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Andy Farrell repart pour un nouveau cycle avec l’Irlande

(Photo by David Rogers/Getty Images)

Le sélectionneur de l’Irlande, Andy Farrell, a signé un nouveau contrat à long terme avec la Fédération irlandaise de rugby jusqu’à l’issue de la Coupe du Monde de Rugby en 2027.

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Récemment sacré Entraîneur World Rugby de l’Année aux World Rugby Awards à Paris fin octobre, Andy Farrell a remporté le Grand Chelem en 2023 et a permis à l’Irlande de se hisser au sommet du classement mondial pendant de longs mois.

Bien que la campagne de Coupe du Monde de l’Irlande se soit terminée par une déception – avec une défaite face aux All Blacks en quarts de finale en France – le sélectionneur a contribué à solidifier la réputation de l’Irlande comme l’une des principales forces du rugby mondial depuis qu’il a succédé à Joe Schmidt à la fin de la Coupe du Monde de Rugby 2019.

Il pourrait diriger les Lions en 2025

Depuis qu’il est devenu entraîneur principal, Farrell a mené l’Irlande à certains des plus grands jours de son histoire, dont la première tournée victorieuse de son histoire contre les All Blacks sur le sol néo-zélandais en 2022. Au vu de ce qu’il a accompli, il est en première ligne pour remplacer Warren Gatland à la tête des British and Irish Lions en 2025 face à l’Australie.

Après avoir signé son nouveau contrat, Farrell a déclaré : « Entraîner l’Irlande a été une expérience extrêmement agréable et je suis fier de prolonger ma collaboration avec l’IRFU. C’est un plaisir de travailler avec un groupe de joueurs aussi talentueux et engagés et, au moment où nous entrons dans un nouveau cycle, il sera passionnant de voir d’autres joueurs passer par le système.

« Il y a un groupe talentueux d’internationaux confirmés qui sont déterminés à réussir au niveau international pour l’Irlande et je suis impatient de voir comment les dernières sélections irlandaises U20 vont également émerger et se battre pour les honneurs internationaux dans un avenir proche. C’est un nouveau chapitre passionnant que ma famille et moi-même sommes ravis de poursuivre. »

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Une chance de l’avoir retenu

Donné partant en 2024 pour l’Australie où son ancien collègue Joe Schmidt est pressenti pour entraîner l’équipe nationale, David Nucifora, toujours directeur de la performance de l’IRFU, a ajouté : « Au cours des quatre dernières années, Andy a contribué à élever le niveau de l’équipe nationale masculine au plus haut niveau et c’est grâce à l’environnement positif que lui et son staff ont favorisé que l’Irlande a connu une période de succès aussi soutenue ces derniers temps.

« Andy est un entraîneur ambitieux et talentueux qui continue à laisser une marque indélébile sur le rugby irlandais, et c’est un énorme succès que d’avoir pu retenir ses services. Je ne doute pas qu’il cherchera à construire dans les années à venir. »

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Kevin Potts, directeur général de l’IRFU, a poursuivi : « L’IRFU est déterminée à attirer et à retenir les meilleurs entraîneurs et nous sommes ravis d’annoncer la prolongation du contrat d’Andy, qui constitue une impulsion extrêmement positive pour le rugby en Irlande.

« Andy est un entraîneur de classe mondiale et un leader inspirant de grand talent et d’intégrité qui a déjà apporté une contribution significative au rugby irlandais grâce à sa direction de notre équipe nationale masculine. Nous sommes extrêmement heureux qu’il ait accepté de rester en Irlande. »

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Flankly 1 hour ago
'Absolute madness': Clive Woodward rips into Borthwick in wake of NZ loss

Borthwick is supposed to be the archetypical conservative coach, the guy that might not deliver a sparkling, high-risk attacking style, but whose teams execute the basics flawlessly. And that's OK, because it can be really hard to beat teams that are rock solid and consistent in the rugby equivalent of "blocking and tackling".


But this is why the performance against NZ is hard to defend. You can forgive a conservative, back-to-basics team for failing to score tons of tries, because teams like that make up for it with reliability in the simple things. They can defend well, apply territorial pressure, win the set piece battles, and take their scoring chances with metronomic goal kicking, maul tries and pick-and-go goal line attacks.


The reason why the English rugby administrators should be on high alert is not that the English team looked unable to score tries, but that they were repeatedly unable to close out a game by executing basic, coachable skills. Regardless of how they got to the point of being in control of their destiny, they did get to that point. All that was needed was to be world class at things that require more training than talent. But that training was apparently missing, and the finger has to point at the coach.


Borthwick has been in the job for nearly two years, a period that includes two 6N programs and an RWC campaign. So where are the solid foundations that he has been building?

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