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Forces en présence pour la Grande Finale féminine de Madrid

Séance d'entraînement de l'Afrique du Sud avant le HSBC SVNS au Mariachis Polo Club le 27 mai 2024 à Madrid, Espagne. Crédit photo : Mike Lee - KLC fotos pour World Rugby

Le HSBC SVNS 2024 féminin atteint son apogée ce week-end avec la Grande Finale à Madrid, du 31 mai au 2 juin. À l’issue de sept manches palpitantes, huit équipes restent en lice pour le titre suprême, tandis que huit autres équipes se battent pour une place dans la saison prochaine à travers le barrage HSBC SVNS. Chaque équipe, chaque point, chaque action sur le terrain sera déterminante.

La suprématie de la Nouvelle-Zélande dans la poule A

L’entraîneur de la Nouvelle-Zélande, Cory Sweeney, encourage ses joueuses à donner leur maximum alors qu’elles visent la victoire finale. Les Black Ferns Sevens, en grande forme avec quatre titres consécutifs, aborderont ce tournoi crucial comme n’importe quel autre, malgré la pression. Cette approche sera d’ailleurs utile en vue des Jeux Olympiques de Paris 2024, où elles défendront leur titre à partir du 28 juillet.

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Un changement notable a été effectué dans l’équipe : Tenika Willison remplace Shiray Kaka, blessée. Les Black Ferns Sevens, favorites, commenceront leur campagne contre la Grande-Bretagne. Leurs adversaires dans la poule A incluent également les États-Unis et le Canada, offrant des confrontations passionnantes. La Grande-Bretagne, qualifiée de justesse pour cette finale, tentera de défier la suprématie néo-zélandaise.

Les États-Unis et le Canada, deux équipes nord-américaines, s’affrontent également dans la poule A. Les Women’s Eagles Sevens des États-Unis ont connu une saison solide avec quatre demi-finales de Cup, mais une performance décevante à Singapour les place en position de challenger. Le Canada, renforcé par l’arrivée d’Olivia Apps, Fancy Bermudez et Madison Grant, espère créer la surprise après une saison en dents de scie.

La France imprévisible dans la poule B

L’Australie, déçue de ne pas avoir remporté le titre de la saison régulière, va chercher à se rattraper à Madrid. Charlotte Caslick, première joueuse à avoir participé à 50 tournois sur le circuit mondial, revient après des blessures. Elle sera un atout précieux aux côtés de Bienne Terita. Malgré les absences de Madison Ashby, Lily Dick, Sharni Smale et Alysia Lefau-Fakaosilea, blessées, l’équipe est prête à affronter l’Irlande, la France et les Fidji dans la poule B.

Les récentes confrontations entre l’Australie et ses adversaires de la poule B ont été favorables aux Australiennes, notamment une victoire éclatante contre les Fidji et des succès contre l’Irlande et la France à Singapour. Maddison Levi, en particulier, a brillé avec ses essais décisifs.

La France, dirigée par David Courteix, est prête à se battre avec des talents comme Anne-Cécile Ciofani et Séraphine Okemba. Bien qu’elle n’ait pas encore remporté de tournoi dans l’histoire du circuit, l’équipe est toujours une menace imprévisible. L’Irlande, avec le retour de Béibhinn Parsons et la capitaine Amee Leigh Murphy Crowe, est également prête à créer des surprises.

Le Barrage pour le HSBC SVNS 2025

Outre la lutte pour le titre, le barrage HSBC SVNS à Madrid déterminera quelles équipes rejoindront le circuit la saison prochaine. L’Afrique du Sud, renforcée par Sizophila Solontsi, Libbie Janse van Rensburg, Veroeshka Grain et Byrhandrè Dolf, affronte le Brésil, l’Argentine et la Belgique dans la poule B. Les Springbok Women’s Sevens, ayant terminé la saison régulière à la 11e place, espèrent une performance décisive.

Le Brésil, juste au-dessus de l’Afrique du Sud au classement général, mène les confrontations historiques, mais la dernière victoire sud-africaine à Los Angeles donne espoir aux Sud-Africaines. L’Argentine et la Belgique, arrivées par le World Rugby HSBC Sevens Challenger, compléteront cette poule compétitive.

Dans la poule A, la Chine, victorieuse du Sevens Challenger, espère continuer sur sa lancée contre le Japon, l’Espagne et la Pologne. Le Japon, favori de la poule, a montré des performances solides à Hong Kong et Singapour. L’Espagne, pays hôte, espère que le soutien local boostera ses performances après une saison difficile. La Pologne, motivée par sa récente qualification à Cracovie, sera également une équipe à surveiller.

La tension monte à Madrid

La Grande Finale du HSBC SVNS 2024 à Madrid promet des confrontations intenses et des retournements de situation spectaculaires. Chaque équipe apporte son lot d’espoirs et de défis, des favorites comme la Nouvelle-Zélande et l’Australie aux challengers comme le Canada et la France. En parallèle, le barrage offre une deuxième chance aux équipes de prouver leur valeur et de s’assurer une place pour la prochaine saison.

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La dramaturgie de cette compétition atteint son paroxysme alors que les joueuses s’apprêtent à tout donner sur le terrain, avec en toile de fond les Jeux Olympiques de Paris 2024. La pression est palpable, les attentes sont élevées, et seules les équipes les plus résilientes et les mieux préparées émergeront victorieuses. Le stade Cívitas Metropolitano de Madrid sera le théâtre de moments inoubliables, où chaque essai, chaque passe, chaque plaquage pourrait déterminer le destin des équipes.

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T
Tom 4 hours ago
What is the future of rugby in 2025?

Briiiiiiiiiiiiiiiistol! Briiiiiiiiiiiiiiiistol! Briiiiiiiiiiiiiiiistol!


It's incredible to see the boys playing like this. Back to the form that saw them finish on top of the regular season and beat Toulon to win the challenge cup. Ibitoye and Ravouvou doing a cracking Piutau/Radradra impression.


It's abundantly clear that Borthwick and Wigglesworth need to transform the England attack and incorporate some of the Bears way. Unfortunately until the Bears are competing in Europe, the old criticisms will still be used.. we failed to fire any punches against La Rochelle and Leinster which goes to show there is still work to do but both those sides are packed full of elite players so it's not the fairest comparison to expect Bristol to compete with them. I feel Bristol are on the way up though and the best is yet to come. Tom Jordan next year is going to be obscene.


Test rugby is obviously a different beast and does Borthwick have enough time with the players to develop the level of skill the Bears plays have? Even if he wanted to? We should definitely be able to see some progress, Scotland have certainly managed it. England aren't going to start throwing the ball around like that but England's attack looks prehistoric by comparison, I hope they take some inspiration from the clarity and freedom of expression shown by the Bears (and Scotland - who keep beating us, by the way!). Bristol have the best attack in the premiership, it'd be mad for England to ignore it because it doesn't fit with the Borthwick and Wigglesworth idea of how test rugby should be played. You gotta use what is available to you. Sadly I think England will try reluctantly to incorporate some of these ideas and end up even more confused and lacking identity than ever. At the moment England have two teams, they have 14 players and Marcus Smith. Marcus sticks out as a sore thumb in a team coached to play in a manner ideologically opposed to the way he plays rugby, does the Bears factor confuse matters further? I just have no confidence in Borthers and Wiggles.


Crazy to see the Prem with more ball in play than SR!

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J
JW 8 hours ago
Does South Africa have a future in European competition?

In another recent article I tried to argue for a few key concept changes for EPCR which I think could light the game up in the North.


First, I can't remember who pointed out the obvious elephant in the room (a SA'n poster?), it's a terrible time to play rugby in the NH, and especially your pinnacle tournament. It's been terrible watching with seemingly all the games I wanted to watch being in the dark, hardly able to see what was going on. The Aviva was the only stadium I saw that had lights that could handle the miserable rain. If the global appeal is there, they could do a lot better having day games.


They other primary idea I thuoght would benefit EPCR most, was more content. The Prem could do with it and the Top14 could do with something more important than their own league, so they aren't under so much pressure to sell games. The quality over quantity approach.


Trim it down to two 16 team EPCR competitions, and introduce a third for playing amongst the T2 sides, or the bottom clubs in each league should simply be working on being better during the EPCR.


Champions Cup is made up of league best 15 teams, + 1, the Challenge Cup winner. Without a reason not to, I'd distribute it evenly based on each leauge, dividing into thirds and rounded up, 6 URC 5 Top14 4 English. Each winner (all four) is #1 rank and I'd have a seeding round or two for the other 12 to determine their own brackets for 2nd, 3rd, and 4th. I'd then hold a 6 game pool, home and away, with consecutive of each for those games that involve SA'n teams. Preferrably I'd have a regional thing were all SA'n teams were in the same pool but that's a bit complex for this simple idea.


That pool round further finalises the seeding for knockout round of 16. So #1 pool has essentially duked it out for finals seeding already (better venue planning), and to see who they go up against 16, 15,etc etc. Actually I think I might prefer a single pool round for seeding, and introduce the home and away for Ro16, quarters, and semis (stuffs up venue hire). General idea to produce the most competitive matches possible until the random knockout phase, and fix the random lottery of which two teams get ranked higher after pool play, and also keep the system identical for the Challenge Cup so everthing is succinct. Top T2 side promoted from last year to make 16 in Challenge Cup

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