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France – États-Unis : Teani Feleu titulaire, Cyrielle Banet de retour

Teani Feleu fêtera sa 2e titularisation en bleu face aux Etats-Unis, après le match au pays de Galles lors du Tournoi des Six Nations 2024. (Photo by GEOFF CADDICK/AFP via Getty Images)

Largement battue pour son entrée en lice dans le WXV par la Canada dimanche dernier (46-24), l’équipe de France féminine repart au charbon pour la 2e journée de cette compétition.

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Les Bleues affrontent les Etats-Unis samedi et les deux sélectionneurs Gaëlle Mignot et David Ortiz ont procédé à seulement deux changements dans le XV de départ choisi par rapport à l’équipe alignée lors de la première journée de la compétition, un devant et un derrière.

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« On a voulu garder une grosse ossature pour notre groupe, je crois que c’était important de pouvoir reconduire les joueuses. On a effectué quelques petits changements en fonction du profil des équipes que l’on va rencontrer, de l’équilibre que l’on cherche toujours entre les filles qui démarrent et celles qui finissent », explique Gaëlle Mignot.

Dans le pack, les deux premières lignes restent inchangées. La grande nouveauté concerne le poste de 3e ligne centre.

Habituellement indéboulonnable N.8, Romane Ménager glisse sur l’aile pour laisser la place à Teani Feleu. La petite sœur de la capitaine et 2e ligne Manae, 21  ans, sera titulaire pour la 2e fois en sélection (4 capes). Elle l’avait été lors du match remporté au pays de Galles (0-40) durant le dernier Tournoi des Six Nations.

Teani Feleu, « un profil physique qui va correspondre à l’équipe des États-Unis »

« Aujourd’hui Teani a prouvé par ses entrées ce qu’elle pouvait apporter. On a envie de la voir démarrer, c’est un profil physique qui va correspondre aussi beaucoup à l’équipe des États-Unis », détaille l’ancienne talonneuse.

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Axelle Berthoumieu fait les frais de ce remaniement et débutera la rencontre sur le banc. Emeline Gros, sortie sur commotion face aux Canadiennes, est elle bien présente dans le XV de départ.

A la charnière, la confiance envers le duo Pauline BourdonLina Queyroi est maintenue.

Dans les lignes arrière, le seul changement concerne l’entrée sur l’aile droite de Cyrielle Banet à la place de Melissande Llorens.

Équipe de France

XV de départ : Jacquet – Banet, Konde, Vernier, M. Ménager – (o) Queyroi, (m) Bourdon Sansus – T. Feleu, Gros, R. Ménager – Fall, M. Feleu – Khalfaoui, Sochat, Brosseau.

Remplaçantes : Riffonneau, Mwayembe, Bernadou, Berthoumieu, Okemba, Bordes, Tuy, Boulard.

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G
GrahamVF 1 hour ago
Does South Africa have a future in European competition?

"has SA actually EVER helped to develop another union to maturity like NZ has with Japan," yes - Argentina. You obviously don't know the history of Argentinian rugby. SA were touring there on long development tours in the 1950's

We continued the Junior Bok tours to the Argentine through to the early 70's

My coach at Grey High was Giepie Wentzel who toured Argentine as a fly half. He told me about how every Argentinian rugby club has pictures of Van Heerden and Danie Craven on prominent display. Yes we have developed a nation far more than NZ has done for Japan. And BTW Sa players were playing and coaching in Japan long before the Kiwis arrived. Fourie du Preez and many others were playing there 15 years ago.


"Isaac Van Heerden's reputation as an innovative coach had spread to Argentina, and he was invited to Buenos Aires to help the Pumas prepare for their first visit to South Africa in 1965.[1][2] Despite Argentina faring badly in this tour,[2] it was the start of a long and happy relationship between Van Heerden and the Pumas. Izak van Heerden took leave from his teaching post in Durban, relocated to Argentina, learnt fluent Spanish, and would revolutionise Argentine play in the late 1960s, laying the way open for great players such as Hugo Porta.[1][2] Van Heerden virtually invented the "tight loose" form of play, an area in which the Argentines would come to excel, and which would become a hallmark of their playing style. The Pumas repaid the initial debt, by beating the Junior Springboks at Ellis Park, and emerged as one of the better modern rugby nations, thanks largely to the talents of this Durban schoolmaster.[1]"


After the promise made by Junior Springbok manager JF Louw at the end of a 12-game tour to Argentina in 1959 – ‘I will do everything to ensure we invite you to tour our country’ – there were concerns about the strength of Argentinian rugby. South African Rugby Board president Danie Craven sent coach Izak van Heerden to help the Pumas prepare and they repaid the favour by beating the Junior Springboks at Ellis Park.

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