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L'Écosse double l'Italie

La talonneuse écossaise Lana Skeldon a été désignée meilleure joueuse du match contre l'Italie (Photo by MICHAEL BRADLEY/AFP via Getty Images).

Du festin à volonté au régime sec. Le changement d’ambiance a été brutal, ce samedi, entre les deux matchs du Tournoi des Six Nations programmés ce jour.

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Alors que l’Angleterre a passé 14 essais à l’Irlande, en début d’après-midi (88-10), l’Italie et l’Écosse ont disputé, sous le soleil parmesan, un match beaucoup plus fermé, plus indécis aussi.

Et au final, ce sont les Écossaises qui ont raflé la mise, 10-17, signant un deuxième succès dans ce Tournoi 2024. Elles doublent ainsi les Italiennes et grimpent sur le podium provisoire, alors qu’il reste une journée à disputer.

Synthèse du match

1
Coups de pied de pénalité
0
1
Essais
3
1
Transformations
1
0
Drops
0
106
Courses avec ballon
140
4
Franchissements
6
24
Turnovers perdus
12
9
Turnovers gagnés
7

Il a fallu patienter plus de trente minutes avant de voir les premiers points de ce match. Dans leur volonté (louable) de jouer, les deux équipes choisissaient de ne pas prendre les points au pied.

Mais les pénaltouches, choisies systématiquement par les Italiennes comme par les Écossaises ont tout aussi systématiquement terminé en lancer perdu, ou en faute, avant d’apercevoir la ligne d’essai.

C’est finalement les Italiennes qui ouvraient enfin la marque. L’insaisissable Alyssa D’Incà profitait d’une jolie passe après contact de sa 3e ligne Arighetti pour prendre l’intervalle. Personne ne la reverra avant l’en-but (7-0, 33e).

L’Écosse a eu le mérite de revenir immédiatement au score, grâce à un cafouillage italien sur le renvoi causant une pénalité. Le maul derrière la pénaltouche, enfin productive, était conclu par la talonneuse Lana Skeldon (7-7, 35e).

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On est ensuite retombé dans un faux rythme, les deux équipes se procurant peu d’occasions. Plus dangereuses en deuxième période, les Calédoniennes finissaient par trouver deux fois la faille autour de l’heure de jeu.

Avec tout d’abord un essai à zéro passe et zéro construction, Emma Orr profitant d’un ballon cafouillé par Aura Muzzo à la réception d’un coup de pied par-dessus la défense (7-12, 64e).

Puis elles convertissaient enfin un temps fort grâce à Chloe Rollie, qui débordait Beatrice Rigoni pour faire le break (7-17, 69e).

L’Italie revenait à un essai transformé suite à la pénalité réussie par Rigoni (10-17, 74e) et faisaient le forcing pour revenir. La défense écossaise tenait bien jusqu’à cette pénalité concédée au centre du terrain sur un déblayage mal maîtrisé de Rollie, exclue sur le coup (80e).

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Il restait alors une quinzaine de secondes à jouer dans le temps réglementaire. Mais à l’image de la rencontre, cette dernière cartouche italienne se terminait par un en-avant, et on s’arrêtait là.

Womens Six Nations

P
W
L
D
PF
PA
PD
BP T
BP-7
BP
Total
1
England Womens
4
4
0
0
20
2
France Womens
3
3
0
0
14
3
Ireland Womens
4
1
3
0
6
4
Italy Womens
3
1
2
0
5
5
Scotland Womens
3
1
2
0
4
6
Wales Womens
3
0
3
0
1
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G
GrahamVF 1 hour ago
Does South Africa have a future in European competition?

"has SA actually EVER helped to develop another union to maturity like NZ has with Japan," yes - Argentina. You obviously don't know the history of Argentinian rugby. SA were touring there on long development tours in the 1950's

We continued the Junior Bok tours to the Argentine through to the early 70's

My coach at Grey High was Giepie Wentzel who toured Argentine as a fly half. He told me about how every Argentinian rugby club has pictures of Van Heerden and Danie Craven on prominent display. Yes we have developed a nation far more than NZ has done for Japan. And BTW Sa players were playing and coaching in Japan long before the Kiwis arrived. Fourie du Preez and many others were playing there 15 years ago.


"Isaac Van Heerden's reputation as an innovative coach had spread to Argentina, and he was invited to Buenos Aires to help the Pumas prepare for their first visit to South Africa in 1965.[1][2] Despite Argentina faring badly in this tour,[2] it was the start of a long and happy relationship between Van Heerden and the Pumas. Izak van Heerden took leave from his teaching post in Durban, relocated to Argentina, learnt fluent Spanish, and would revolutionise Argentine play in the late 1960s, laying the way open for great players such as Hugo Porta.[1][2] Van Heerden virtually invented the "tight loose" form of play, an area in which the Argentines would come to excel, and which would become a hallmark of their playing style. The Pumas repaid the initial debt, by beating the Junior Springboks at Ellis Park, and emerged as one of the better modern rugby nations, thanks largely to the talents of this Durban schoolmaster.[1]"


After the promise made by Junior Springbok manager JF Louw at the end of a 12-game tour to Argentina in 1959 – ‘I will do everything to ensure we invite you to tour our country’ – there were concerns about the strength of Argentinian rugby. South African Rugby Board president Danie Craven sent coach Izak van Heerden to help the Pumas prepare and they repaid the favour by beating the Junior Springboks at Ellis Park.

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