Édition du Nord

Select Edition

Nord Nord
Sud Sud
Mondial Mondial
Nouvelle Zélande Nouvelle Zélande
France France

Marlie Packer s’attend à « un bras de fer » avec la France

BAGSHOT, ANGLETERRE - 24 AVRIL : Marlie Packer pendant une séance d'entraînement des Red Roses au Pennyhill Park, le 24 avril 2024 à Bagshot, en Angleterre. (Photo par Alex Davidson - RFU/The RFU Collection via Getty Images)

Contre la France à Bordeaux, la capitaine de l’Angleterre Marlie Packer fêtera sa 104 sélection. Avec Emily Scarratt en remplaçante (110 sélections), elle sera de loin la joueuse la plus expérimentée des deux équipes sur le terrain de Chaban-Delmas.

ADVERTISEMENT
Rencontre
Womens Six Nations
France Womens
21 - 42
Temps complet
England Womens
Toutes les stats et les données

19 fois elle a affronté la France depuis ses débuts en 208 contre la Suède et seulement quatre fois elle a connu la défaite contre les Bleues. Marlie Packer connaît bien cette équipe et sait parfaitement quoi s’attendre pour ce 53e Crunch.

« Si on les prive de ballons… »

« Le score va se dessiner tout seul si on met en place notre jeu, que ce soit en attaque et en défense », explique-t-elle dans le Rugby Paper Podcast. « La France va nous poser beaucoup de questions, elles ont regardé nos matchs, on a regardé leurs matchs. Selon moi, c’est toujours un match très serré contre la France, mais c’est le genre de match qu’on veut jouer. Ça va être un vrai bras de fer et on va vouloir le gagner.

« Leur philosophie est d’oser jouer. On sait qu’elles aiment les relances rapides, les touches rapides. Bourdon particulièrement aime relancer la balle rapidement, elle aime les pick and go, elle aime regarder autour d’elle et distribuer au large. On sait tout ça et on s’attend à tout. Mais si on les prive de ballons, elles ne pourront pas faire tout ça.

« Elles ont un pack très puissant, Ménager a fait un match excellent la semaine dernière. Je pense qu’en ce qui nous concerne, on doit les faire craquer sur les phases de conquête. Leur touche n’était pas très bonne contre le Pays de Galles et on va s’en servir pour ce match. On veut rester à 15 sur le terrain et aller les chercher. »

Pas de réelle opposition

Forte d’une série de 12 victoires depuis leur dernière défaite en 2018, les Anglaises partent favorites pour cette rencontre. Si elles donnent l’impression qu’elles ont survolé le Tournoi depuis le début en enregistrant des scores fleuves (dont le dernier 88-10 contre l’Irlande), d’aucuns prétendent que c’est parce qu’elles n’ont pas non plus rencontré de fortes oppositions.

Cette année, les filles de John Mitchell ont marqué 38 essais au cours de leurs quatre victoires contre l’Italie, le Pays de Galles, l’Écosse et l’Irlande. Elles ont marqué 228 points et n’en ont concédé que 20. Personne n’a réussi à battre les Red Roses.

ADVERTISEMENT

Un parcours trop facile ? « On a été mises à l’épreuve dans plusieurs domaines et on s’en est sorties », répond Marlie Packer, en désaccord avec ce constat.

La précieuse expérience du Premiership Women’s Rugby (PWR)

« On a joué à 14 sur le premier match, on a été en difficulté et en seconde période on a perdu une autre joueuse. Et même avec 13 joueuses cette équipe est restée au top. On peut parler de la discipline, dire que c’est pas juste, changer notre état d’esprit de ‘c’est pas juste’ à ‘faut qu’on fasse avec’. On a beaucoup évolué sur ce point.

Face à face

5 dernières rencontres

Victoires
0
Nuls
0
Victoires
5
Moyenne de points marqués
20
32
Le premier essai gagne
60%
L'équipe recevante gagne
40%

« Il faut aussi voir d’où on vient, du PWR, de nos clubs. Certaines équipes sont vraiment dominantes, d’autres équipes le sont moins, mais nous savons comment gagner et nous savons comment perdre aussi. Et ça, c’est une situation où la pression est très forte dans le PWR où on se connait toutes.

« On gagne ou on perd dans le rugby, rarement on fait match nul. On apprend beaucoup du PWR et de ce type de matchs. Et quand on arrive ici, on a toutes le même but. Il n’y a que les meilleures du pays et celles qui sont juste derrière sont aussi les meilleures du pays. On doit donc se servir de toute cette expérience pour le match de samedi.

« Je suis convaincue que quel que soit ce que la France va proposer, on sera prêtes pour ça. »

ADVERTISEMENT
ADVERTISEMENT

LIVE

{{item.title}}

Trending on RugbyPass

Commentaires

0 Comments
Soyez le premier à commenter...

Inscrivez-vous gratuitement et dites-nous ce que vous en pensez vraiment !

Inscription gratuite
ADVERTISEMENT

Latest Features

Comments on RugbyPass

S
SK 19 minutes ago
How can Scott Robertson revive the All Blacks’ playmaking ‘triple threat’?

Who are the best Full backs in the world right now? Ramos and Keenan appear a step above and the leaders in class, Le Roux is old but still a class act. All of these players are outstanding in their own right and all of them can do multiple things very well. They peel off territory with outstanding kicking in both attacking and defensive zones. They are all excellent under the high ball. They are all playmakers who step into the line at times at first receiver or in midfield and distribute perfectly to the edge. They can all function as strike runners or link players bringing others into the game. They are also all good as last line defenders. Now look at Jordan. A class act in his own way, an epic strike and broken-field runner. He is able to burst into space with intent, pace and power. He is an elite finisher and a really good one on one defender who is a solid last line of defence. He chips into space really well and regathers very nicely. He is however not a creative link and creates primarily for himself. He sees opportunities which he can exploit individually and rarely brings others into the game. He is not a big picture player. He is decent under the high ball but by no means outstanding. He is unable to control the pace of the game all that well, he doesn't always make the best decisions especially in his third as he is so zoned in on attack and does not control territory well. His boot is not as prodigious or educated as the aforementioned 15's. Jordan is a complete winger but he is nowhere near as complete a full back. He limits Robertsons options in terms of playmaking ability and that means more responsibility for the 10. There is a general acceptance of this and as long as Jordan is at 15 the 10 will have to shoulder the playmaking responsibility with Jordan sniffing out opportunities from the back. Jordie needs to give support in this regard and Robertson needs to give him more freedom to create. With Jordan at 15 does he really need Ioane at 13? Perhaps the AB's are focusing too much on strike runners and not enough attention on playmaking.

52 Go to comments
TRENDING
TRENDING Report: All Blacks snub Ricky Riccitelli signs with Top 14 club Report: Snubbed Ricky Riccitelli signs in Top 14
Search