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Comment se passent les qualifications pour England 2025

PARIS, FRANCE - OCTOBER 29: A detailed view of a plaque featuring the Official Logo of the World Rugby Women's World Cup England 2025 after the World Rugby Awards at Opera Garnier on October 29, 2023 in Paris, France. (Photo by Dan Mullan - World Rugby/World Rugby via Getty Images)

Le tournoi élargi à 16 équipes pour l’Angleterre en 2025 représente la plus grande Coupe du Monde de Rugby Féminin jamais organisée, résultant de nombreuses années de progrès dans le rugby féminin. Soutenu par de nouvelles compétitions et des programmes de haute performance, ainsi qu’un processus de qualification simplifié, il est prévu qu’il dynamise le rugby féminin qui façonnera le jeu pour les générations à venir.

Qualifications automatiques

En tant que pays hôte de la Coupe du Monde de Rugby 2025, L’ANGLETERRE s’est automatiquement qualifiée pour le tournoi.

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Le CANADA, la FRANCE et la NOUVELLE-ZELANDE ont également obtenu une qualification directe pour le mondial après avoir terminé dans les quatre premiers lors de la Coupe du Monde de Rugby féminin 2021 en Nouvelle-Zélande (qui s’est jouée en 2022).

Six équipes autres se qualifieront via les compétitions régionales en 2024, les vainqueurs ou les meilleures équipes non qualifiées en Asie, en Afrique, en Europe, en Océanie, en Amérique du Sud et dans la compétition interrégionale de World Rugby, les Pacific Four Series, s’assurant une qualification directe.

Une place par le Tournoi des Six Nations féminin 2024 (23 mars-27 avril)

Le Tournoi a été le théâtre d’une lutte intense : le Pays de Galles, l’Italie, l’Écosse et l’Irlande se sont tous battus pour une place à la Coupe du Monde de Rugby Féminin 2025.

Au début du Tournoi, les quatre équipes figuraient dans le top 10 du classement mondial féminin World Rugby. La France et l’Angleterre, championne en titre, étant déjà qualifiées pour la Coupe du Monde de Rugby 2025, l’équipe suivante la mieux placée, L’IRLANDE, s’est qualifiée pour la Coupe du Monde.

Une place par les Pacific Four Series 2024 (28 avril-26 mai) 

Deux équipes sont en lice dans ce Pacific Four Series pour tenter de décrocher la seule place disponible pour la Coupe du Monde Rugby Féminin 2025. Le Canada et la Nouvelle-Zélande étant déjà qualifiés, l’Australie et les États-Unis s’affronteront pour être la prochaine équipe la mieux classée à décrocher sa place pour Angleterre 2025.

Après ses victoires sur la France et le Pays de Galles lors du WXV 1, l’Australie cherchera à maintenir cette dynamique sous la direction de la nouvelle sélectionneure Jo Yapp, tandis que les États-Unis espèrent bien lancer leur campagne, là aussi avec un nouvel entraîneur à leur tête : Sione Fukofuka.

Une place par la Rugby Africa Women’s Cup 2024 (4 – 12 mai)

La Rugby Africa Women’s Cup rassemble quatre équipes d’Afrique avec le Cameroun, le Kenya, Madagascar et l’Afrique du Sud, championne en titre.

L’Afrique du Sud se présente à la compétition forte de sa récente troisième place dans le WXV 2 de l’année dernière, tandis que le Kenya a terminé le WXV 3 sur une note positive en battant la Colombie lors de son dernier match.

L’équipe vainqueur de la Rugby Africa Women’s Cup revendiquera la place directe de la région à la Coupe du Monde de Rugby 2025.

Une place par l’Asia Rugby Women’s Championship 2024 (22 mai – 1er juin)

Trois équipes seront en lice pour une seule place à la Coupe du Monde de Rugby de 2025, avec les hôtes Hongkong China, le Kazakhstan et les championnes en titre, le Japon, qui s’affronteront.

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La victoire du Japon l’année dernière a permis à l’équipe de remporter son cinquième titre et de se qualifier pour le WXV 2, tandis que le Kazakhstan, finaliste, a participé au WXV 3.

Hong Kong China, qui a goûté au mondial lors du tournoi de 2017 en Irlande, sera impatient de faire son retour dans la Coupe du Monde de Rugby Féminin.

Une place par l’Oceania Rugby Women’s Championship 2024 (24 mai – 2 juin)

Le Oceania Rugby Women’s Championship 2024 verra les Fidji, la Papouasie-Nouvelle-Guinée, les Samoa et les Tonga tenter de décrocher une qualification directe à Brisbane.

L’année dernière, les Samoa ont remporté le trophée pour la première fois de leur histoire après une victoire 19-18 contre les Fidji.

Une place pour Sudamérica Rugby

En Amérique du Sud, la Colombie et le Brésil se rencontreront, les deux équipes étant désireuses de se qualifier pour la première Coupe du Monde du Rugby à XV de leur histoire.

L’an dernier, lors des matchs aller-retour de Sudamérica, la Colombie a battu le Brésil 24-23 et 30-19 à l’Estadio Cincuentenario de Medellín pour décrocher sa place dans le tout premier tournoi du WXV 3.

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Par le passé, la Colombie a participé au Tournoi de Qualification Final de la Coupe du Monde de Rugby 2021 à Dubaï et a manqué son billet pour la Nouvelle-Zélande après avoir subi une défaite de 59-3 contre l’Écosse.

Six places par le WXV 1,2 et 3

La dernière possibilité de se qualifier pour la Coupe du Monde de Rugby 2025 passera par le WXV, le tournoi féminin annuel à XV sur trois niveaux. Les six équipes non qualifiées les mieux classées à l’issue du WXV 2024 se qualifieront pour le tournoi mondial.

Les qualifications pour le WXV débutent en mars, les fédérations du monde entier s’affrontant pour décrocher l’une des 18 places à travers les niveaux concernés par le biais de leurs compétitions régionales.

Le tirage au sort de la Coupe du Monde de Rugby 2025 aura lieu une fois que le WXV sera achevé, en octobre, lorsque les noms de toutes les équipes qualifiées seront connus.

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Flankly 1 hour ago
'Absolute madness': Clive Woodward rips into Borthwick in wake of NZ loss

Borthwick is supposed to be the archetypical conservative coach, the guy that might not deliver a sparkling, high-risk attacking style, but whose teams execute the basics flawlessly. And that's OK, because it can be really hard to beat teams that are rock solid and consistent in the rugby equivalent of "blocking and tackling".


But this is why the performance against NZ is hard to defend. You can forgive a conservative, back-to-basics team for failing to score tons of tries, because teams like that make up for it with reliability in the simple things. They can defend well, apply territorial pressure, win the set piece battles, and take their scoring chances with metronomic goal kicking, maul tries and pick-and-go goal line attacks.


The reason why the English rugby administrators should be on high alert is not that the English team looked unable to score tries, but that they were repeatedly unable to close out a game by executing basic, coachable skills. Regardless of how they got to the point of being in control of their destiny, they did get to that point. All that was needed was to be world class at things that require more training than talent. But that training was apparently missing, and the finger has to point at the coach.


Borthwick has been in the job for nearly two years, a period that includes two 6N programs and an RWC campaign. So where are the solid foundations that he has been building?

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N
Nickers 1 hour ago
Scott Robertson responds to criticism over All Blacks' handling errors

Very poor understanding of what's going on and 0 ability to read. When I say playing behind the gain line you take this to mean all off-loads and site times we are playing in front of the gain line???


Every time we play a lot of rugby behind the gain line (for clarity, meaning trying to build an attack and use width without front foot ball 5m+ behind the most recent breakdown) we go backwards and turn the ball over in some way. Every time a player is tackled behind the most recent breakdown you need more and more people to clear out because your forwards have to go back around the corner, whereas opposition players can keep moving forward. Eventually you run out of either players to clear out or players to pass to and the result in a big net loss of territory and often a turnover. You may have witnessed that 20+ times in the game against England. This is a particularly dumb idea inside your own 40m which is where, for some reason, we are most likely to employ it.


The very best ABs teams never built an identity around attacking from poor positions. The DC era team was known for being the team that kicked the most. To engineer field position and apply pressure, and create broken play to counter attack. This current team is not differentiating between when a defence has lost it's structure and there are opportunities, and when they are completely set and there is nothing on. The reason they are going for 30 minute + periods in every game without scoring a single point, even against Japan and a poor Australian team, is because they are playing most of their rugby on the back foot in the wrong half.

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N
Nickers 1 hour ago
Scott Robertson responds to criticism over All Blacks' handling errors

I thought we made a lot of progress against that type of defence by the WC last year. Lots of direct running and punching holes rather than using width. Against that type of defence I think you have to be looking to kick on first phase when you have front foot ball which we did relatively successfully. We are playing a lot of rugby behind the gain line at the moment. They are looking for those little interchanges for soft shoulders and fast ball or off loads but it regularly turns into them battering away with slow ball and going backwards, then putting in a very rushed kick under huge pressure.


JB brought that dimension when he first moved into 12 a couple of years ago but he's definitely not been at his best this year. I don't know if it is because he is being asked to play a narrow role, or carrying a niggle or two, but he does not look confident to me. He had that clean break on the weekend and stood there like he was a prop who found himself in open space and didn't know what to do with the ball. He is still a good first phase ball carrier though, they use him a lot off the line out to set up fast clean ball, but I don't think anyone is particularly clear on what they are supposed to do at that point. He was used really successfully as a second playmaker last year but I don't think he's been at that role once this year. He is a triple threat player but playing a very 1 dimensional role at the moment. He and Reiko have been absolutely rock solid on defence which is why I don't think there will be too much experimentation or changes there.

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