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Toulouse - UBB : Jalibert et "Big Ben" sont bien là !

Matthieu Jalibert (ballon en main) et Ben Tameifuna (derrière) sont bien titulaires pour la finale de Top 14, face à Toulouse (Photo by NICOLAS TUCAT/AFP via Getty Images).

Coup de bluff jusqu’au bout, ou rétablissement express ? On n’a pas le fin mot de l’histoire, mais l’annonce des compositions d’équipe du Stade Toulousain et de l’Union Bordeaux-Bègles en vue de la finale de Top 14 (vendredi 21h05) a réservé quelques surprises, notamment côté girondin.

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En effet, l’UBB a annoncé la titularisation du pilier droit Ben Tameifuna, en proie à une épaule douloureuse lors du match de barrages contre le Racing 92, et de l’ouvreur Matthieu Jalibert, touché à une cuisse depuis la dernière journée de la phase régulière.

Jalibert avait pourtant annoncé lui-même sa fin de saison sur les réseaux sociaux à la suite de la blessure contractée contre Oyonnax. Conséquence directe de ce retour inattendu, Matéo Garcia, titulaire en 10 en l’absence de Jalibert, n’est même pas sur la feuille de match.

La ligne de trois-quarts béglaise est 100% “équipe de France”, avec le quatuor Bielle-Biarrey, Moefana, Depoortere, Penaud aligné ensemble, alimenté par la charnière bleue elle aussi, Lucu – Jalibert.

A Toulouse, la seule surprise n’en est finalement pas vraiment une : la titularisation de Rodrigue Neti intervient pour pallier l’absence de Cyril Baille, sérieusement blessé à la cheville contre La Rochelle.

Pour le reste, c’est du classique en championnat de France, avec Thomas Ramos à l’arrière, Blair Kinghorn sur une aile et Santiago Chocobares préféré au centre à Paul Costes, qui démarrera sur le banc.

Manny Meafou est bien forfait, tout comme Mathis Lebel, ce qui permet à Ange Capuozzo de prendre place dans les 23 parmi les remplaçants.

Stade Toulousain

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XV de départ : 15. Ramos – 14. Mallia, 13. Chocobares, 12. Ahki, 11. Kinghorn – 10. Ntamack, 9. Dupont (cap.) – 7. Willis, 8. Roumat, 6. Cros – 5. Flament, 4. Arnold – 3. Aldegheri, 2. Mauvaka, 1. Neti.

Remplaçants : 16. Marchand, 17. Ainu’u, 18. Vergé, 19. Brennan, 20. Graou, 21. Capuozzo, 22. Costes, 23. Merkler.

Union Bordeaux-Bègles

XV de départ : 15. Buros – 14. Penaud, 13. Depoortere, 12. Moefana, 11. Bielle-Biarrey – 10. Jalibert, 9. Lucu (cap.) – 7. Diaby, 8. Tatafu, 6. Vergnes-Taillefer –  5. Coleman, 4. Cazeaux – 3. Tameifuna, 2. Lamothe, 1. Poirot.

Remplaçants : 16. Maynadier, 17. Boniface, 18. Douglas, 19. Bochaton, 20. Samu, 21. Abadie, 22. Uberti, 23. Taufa.

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F
Flankly 1 hour ago
'Absolute madness': Clive Woodward rips into Borthwick in wake of NZ loss

Borthwick is supposed to be the archetypical conservative coach, the guy that might not deliver a sparkling, high-risk attacking style, but whose teams execute the basics flawlessly. And that's OK, because it can be really hard to beat teams that are rock solid and consistent in the rugby equivalent of "blocking and tackling".


But this is why the performance against NZ is hard to defend. You can forgive a conservative, back-to-basics team for failing to score tons of tries, because teams like that make up for it with reliability in the simple things. They can defend well, apply territorial pressure, win the set piece battles, and take their scoring chances with metronomic goal kicking, maul tries and pick-and-go goal line attacks.


The reason why the English rugby administrators should be on high alert is not that the English team looked unable to score tries, but that they were repeatedly unable to close out a game by executing basic, coachable skills. Regardless of how they got to the point of being in control of their destiny, they did get to that point. All that was needed was to be world class at things that require more training than talent. But that training was apparently missing, and the finger has to point at the coach.


Borthwick has been in the job for nearly two years, a period that includes two 6N programs and an RWC campaign. So where are the solid foundations that he has been building?

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