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Pour ses premiers mots, Scott Robertson évoque « l'art de l'entraîneur »

Scott Robertson observes the Crusaders pregame. Photo by Joe Allison/Getty Images

Le nouveau sélectionneur des All Blacks, Scott Robertson, a officiellement pris la relève de Ian Foster le 1er novembre et prend tranquillement ses marques depuis.

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Le septuple champion du Super Rugby avec les Crusaders s’est attelé à la finalisation de son staff, après avoir déjà dévoilé le nom de ses entraîneurs adjoints et une poignée d’autres désignations.

Un séjour en France pour assister à la Coupe du Monde de Rugby a précédé une mission d’assistance à l’équipe des Barbarians d’Eddie Jones, qui s’est inclinée face au Pays de Galles lors d’un match d’adieu pour la légende Alun Wyn Jones, qui a disputé 170 matchs internationaux. Mais il semblerait que tous les systèmes soient désormais au point dans le camp des All Blacks.

Construire un récit commun

L’ère très attendue de Razor est arrivée et le sélectionneur ne se fait pas d’illusions sur le défi qui l’attend, à savoir gérer l’exode de talents chevronnés et le passage au niveau international.

« Vous avez vos modèles, vous avez vos structures et vous entraînez la meilleure équipe devant vous », a expliqué Robertson dans une émission matinale en Nouvelle-Zélande.

« Je sais comment j’entraîne, vous ne changez pas en tant que personne, mais vous pouvez changer certaines choses autour de vos modèles.

« Les tests-matchs sont différents, ils sont joués un peu différemment. Il faut rassembler les gens assez rapidement et créer une histoire et une connexion fortes.

« C’est ce que j’aime : raconter une histoire qui nous relie les uns aux autres. J’ai hâte d’y être. »

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En effet, les récits que Robertson élabore pour chaque campagne sont désormais bien connus, car ce conteur autoproclamé s’efforce d’offrir à son équipe une identité claire comme de l’eau de roche.

Combler la perte d’expérience par le talent

Alors que Ian Foster a pris le temps cette semaine de souligner la quantité de jeunes talents qui ont été formés ces dernières saisons sous le maillot noir, Robertson, lui-même ancien All Black (23 sélections entre 1998 et 2002) perdra les services de huit des meilleurs joueurs néo-zélandais en 2024. Des noms comme Sam Whitelock, Aaron Smith, Brodie Retallick et Richie Mo’unga seront absents de la feuille de match du sélectionneur.

« On ne peut jamais remplacer l’expérience », a regretté Robertson. « Mais on peut la remplacer par du talent, les encadrer et leur donner l’occasion d’être performants. C’est là tout l’art de l’entraîneur.

Avec les attentes considérables qui pèsent sur ses épaules, le sélectionneur a passé « beaucoup d’entretiens », rassemblant « une grande équipe » pour mener l’une des équipes les plus performantes du monde vers un nouveau cycle de Coupe du monde.

Robertson explique qu’il va parcourir le pays pour partager les connaissances et les points de vue des communautés locales de rugby amateurs sur la meilleure façon de faire avancer le rugby.

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« Maintenant, il est temps de parcourir les terrains, de parler aux gens, d’obtenir beaucoup d’informations sur les joueurs qui sont actuellement en place et sur ceux qui vont partir.

« Je passe donc beaucoup de temps à parler à ces personnes, à obtenir ce qui est nécessaire pour les All Blacks, selon eux, pour aller de l’avant. »

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T
Tom 1 hour ago
Borthwick, it's time to own up – Andy Goode

The problem for me isn't the pragmatic playstyle, it's that there is no attacking gameplan whatsoever.


I've got no issue with a methodical, kick heavy, defense centric gameplan. That playstyle won England our only world cup and it's won SA 4 of them. However! You can play in a pragmatic manner but you have to still play heads-up rugby and have the ability to turn it on when you manufacture prime attacking situations. England work very hard to get in the right areas of the pitch and have no idea how to convert when they get there, hence we tried and missed 3 drop goals as we were completely impotent in the 22. I've not seen any improvement in our attack in the last 4-5 years. The only time we got close to the tryline was from an interception, it's embarrassing. I don't know what Richard Wigglesworth is getting paid for.


I agree that England should have found a way to close out that game. Being able to grind out tough games is critical but I'd argue that being unable to string more than a couple of passes together without dropping it and finding a way to get over the gainline is even more important... But frustratingly, they don't seem interested. All you hear is about how close we are to bring a great team, we just need to execute a bit better. I don't see it. I see a team who are very physical, very pragmatic who do some stuff really well and are useless with the ball in hand which adds up to a very average side. They need to stop focusing on getting 5% better at the stuff we're already at an 8/10 level and focus on getting a lot better at the stuff we're doing at a 2/10 level. We have the worst attack of pretty much any side in the world... Argentina, Scotland, Fiji are way more threatening.

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