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Paris 2024 : Les Bleues portées par la médaille d’or des Français

Par Willy Billiard
PARIS, FRANCE - 28 JUILLET : Anne-Cécile Ciofani #2 de l'équipe de France célèbre le fait d'avoir marqué le sixième essai de son équipe lors du match de la poule C féminine entre l'équipe de France et l'équipe du Japon lors de la deuxième journée des Jeux olympiques Paris 2024 au Stade de France, le 28 juillet 2024 à Paris, en France. (Photo par Hannah Peters/Getty Images)

Au lendemain de la médaille d’or des joueurs de l’équipe de France de rugby à 7 au tournoi olympique de Paris 2024, l’équipe de France féminine a remporté deux victoires sans encaisser le moindre point.

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Certes on pouvait s’y attendre face à deux équipes bien inférieures que les Bleues qui avaient terminé 3e au classement général des SVNS Series 2024.

Le Brésil avait terminé sa saison des SVNS Series 2024 à la 10e place et avaient dû en passer par le tournoi de barrage de Madrid pour se maintenir sur le circuit quand le Japon avait fini à la 9e place du général.

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La victoire 26-0 sur le Brésil en ouverture était la plus grande marge de victoire de la France lors de son match d’ouverture à des Jeux olympiques.

« C’est toujours particulier un premier match », a réagi Joanna Grisez, auteure du premier des quatre essais de son équipe. « Il fallait qu’on mette tous les éléments dans le bon ordre. D’abord l’agressivité et ensuite faire notre jeu. »

En mettant sept essais ensuite au Japon – dont un triplé de Iän Jason – pour l’emporter 49 à 0, les Bleues ont garanti leur place en quart de finale au terme de la première journée. Jamais auparavant la France n’avait marqué autant de points en un match des JO, dépassant les 40 points marqués contre le Kenya à Rio 2016 et le Brésil à Tokyo 2020.

De même, leurs sept essais sont les plus nombreux dans un match à Paris 2024, égalant le nombre d’essais marqués par la Nouvelle-Zélande lors de son match d’ouverture contre la Chine.

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« La journée est réussie, deux sur deux », a confié Chloé Jacquet. « On n’a pas pris de point, c’est aussi important. Ça marque les esprits. »

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Contrairement aux garçons qui avaient dû attendre le deuxième jour pour se rassurer pleinement, les Françaises peuvent donc aborder la deuxième journée avec plus de sérénité. Cela étant dit, l’entrée en matière chaotique des garçons ne les avait pas empêchés de décrocher l’or pour la première fois de l’histoire du rugby à sept français samedi 27 juillet.

« C’est inspirant. On est très heureuses pour eux et pour le rugby à sept », a déclaré Caroline Drouin. « On veut vivre les mêmes émotions qu’eux. Maintenant, ils ont été chercher cette victoire. À nous de faire pareil et d’écrire notre propre histoire. »

Les Bleus avaient passé le message à leurs homologues féminines de veiller à ne pas se laisser surprendre par l’accueil des 66 000 spectateurs du Stade de France à chacune de leur apparition – un record absolu dans l’histoire du rugby féminin selon World Rugby, battant ainsi le précédent record de 54 498 spectateurs établi à Twickenham lors du match Angleterre/France en 2023.

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« Les garçons nous ont dit qu’ils avaient rarement vu ça », a confirmé Joanna Grisez. « Ils en ont un peu fait les frais au début et s’en sont hyper bien servi après. On essaie de suivre leurs pas. »

La France disputera son troisième et dernier match de poule lundi 29 juillet à 15h30 contre les États-Unis, un adversaire de calibre supérieur à celui du Brésil et du Japon. Ce sera l’occasion pour les Bleues de monter en puissance avant leur quart de finale prévu quelques heures plus tard.

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J
JW 2 hours ago
Bundee Aki sends new reminder to All Blacks he's the one that got away

As a fan of both him and his teams at the time, I can tell you there was plenty to like and bank on a succesful career with.


With all due respect to the lot of middling centres at the time, NZ has 5 SR sides and all have International level quality players after all, it was two young sensations at the conclusive year, in Charlie Ngatai and Anton Lienert-Brown, along with the dawn Dmac squishing the other versatile players into midfield, that got sustainable contract preference after SBW came back to claim Bundee's starting spot in the Chiefs side for WC year that told on his decision to leave. Nothing as lofty as All Black considerations.


So that is no slight on how good a player he already was, I just don't think he had much of a choice with the lack of funds spent on retaining players around then (to have 4 12's, two starters in him and SBW) rather than having those test standard 12's on the books. So of course as things panned out, we know he would have been there and there abouts, having plenty of chances with all the injuries to SBW, Crotty, ALB, Ngatai, and Laumape etc. I think a very high chance he nails it and is the Nonu of the 2017 BIL tour. Certainly if he was on the cusp at that point (the player that Chiefs would have liked most to keep etc), that next WC cycle of 2016>20' had much better retention rates, maybe by 20% on the previous cycles 100+ player exodus, and you'd have to believe he'd been able to get a full squad contract in those circumstances. There are so many close calls, possibly even the wrong perception on certain player types looking at thumpers like him, Ethan Roots, Cunningham-South, Taniela Tupou, that it just doesn't warrant trying to class him as someone who would never have been an international otherwise.

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