paris, France. (Photo par Hannah Peters/Getty Images)

    Considérés comme les favoris avant le début du tournoi, Néo-Zélandais et Argentins sont tombés de haut lors de leur défaite en quart de finale respectivement face à l’Afrique du Sud et à la France. Pour ces deux grandes équipes, cette demi-finale pour la 5e place résonnait comme une vexation.

    Ce troisième duel en trois éditions des JO s’est poursuivi en prolongation, Moses Leo égalisant sur le gong alors que son équipe avait ouvert le score (Akuila Rokolisoa) et que l’Argentine avait maîtrisé la majorité du match (essais de Luciano Gonzalez et Tobias Wade). C’est finalement Andrew Knewstubb qui a réussi à délivrer son équipe pour lui permettre de tenter la 5e place.

    PARIS, FRANCE - 27 JUILLET : Curry Scott (Nouvelle-Zélande) pendant le match de rugby à sept masculin des places 5 à 8 entre la Nouvelle-Zélande et l'Argentine lors de la première journée des Jeux olympiques Paris 2024 au Stade de France, le 27 juillet 2024 à Paris, en France. (Photo par Hannah Peters/Getty Images)

    Irlande 17 – 14 Etats-Unis

    Contrairement au match précédent, cette rencontre présentait un fort enjeu pour ces deux équipes. L’Irlande est de toute manière assurée de faire mieux que sa 10e place à son précédent tournoi olympique à Tokyo (ils ne s’étaient pas qualifiés à Rio), tandis que les Etats-Unis avaient encore une chance de faire au minimum mieux que Tokyo où ils avaient terminé 6e (ils étaient 9e à Rio en 2016).

    Mais la vista de Terry Kennedy a offert la victoire à son équipe alors que le chrono était déjà dans le rouge. Une cruelle déception pour les Etats-Unis condamnés à redresser la tête pour tenter de finir 7e face à l’Argentine.

    Avec un sixième essai, l’américain Perry Baker est désormais le meilleur marqueur d’essais du tournoi olympique.

    PARIS, FRANCE - 27 JUILLET : Aaron Cummings (États-Unis) plaquant Gavin Mullin (Irlande) lors du match de classement 5-8 entre l'Irlande et les États-Unis lors de la troisième journée des Jeux olympiques Paris 2024 au Stade de France, le 27 juillet 2024 à Paris, en France. (Photo par Hannah Peters/Getty Images)
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    B
    BigGabe 1 hour ago
    'Love him or hate him, Henry Pollock has got the rugby world talking.'

    Well, I would disagree with your take that you don’t take the p*** out of the opposition.


    Sledging and posturing is very much a part of the game - “four more years”/"just a **** richie mccaw”/any swan dive celebration/English yelling when they win minor penalties/etc etc. Cricket has much the same when a wicket keeper chats in a batsman’s ears, but no one complains about it. Just because we can’t hear what goes on a ruck or maul, or see what goes on, doesn’t mean it doesn’t go on. Sport is emotional. Let’s not pretend that rugby has a history of behaving like absolute gentleman before the final whistle goes off.


    The spirit of rugby…now this is an interesting one. What does that mean? 2-3 years ago, the 6-2/7-1 split was against the spirit of rugby, but now it is used by club and country. Does this mean the spirit of rugby can change? In 1974, the Lions had an infamous Call 99. Today, teams are still getting into fights. Other sports don’t do this. Is this the spirit of rugby? I think this phrase is one of those useful ones that means everything and nothing and can be used by both sides of the fence, as well as the fence itself, to justify what they want to see. But perhaps we should not be looking at Pollock, but at ourselves. Are we (you) all not giving a self-described wind up merchant exactly what he wants? I think this conservative group of sports fans needs to realise that just bc they have viewed rugby a certain way for a long time, does not mean that it necessarily needs to be viewed that way for ever and ever amen. That’s gatekeeping and the generations to come don’t like or respect it. As rugby culture breaks into new markets, it needs to constantly adjust.

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    N
    Nickers 1 hour ago
    USA team in Super Rugby Pacific is not the answer right now, but this is

    The question for any expansion is - what is the point?


    On one hand talking about expanding for commercial reasons, but then saying younger squad members would play giving big names a rest making it more for development purposes?


    The problem with SRP is it serves two masters - fans who want a good competition to watch, but also the national teams in developing players so they can go on to become international players.


    The case for maximising young player development:


    A major problem NZ and Australia have is at U20s. AR and NZR would be best served by investing in proper U20 super rugby competition that runs in conjunction with Super Rugby, rather than the one-off carnival style thing that happens at the moment. 20 year olds coming out of France and England in particular, but also France are noticeably more developed than the equivalent players from NZ, Australia and even SA.


    NZ and Australia probably both have one too many teams in SR. If you’re taking a long term view they are best served by cutting teams from the comp now and improving the quality even more. Although MP have been good this year there is also an argument for cutting them too, and reducing to 8 teams that all play each other home and away in a round robin. It would be a ridiculously strong competition with a lot of depth if all the best players are redistributed.


    This in conjunction with a full U20s competition (possibly playing just one round rather than 2) would make NZ and Australia international teams much stronger with a lot more depth.


    But that solution would make less money and cost more.


    NPC would need to be fully amateur or semi-pro at best in this model. If you cross reference the losses NZR posted today with the costs they have previously published about operating the NPC, you can attribute a huge amount, if not all of the losses, to the NPC. At the moment this is putting way too much money into a failing high performance competition at the expense of development.

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