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Six nations 2024 : les 5 éléments à creuser après la première journée

Le Pays de Galles dans le tunnel du Principality Stadium

L’Irlande, l’Angleterre et l’Écosse ont entamé le Tournoi des Six Nations par une victoire lors d’un week-end d’ouverture riche en rebondissements.

L’Angleterre tente un nouveau jeu

Si une victoire trop serrée contre l’Italie ne donne pas une image flatteuse de la performance des Anglais à Rome, ce match a été l’occasion d’un changement de cap tactique pour l’Angleterre.

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Fidèles à la parole de Steve Borthwick et de Jamie George, leur entraîneur principal et leur capitaine, ils ont fait preuve d’une plus grande ambition en phase offensive que lors de la Coupe du monde.

L’ailier Tommy Freeman était la preuve la plus évidente de ce changement de mentalité, mais le demi de mêlée Alex Mitchell, qui s’attaquait aux défenseurs comme il ne l’avait pas fait lors de France 2023, où les coups de pied étaient nombreux, était sans doute plus révélateur.

Attaque

146
Passes
153
98
Courses avec ballon
119
219m
Mètres après contact
244m
6
Franchissements
4

L’Italie à deux doigts de l’exploit

L’Italie a connu des débuts encourageants dans le Tournoi des Six Nations avant de s’effondrer dans les tours suivants, mais à Rome, les éternels perdants du Tournoi ont connu de nombreux moments impressionnants.

Non seulement il s’agit de la plus petite défaite en 31 tests contre l’Angleterre, mais les Azzurri, inspirés, se sont montrés tranchants en attaque, l’essai de Tommaso Allan en première période étant brillamment construit et terminé.

Les Azzurri menaient 17-14 à la pause et dépassaient les Anglais 3-2 au nombre d’essais. Ils devraient aborder le deuxième tour avec une motivation renouvelée, même si c’est l’Irlande qu’ils affrontent.

Synthèse du match

1
Coups de pied de pénalité
5
3
Essais
2
3
Transformations
1
0
Drops
0
98
Courses avec ballon
119
6
Franchissements
4
11
Turnovers perdus
10
4
Turnovers gagnés
4

Joe McCarthy, nouvelle coqueluche de l’Irlande

Les adversaires de l’Irlande aimeraient bien avoir leur « Big » Joe McCarthy, le deuxième-ligne imposant qui a mis à mal le pack français lors d’une remarquable victoire à Marseille.

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Pour ses débuts dans le Tournoi des Six Nations, McCarthy s’est montré à la hauteur de la profondeur de la nation au poste de deuxième-ligne, même l’excellent James Ryan n’ayant pas réussi à se faire une place dans le XV de départ.

L’engagement physique de McCarthy est un retour à la vieille école d’un cinq de devant resserré et il a assumé le rôle d’exécuteur en dirigeant les collisions et les rucks ainsi que les courses avec ballon. Chaque équipe devrait en avoir un.

Courses avec ballon par joueur

1
Gregory Alldritt
15
2
Tadhg Beirne
12
3
Cyril Baille
10

Les Bleus dans les limbes de l’après-Coupe du monde

La question de savoir comment la France se remettrait de l’écrasante déception d’avoir quitté sa Coupe du monde à domicile en quarts de finale a reçu une réponse catégorique au Stade Vélodrome.

La gueule de bois s’est manifestée par une défense passive, facilement transpercée par l’Irlande.

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Le Tournoi des Six Nations risque d’être long si Fabien Galthié ne trouve pas les bons leviers psychologiques et ne redonne pas un but à l’équipe après la défaite d’un point face à l’Afrique du Sud, une occasion unique.

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L’Ecosse, pour le meilleur et pour le pire

L’Écosse figure en bonne place dans le documentaire de Netflix sur le Tournoi des Six Nations et elle est incontestablement une valeur sûre, même si ce n’est pas toujours pour les raisons qu’elle apprécierait.

Qu’il s’agisse de prendre une avance sensationnelle de 27-0 contre le Pays de Galles ou d’être presque victime de la plus grande remontée de l’histoire du Tournoi, l’Écosse peut éblouir et déconcerter à parts égales.

Et avec le demi d’ouverture Finn Russell – l’autoproclamé Lionel Messi du rugby – qui tire les ficelles, vous ne pouvez pas les quitter des yeux.

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B
BeamMeUp 1 hour ago
The Springboks have something you don't have

A few comments. Firstly, I am a Bok fan and it's been a golden period for us. I hope my fellow Bok fans appreciate this time and know that it cannot last forever, so soak it all in!


The other thing to mention (and this is targeted at Welsh, English and even Aussie supporters who might be feeling somewhat dejected) is that it's easy to forget that just before Rassie Erasmus took over in 2018, the Boks were ranked 7th in the world and I had given up hope we'd ever be world beaters again.


Sport is a fickle thing and Rassie and his team have managed to get right whatever little things it takes to make a mediocre team great. I initially worried his methods might be short-lived (how many times can you raise a person's commitment by talking about his family and his love of his country as a motivator), but he seems to have found a way. After winning in 2019 on what was a very simple game plan, he has taken things up ever year - amazing work which has to be applauded! (Dankie Rassie! Ons wardeer wat jy vir die ondersteuners en die land doen!) (Google translate if you don't understand Afrikaans! 😁)


I don't think people outside South Africa fully comprehend the enormity of the impact seeing black and white, English, Afrikaans and Xhosa and all the other hues playing together does for the country's sense of unity. It's pure joy and happiness.


This autumn tour has been a bit frustrating in that the Boks have won, but never all that convincingly. On the one hand, I'd like to have seen more decisive victories, BUT what Rassie has done is expose a huge number of players to test rugby, whilst also diversifying the way the Boks play (Tony Brown's influence).


This change of both style and personnel has resulted in a lack of cohesion at times and we've lost some of the control, whereas had we been playing our more traditional style, that wouldn't happen. This is partially attributable to the fact that you cannot play Tony Brown's expansive game whilst also having 3 players available at every contact point to clear the defence off the ball. I have enjoyed seeing the Boks play a more exciting, less attritional game, which is a boring, albeit effective spectacle. So, I am happy to be patient, because the end justifies the means (and I trust Rassie!). Hopefully all these players we are blooding will give us incredible options for substitutions come next year's Rugby Championship and of course, the big prize in 2027.


Last point! The game of rugby has never been as exciting as it is now. Any of Ireland, New Zealand, South Africa, France, Argentina, Scotland, England & Australia can beat one another. South Africa may be ranked #1, but I wouldn't bet my house in them beating France or New Zealand, and we saw Argentina beating both South Africa and New Zealand this year! That's wonderful for the game and makes the victories we do get all the sweeter. Each win is 100% earned. Long may it last!


Sorry for the long post! 🏉🌍

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