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Paris 2024 : les USA, un adversaire coriace pour la France

Par Willy Billiard
L'Américaine Ilona Maher entre dans le match contre le Japon lors de la première journée des Jeux olympiques de Paris 2024 au Stade de France, le 28 juillet 2024 à Paris. Crédit photo : Mike Lee - KLC fotos pour World Rugby

A 15h30 ce lundi 29 juillet débutera le gros match de la poule C entre la France et les Etats-Unis qui déterminera déterminer qui sera première de poule avant les quarts de finale du tournoi olympique féminin de rugby à sept à Paris 2024.

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En cas de victoire, la France terminera en tête de la poule C et jouera la deuxième équipe de la poule A, soit vraisemblablement le Canada. En cas de défaite, la France serait deuxième de la poule C et affronterait le deuxième de la poule B, soit vraisemblablement la Grande-Bretagne.

La tâche ne s’annonce pas simple avant le match couperet.

Lors de la première journée, la France a été la seule équipe à garder sa ligne intacte, marquant 75 points et n’en concédant aucun contre le Brésil et le Japon.

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Mais contrairement aux adversaires de la veille, celui-ci est très coriace. S’il n’y avait qu’un seul chiffre pour le résumer, ce serait celui-ci : 16 victoires côté français, 18 côté américain.

Mais qu’on ne s’y trompe pas : depuis le début des séries 2020, France 7 Féminine a obtenu la moitié de ses victoires contre les États-Unis, remportant huit de ses 14 derniers matchs durant cette période. Les Etats-Unis est un adversaire que les filles de David Courteix ont réussi à dompter.

En comparaison, la France n’avait gagné que huit de ses 20 premiers matchs contre les États-Unis entre 2012 et 2019.

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Les États-Unis ont remporté leurs deux premiers matchs pour la deuxième fois consécutive, après avoir battu la Chine et le Japon lors de la première journée à Tokyo.

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Sammy Sullivan et Alex Sedrick ont marqué des essais pour rejoindre Kristi Kirshe en tant que meilleures marqueuses américaines à Paris 2024 avec deux essais.

La Française Iän Jason est l’une des cinq joueuses à avoir marqué au moins deux essais dans un match lors de la deuxième session avec Beibhinn Parsons (Irlande), Maddison Levi et Bienne Terita (Australie) et Jorja Miller (Nouvelle-Zélande). Elle est aussi l’auteure de l’un des quatre triplés du premier jour avec Maddison Levi (deux fois), Michaela Blyde (Nouvelle-Zélande).

Les joueuses de l'équipe de France célèbrent la victoire sur le Japon avec les supporters lors de la première journée des Jeux olympiques de Paris 2024 au Stade de France, le 28 juillet 2024 à Paris. Crédit photo : Mike Lee - KLC fotos pour World Rugby

Les États-Unis sont l’une des quatre équipes, avec l’Australie, le Canada et la Nouvelle-Zélande, à avoir remporté une victoire contre la France cette saison. Les trois victoires de la France contre les États-Unis cette saison ont eu lieu en phase de poules, tandis que les deux victoires des États-Unis se sont produites lors de matchs de Cup.

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Leur unique affrontement précédent sur la scène olympique a eu lieu lors du match pour la cinquième place à Rio 2016, où les États-Unis ont remporté la victoire 19-5 au Deodoro Stadium. Camille Grassineau, Lina Guerin, Alev Kelter et Lauren Doyle étaient déjà présentes à ce match.

En France, enfin, les Françaises ont remporté deux de leurs trois derniers matchs contre les États-Unis à domicile, à Clermont-Ferrand en 2016 et à Paris en 2018. La seule victoire des États-Unis a eu lieu lors de la phase de poules à Biarritz en 2019, avec un score de 19-7.

Le troisième tournoi olympique féminin de rugby à sept a commencé un peu moins fort que le premier en 2016 à Rio. Rien que sur la première journée, 75 essais et 469 points ont été marqués, soit un essai et huit points de moins que le record établi à Rio de Janeiro en 2016.

La Nouvelle-Zélande a marqué le plus de points (76) lors de la première journée et a égalé les 12 essais de son rival de longue date, l’Australie.

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B
Bull Shark 22 minutes ago
Why the All Blacks overlooking Joe Schmidt could yet hurt them in the Bledisloe battle

Every year we read about the Wallabies chances in the Bledisloe cup.


And every year the same result.


This time around the chances are even more slim. 1. This is the worst Australian side for some time. With or without Schmidt. He’s no miracle worker. 2. This is still a very good NZ team. Despite the absolute mess they’ve made around running the team. If Argentina can put 40 on Australia - NZ can put 40 on them. No problem.


It’s going to be a 20+ ball game in NZs favour. Minimum. And then NZ will be back in their public’s good books.


If they pump Australia again, they’ll be the next World Cup winners with Ireland. Shared.


Until the autumn tests of course. When NZ lose one or both games against the Irish and French and we’ll be back to this story again.


Ahh. The media and fans. So predictable and fickle.


The ABs will become consistent winners again once razors has had the opportunity to learn how to be an international coach. He’s only been doing it for a few months now.


Like I’ve said before. Razor waking in and blowing the competition out of the water is insulting to the many fantastic international coaches who has to work hard to get to that level of success. Even the great Henry and Hansen had to slum it in Wales.


If NZRU actually knew what they were doing they’d have developed their boy razor more. They’ve set him up for failure. They should have retained Foster (or Schmidt) instead of discarding him like a leper.


But at least one thing is certain on the horizon. If Razor doesn’t cut it beyond 2027 - SARU and Rassie Erasmus would have done the good work for them and prepped Tony Brown for the job. I just hope he tells them to stuff it because he’s being treated so well by an organization that knows how to treat its people.

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