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L’Uruguay a un nouvel entraîneur : Rodolfo Ambrosio

Rodolfo Ambrosio

L’Uruguay a un nouvel entraîneur. Après un long processus de recherche, l’URU, la fédération de rugby de l’Uruguay, vient de nommer l’Argentin Rodolfo Ambrosio comme nouvel entraîneur de Los Teros. Ambrosio remplace Esteban Meneses qui a été à la tête de l’Uruguay de 2016 à 2023.

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Selon le journal Referi, le tacticien confirmé de 62 ans a rencontré les dirigeants de la fédération ce mardi 9 avril ainsi que le responsable de la haute Performance de South America Rugby Daniel Hourcade avec qui il vient de participer à une mission de coaching au Portugal.

Le trio qu’il a formé pendant quelques mois avec Meneses et Hourcade à la tête de Os Lobos a permis au Portugal de terminer vice-champion du Rugby Europe Championship à Jean-Bouin le 17 mars derrière la Géorgie.

Objectif 2027 en Australie

La feuille de route d’Ambrosio est claire : qualifier l’Uruguay pour la Coupe du Monde de Rugby 2027 en Australie, la première sélection à 24 équipes, au lieu de 20 Jusqu’à présent. Un objectif manqué lors de leur participation à France 2023

Sous la direction d’Esteban Meneses – aujourd’hui candidat au poste de sélectionneur du Portugal – los Teros devaient vaincre l’Italie et la Namibie afin de se qualifier automatiquement pour l’édition 2027. Lors du match contre l’Italie, les Uruguayens avaient conservé cet espoir jusqu’à la mi-temps, où ils menaient au score (17-7). Cependant, la Squadra Azzurra a tiré parti de son expérience pour éteindre les Teros lors de la seconde période (38-17).

La performance de l’Uruguay avait également été remarquable face aux hôtes français qu’ils ont su inquiéter jusqu’au bout lors de leur premier match (27-12). Ils ont néanmoins réussi à battre la Namibie 36-26 à Lyon avant de s’incliner lourdement face à la Nouvelle-Zélande (73-0).

Il a joué avec l’Italie le premier match de la Coupe du Monde de Rugby 1987

Rodolfo Ambrosio est bien connu dans le monde du rugby en Amérique du Sud, mais aussi au-delà. D’abord en tant que joueur pour son club à Córdoba. Puis pour l’équipe nationale d’Italie, où il a émigré dans les années 80, dans laquelle il est titulaire lors du tout premier match de la toute première Coupe du Monde de Rugby en 1987 contre la Nouvelle-Zélande (70-6).

Ambrosio est ensuite resté en Italie où il a compté 12 sélections en tout (jusqu’en 1989) avant de devenir entraîneur au début des années 2000. De retour en Argentine, il a été entraîneur des Pumitas (2013-2015).

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Ambrosio a ensuite entraîné le Brésil pendant l’âge d’or, son grand fait d’armes, la période qui l’a consacré. Désigné entraîneur principal du Brésil en 2016, il a quitté son poste en tant qu’entraîneur du Brésil le plus performant de l’histoire.

Sous Ambrosio, Os Tupis a battu les États-Unis (2016), le Canada (2017 et 2019), la Belgique (2017), le Portugal (2017 et 2019) et un XV de Géorgie (2018).

Remonter au classement mondial

Au classement mondial, il a ainsi fait bondir le Brésil de la 45e à la 24e place. Aujourd’hui avec l’Uruguay, l’idée serait de vivre une même progression. Habitué à osciller entre la 16e-17e position, la fédération verrait d’un bon œil d’arriver au 12e-13e rang mondial.

Entraîneur de la première sélection professionnelle de Colombie en 2021, les Cafeteros Pro, Rodolfo Ambrosio a également mis son professionnalisme pour qualifier l’équipe en demi-finale de la Superliga Americana de Rugby dès la deuxième année après avoir terminé dernier de la saison régulière à la première tentative.

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En 2022, il a été appelé par le Chili pour assister le sélectionneur Pablo Lemoine avec qui il s’est qualifié pour la Coupe du Monde de Rugby 2023 en France en battant les Etats-Unis 31-29 le 16 juillet 2022. Ambosio se trouvait donc en France pour accompagner les Condores à leur première Coupe du Monde de Rugby.

Son premier adversaire : la France

Installé, Rodolfo Ambrosio a du pain sur la planche, d’abord en rassemblant son effectif d’internationaux qui se trouvent un peu partout dans le monde : aux Etats-Unis, en France et en Italie.

Il pourra également compter sur le contingent de Peñarol Rugby qui avait fourni la plus grande partie des joueurs à France 2023, ainsi que sur l’équipe de rugby à sept qui a remporté l’étape du Challenger Series à Montevideo début mars et qui se prépare à participer à la dernière manche à Munich (18-19 mai).

Pas de temps à perdre donc puisque le premier adversaire ne sera pas tendre : France Développement est annoncé le 10 juillet au Charrua Stadium.

La fenêtre internationale se poursuivra avec l’Argentine le 20 juillet, puis l’Ecosse le 27.

Ambrosio y croit fermement. « Entraîner l’Uruguay est une source de fierté », a-t-il indiqué dans un communiqué de la fédération. « C’est un pays et une équipe qui ont tout ce qu’il faut pour être compétitifs.

« J’ai rencontré de grands amis et, même si la route sera difficile, nous ferons tout notre possible pour qu’elle soit couronnée de succès. Il y a de grands défis à relever, comme les fenêtres dans lesquelles la demande sera maximale, puis la qualification pour la Coupe du monde. »

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J
JW 2 hours ago
Does South Africa have a future in European competition?

In another recent article I tried to argue for a few key concept changes for EPCR which I think could light the game up in the North.


First, I can't remember who pointed out the obvious elephant in the room (a SA'n poster?), it's a terrible time to play rugby in the NH, and especially your pinnacle tournament. It's been terrible watching with seemingly all the games I wanted to watch being in the dark, hardly able to see what was going on. The Aviva was the only stadium I saw that had lights that could handle the miserable rain. If the global appeal is there, they could do a lot better having day games.


They other primary idea I thuoght would benefit EPCR most, was more content. The Prem could do with it and the Top14 could do with something more important than their own league, so they aren't under so much pressure to sell games. The quality over quantity approach.


Trim it down to two 16 team EPCR competitions, and introduce a third for playing amongst the T2 sides, or the bottom clubs in each league should simply be working on being better during the EPCR.


Champions Cup is made up of league best 15 teams, + 1, the Challenge Cup winner. Without a reason not to, I'd distribute it evenly based on each leauge, dividing into thirds and rounded up, 6 URC 5 Top14 4 English. Each winner (all four) is #1 rank and I'd have a seeding round or two for the other 12 to determine their own brackets for 2nd, 3rd, and 4th. I'd then hold a 6 game pool, home and away, with consecutive of each for those games that involve SA'n teams. Preferrably I'd have a regional thing were all SA'n teams were in the same pool but that's a bit complex for this simple idea.


That pool round further finalises the seeding for knockout round of 16. So #1 pool has essentially duked it out for finals seeding already (better venue planning), and to see who they go up against 16, 15,etc etc. Actually I think I might prefer a single pool round for seeding, and introduce the home and away for Ro16, quarters, and semis (stuffs up venue hire). General idea to produce the most competitive matches possible until the random knockout phase, and fix the random lottery of which two teams get ranked higher after pool play, and also keep the system identical for the Challenge Cup so everthing is succinct. Top T2 side promoted from last year to make 16 in Challenge Cup

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J
JW 8 hours ago
Does South Africa have a future in European competition?

I had a look at the wiki article again, it's all terribly old data (not that I'd see reason for much change in the case of SA).

Number Of Clubs:

1526

Registered+Unregistered Players:

651146

Number of Referees:

3460

Pre-teen Male Players:

320842

Pre-teen Female Player:

4522

Teen Male Player:

199213

Teen Female Player:

4906

Senior Male Player:

113174

Senior Female Player:

8489

Total Male Player:

633229

Total Female Player:

17917


So looking for something new as were more concerned with adults specifically, so I had a look at their EOY Financial Review.

The total number of clubs remains consistent, with a marginal increase of 1% from 1,161 to 1,167. 8.1.

A comparative analysis of verified data for 2022 and 2023 highlights a marginal decline of 1% in the number of female players, declining from 6,801 to 6,723. Additionally, the total number of players demonstrates an 8% decrease, dropping from 96,172 to 88,828.

So 80k+ adult males (down from 113k), but I'm not really sure when youth are involved with SAn clubs, or if that data is for some reason not being referenced/included. 300k male students however (200k in old wiki data).


https://resources.world.rugby/worldrugby/document/2020/07/28/212ed9cf-cd61-4fa3-b9d4-9f0d5fb61116/P56-57-Participation-Map_v3.pdf has France at 250k registered but https://presse-europe1-fr.translate.goog/exclu-europe-1-le-top-10-des-sports-les-plus-pratiques-en-france-en-2022/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=en&_x_tr_hl=en&_x_tr_pto=wapp has them back up at 300k registered.


The French number likely Students + Club, but everyone collects data different I reckon. In that WR pdf for instance a lot of the major nations have a heavily registered setup, were as a nation like England can penetrate into a lot more schools to run camps and include them in the reach of rugby. For instance the SARU release says only 29% of schools are reached by proper rugby programs, where as the 2million English number would be through a much much higer penetration I'd imagine. Which is thanks to schools having the ability to involve themselves in programs more than anything.


In any case, I don't think you need to be concerned with the numbers, whether they are 300 or 88k, there is obviously a big enough following for their pro scenes already to have enough quality players for a 10/12 team competition. They appear ibgger than France but I don't really by the lower English numbers going around.

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